Anticipation rationnelle

marché) Éléments de contexte -Essor dans les sciences + émancipation de la tutelle religieuse => recherche d'explications rationnelles -L'économie politique selon Smith : 2 objets : enrichir le peuple et l'État Quelques grands concepts et leur actualité La théorie des sentiments moraux et la conception de l'homme -homme : égoïste + calculateur froid et rationnel => maximiser son utilité + moteur puissant : l'ambition personnelle -cela conduit à : l'harmonie collective La main invisible

contredire les faits. Ces rationalisations viennent ex-post et parfois les explications disparaissent alors que la corrélation dure toujours. Expliquer ne suffit pas, il faut avoir la bonne explication. Nous vivons dans un monde des anticipations rationnelles (néo-néo-classiques) : les explications données aujourd’hui sont meilleures, or elles ne sont pas fondées empiriquement. Ex : l’équivalence Ricardienne, et les marchés financiers. Le postulat des prédictions : les agents ne font pas

-Formation et éclatement des bulles -Exemples historiques Partie I: Typologie des bulles A. Théories 1. Modèles d’évaluation d’actif 2. Remise en cause de ces modèles 3. Est-il possible de détecter une bulle avant son éclatement ? B. Bulles rationnelles 1. Définition 2. Modèle de première génération 3. Modèle de deuxième génération C. Bulles irrationnelles 1. Introduction à la finance comportementale 2. Les auteurs et les théories 3. Facteurs comportementaux et les répercutions sur les

utiliserons la théorie keynésienne de la politique économique et les différentes critiques dont elle a fait l’objet, il s’agit de la critique de Milton Friedman, et de celles de la nouvelle macroéconomie classique également appelée école des anticipations rationnelles. Nous nous rendrons compte que malgré de nombreuses critiques de la politique conjoncturelle budgétaire, les Etats ne peuvent pas s’en passer surtout en cette période où les conséquences de la crise des subprimes continuent à se faire

victimes de leurs anticipations adaptatives. Ils n'anticipent pas la croissance accélérée de la masse monétaire. Ils sont victimes d'illusion monétaire à court terme. La courbe de Philips est valable à court terme. Mais dès qu'ils constatent que l'inflation est supérieure à celle qu'ils ont anticipé, ils réajustent leur offre de travail et leurs encaisses monétaires (pour garder des encaisses cons tantes en termes réels). La courbe de Philips ne marche plus car les anticipations des agents s'adaptent

du modèle ; 2. Les principaux auteurs du courant monétariste. II. Apports des monétaristes ; 1. Modèles monétaristes de l’hyperinflation ; a. Le modèle de CAGAN; b. Le modèle de l’hyperinflation sous hypothèse d’anticipations rationnelles et l’offre de monnaie endogène ; c. Modèles à équilibres multiples et politiques hétérodoxes ; d. Le problème du taux de change. 2. Hypothèse de PPA (parité du pouvoir d’achat) ; 3. Modèle de BP (balance de paiement) ; 4. Théorie

de Phillips, revisitée par Samuelson et Solow, autorise la mise en œuvre de politiques économiques de réglage fin de la conjoncture (politique de stop and go). Sur le plan théorique, la théorie monétariste (Friedman) puis la théorie des anticipations rationnelles (Muth, Lucas et autres) conduisent à penser qu’il est préférable de recentrer la politique monétaire sur un objectif unique de stabilité des prix. – La critique monétariste (Friedman et Phelps en 1968) vise à rendre compte de la stagflation

et contestable comme la flexibilité des prix, la vérification de la PPA (entre l’évolution du niveau des prix et l’évolution du taux de change) et enfin l’absence de la prise en compte de l’évolution de la masse monétaire dans la formation des anticipations inflationnistes. - Le modèle à prix rigides : L’hypothèse de rigidité des prix sur le marché des biens fut introduite par R.Dornbusch en 1976, dans le but de combler cette lacune existant dans l’approche de flexibilité des prix. Ainsi

en circulation ? mais quid du crédit réel ou potentiel  dont jouissent les acteurs économiques ?) 4.1 Introduction 4.2 L’approche quantitative de la monnaie 4.3 L’analyse à l’aide de la courbe de Phillips augmentée des attentes (anticipations) 4.4 L’approche monétariste de la balance des paiements et de la détermination du taux de change 4.5 L’école monétariste orthodoxe Entretien avec Milton Friedman Entretien avec David Laidler 5 La nouvelle école classique

Cette théorie ne marche que sous certaines hypothèses:- si on admet qu'un marché financier est un ensemble d'individus égaux, libres et séparés. Ex: théorie du consommateur égaux: agents qui ne pèsent pas plus que les traders. -théorie du choix rationnel: on maximise des préférences sous contrainte budgétaire -marchés parfaitement anonymes: on ne connaît pas les autres agents. La théorie de la décision est présentée sous la forme de la théorie de l'utilité espérée. La théorie du consommateur: a chaque