Anthropomorphisme

3) Réalisme intellectuel (5-12ans) : reproduction de «  ce qu'il sait «  et non plus de « ce qu'il voit ». Multiplicité des détails, aspects narratifs, détails typiques, renversement et rabattage, diversité des points de vue, transparence, anthropomorphisme. Réalisme visuel : (12 ans) tient compte de la perspective. Cependant, le réalisme comporte certaines limites physiques et psychiques. On parle d'obstacle physique car il est parfois difficile pour l'enfant de bien diriger ses mouvements

et l'accord du discours et de la vérité. Chaque élément a son milieu = théorie des lieux naturels d'Aristote = chute d'un corps = fausse sauf si on utilise théorie de la gravité ==> vraie On projette sur les choses une volonté humaine = anthropomorphisme Vérité = accord de la pensée avec elle-même = cohérence logique = absence de contradictions Syllogisme = cohérent mais faux Pour être vrai, le discours ne doit pas se contredire, mais ce n'est pas suffisant pour autant. Indémontrables =

D’après Malebranche (et d’après Déméa) dieu n’est en aucun cas et en aucun point comparable, et encore moins semblable, à l’Homme. Imaginer dieu avec le même profil psychologique que l’Homme, même avec des qualités démultipliées, c’est par anthropomorphisme, pêcher par orgueil. Les qualités de dieu sont telles que l’homme ne peut les concevoir, elles ne se rapprochent en rien de ce qu’il a pu observer ; la nature de dieu est trop parfaite pour que l’homme puisse la comprendre. Malebranche clôt

de la fable : l'Homme est par nature hypocrite et injuste tout comme le loip est par nature cruel b) retour de la brutalité d'ailleurs la nature du Loup refait surface et s'amplifie vers 30à33 vers 31 « sans qu'à la broche je le mette » = anthropomorphisme : le loup est réaliste il dénonce la pensée de l'Homme : maniére dont l'Homme détourne les faits pour se justifier à une époque où la pensée de l'Homme est au centre de tout les domaine => morale implicite : ne pas se fier aux apparences car

Commentaire littéraire Alfred de Musset, La nuit de mai (1835) Alfred de Musset était un poète, romancier et dramaturge français de la période romantique au XIXe siècle. Etant un poète romantique, il laisse une grande place à l’ardeur de ses sentiments dans ses textes comme « Les nuits », recueil poétique où il expose son histoire d’amour avec une écrivaine. Cette relation fût d’une grande souffrance pour lui, il s’est délivrer et exprimer

l’amplification épique : recours aux personnifications ou métaphores qui transforment la chose décrite en monstre, ou en qq chose de surnaturel utilisation d’hyperboles ou d’un vocabulaire intensif la chose devient sujet des verbes d’action : anthropomorphisme gradation et référence aux sensations déchaînement des éléments naturels : tempête, ouragan, éléments naturels eau- air-feu qui se déchainent – vision infernale de la machine la chose décrite ( machine) devient un mythe monstrueux apparition

occidentale a intégrée des innovations qui venait de l’étranger. C’est aussi une domination de la culture étrangère. Réserve du mot cultureà certaines personnes. L’histoire commence avec l’écriture ; Civilisation => villes et premiers Etat. Anthropomorphisme : nommer humain ce qui ne l’est pas. Pour civiliser les Hommes il faut des règles de droit. La civilisation est porteuse de valeurs occidentales liées aux Lumières. Civilisations pluriel -> civilisations singulier Guizot => condition

penser: il a conscience de lui. C'est donc, selon lui, par une observation introspective de lui même que l'homme peut se reconnaître. Pour aider sa propre reconnaissance de lui même, l'homme sera donc poussé à employer deux méthodes: une appelée anthropomorphisme et l'autre visant à se représenter. L'anthropomorphisme correspond aux modifications que l'homme va apporter aux choses extérieures pour que celle-ci lui ressemblent et qu'elle lui rappellent sa propre existence( une maison, un monument, une

est fait pour voir, par exemple, que l'on peut l'expliquer. Ici encore, le mécanisme semble répondre aux exigences d'une représentation scientifique du monde. Comment ne pas voir dans le vitalisme et ses conceptions finaliste un pur et simple anthropomorphisme ? La nature serait une sorte d'être conscient poursuivant des buts ? Et pourtant, là encore, il convient de se garder de la prégnance du modèle mécaniste : dans un être vivant, l'adaptation des organes à leurs fonctions est telle qu'il est difficile

tout à fait convaincu que les enfants arrive a bien dégager les vérité contenues dans vos fables. Vous dîtes que la présence des annimaux sont là pour aider l'enfant à comprendre, or je ne vois pas en quoi cela peut aider l'enfant puisque ces anthropomorphismes sont trop abstraits pour eux. L'enfant pourrait alors se demander «  les animaux parlent-ils ? » Comment leur expliquer ce trait de caractère, propre aux être humains, omniprésent dans vos fables? _Eh bien, je doute qu'un enfant prêtra vraiment