Anthropomorphisme

« caquet » mais aussi dans celle de leur comportement qui apparaît a travers le champ lexical de héroïsme amoureux : « gloire », « amours », « rival », « victoire » et a travers la psychologie humaine « rage », « haine », « courage »... Il y a anthropomorphisme. Le coq est choisi par LF car il est symbole de vanité et est le cliché d'un animal bagarreur et stupide. Un hommage à Esope D'après la préface aux fables, La Fontaine « chante les héros dont Esope est le père » : il imite la fable d'Esope

traite de l'être en général et non pas de telle ou telle catégorie d'être. La métaphysique aborde aussi la question des causes de l'Univers et des principes fondateurs de la connaissance. Irrationnel : Contraire ou inaccessible à la raison. Anthropomorphisme : Attitude consistant à se représenter tous les êtres (dieux, esprits, animaux) sur le modèle de l'homme. Abstraction : Philosophie : Action de l'esprit consistant à isoler un élément (une propriété, une relation..) d'une représentation (de

construit son objet quel peut être son rapport à la vérité? En effet si l’on considère que la science construit réellement son objet, il est fortement envisageable que celui-ci porte la marque de la science qui la construit, voire la marque d’un anthropomorphisme. Construire, c’est créer quelque chose de toutes pièces, le produire à partir d’éléments donnés, c’est-à-dire produire quelque chose d’abstrait. En admettant que la science construit son objet, cela signifie qu’elle créé un fait à partir d’autres

commentaire littéraire Plan possible I) Le Dieu sur la ville : l’allégorie de la monstruosité et de l’aliénation de la vie urbaine 1. L’allégorie du Dieu Le Dieu évoqué présente à la fois des caractéristiques humaines et animales (panse v5) -> anthropomorphisme qui rend l’allégorie saisissante • Citations de différentes parties du corps, autant de synecdoques qui soulignent sa puissance et sa domination : front (2), panse (5), sourcils (13), cheveux (15), poing (17) • Chaque partie du corps est associée

oppose la méthode expérimentale des scientifiques à la métaphysique des philosophes Spinoza (1632-1677) Dieu n'a pas crée la Nature, il est la Nature. Idéaliste mais propos anti-cartésiens Il faut se dégager de tout anthropocentrisme et anthropomorphisme. L'H° ne veut pas se rapporter à la matière car il l'attache aux animaux, il veut avoir une certaine supériorité en s'imaginant possesseur d'une âme immatérielle. Buffon (1707-1788) : intuition de l'évolution ; il pense qu'il y a une dégradation

LA n°2 : « La Besace », La Fontaine, Fables, I, 7 Introduction : - Fables : 12 livres, 243 fables, ≃ 30 ans, Inspiré des fabulistes de l’antiquité grécolatine (Ésope + Phèdre), Mise en scène d’animaux (Anthropomorphisme) - La Fontaine : Poète, Moraliste, XVIIème siècle (Louis XIV, Siècle des Moralistes), Classicisme - « La Besace » dénonce l’amour-propre des hommes. - Comment La Fontaine critique-t-il l’orgueil des hommes en mettant en scène un bestiaire ? I. Un récit dynamique A) Un récit vif •

pressentiments : connaissance directe dépourvus d’un développement fondé sur des données objectives. 8) Comportement : c’est la seule chose qui est palpable et tangible. Action ou réaction d’un être vivant dans une situation donnée. 9) Anthropomorphisme : Attribution de caractéristique comportementale ou morphologique humaine à d’autres entités comme des animaux ou des objets. 10) Le cognitivisme : Courant de pensée qui considère que le comportement est sous tendu par un ensemble de processus

Problématisation : Comment penser des désirs naturels alors même que le désir semble être la marque de la culture ? Affirmer qu'il existe des désirs naturels n'est -ce pas projeter sur la nature des catégories propres à l'homme (anthropomorphisme) ? I Au sens propre on ne peut parler de désirs naturels I.1 « Naturel » signifie vital, nécessaire, qui n'a pas été modifié par l'homme. En ce sens le désir s'oppose au besoin en tant qu’exigences liées au processus

toute chose qui a bien une dignit´e d’existence et qui ne d´epend pas de l’agir de l’homme, quand bien mˆeme ce dernier tente de la soumettre `a ses projets. 3. (a) Paradoxalement toutefois, il semble que cette analyse reste marqu´ee d’un anthropomorphisme illusoire puisque la nature n’a pas besoin de l’homme pour survivre et son cycle de vie peut tr`es bien ˆetre marqu´e par des changements radicaux qui ne remettront jamais en cause son existence. La disparition d’esp`eces n’a jamais, par exemple

vestige de dogme, toute ombre de sacrement, tout parfum d’encens, une fois que l’esprit renonçant à prendre possession de l’absolu, se refuse même à se servir du mot Dieu, jusqu’à ce que la langue humaine se soit corrigé de son incorrigible anthropomorphisme, toutes ces transformations accomplies, reste-t-il encore une religion ou pour mieux dire de la religion dans l’âme humaine ? Non s’écrie avec indignation tout le monde des dévots. Nous répondons au contraire : il reste toute la religion,