Antidépresseur

hypothèses de travail avec des objectifs réalistes et on réévalue les objectifs, les actions et leurs résultats IV- Traitements Si nociception utilisation d’antalgiques, physiothérapie et kiné Si neuropathies « antidépresseurs….contre stimulation, neuro stimulation Si psychogènes antidépresseurs, anxiolytiques, hypnotiques, neuroleptiques, psychothérapie L’effet placebo est inexpliqué Mais dans tous les cas approche cognitive, thérapie comportementale, développer les contrôles endogènes de la douleur

questions pour faire le point avant de consulter un médecin 29 30 32 32 38 44 LES SOLUTIONS THÉRAPEUTIQUES Pourquoi le recours au soin est-il indispensable ? Quelles sont les solutions efficaces ? • La psychothérapie • Les médicaments antidépresseurs Quand l’hospitalisation est-elle nécessaire ? 47 OÙ ET QUI CONSULTER 48 ÷ 50 ÷ 52 ÷ 55 ÷ 58 ÷ Qui consulter pour un diagnostic de la dépression ? Qui consulter pour des traitements ? Où consulter ? Quelles sont les possibilités de remboursement

1 cpr le matin → antihypertenseur, IEC (inhibiteur de l’enzyme de conversion) - AMLODIPINE 5 mg, 1 cpr le soir → antihypertenseurs/ insuffisance coronarienne, inhibiteur calcique Pour le moral : - EFFEXOR LP 75mg : une gélule le matin → antidépresseur, inhibiteur de la recapture de la sérotonine et de la noradrénaline Contre la polyarthrite : PREDNISONE → 1cpr le matin Contre les douleurs : - LAMALINE, 2 gélules matin, midi, soir (si douleur) : antalgiques de palier II, opioïdes faibles

contraceptifs (« eh oui ! Vu le temps de l’éducation d’un enfant »), vaccins, médicaments utilisé pour des maladies mettant en jeu le pronostic vital. Effets indésirables paradoxal : rares, sous psychotropes, lié a la levé d’inhibition : suicide sous antidépresseurs. Effets indésirables évitables résulte d’un dysfonctionnement (posologie inadéquate, confusion entre deux patients…)/ inévitables (réactions allergique, vomissement sous morphine…). La réintroduction d’un médicament ayant fait un EI est une

traitement antidépresseur n’est pas forcément nécessaire. Il est donc utilisé dans les formes de dépressions moyennes ou graves. Son efficacité s’installe sur deux semaines environ et peut être représentée par plusieurs classes médicamenteuses. Les antidépresseurs sérotoninergiques (mais aussi certaines autres classes « mixtes » récentes) permettent un traitement ambulatoire par comprimés et une bonne efficacité antidépressive, sauf dans les formes les plus graves. Les antidépresseurs tricycliques

des amnésies, une sorte d'état d'ivresse, dans certains cas un coma quand il y a association d'alcool. HEROINE Elle contient de l'opium (végétal), elle est obtenue à partir de la morphine. L'héroïne est connue pour être un anxiolytique et antidépresseur. C'est une poudre qui est injectée en intraveineuse. La consommation entraîne un état de bien-être, d'extase, d'euphorie, de manque, insuffisance respiratoire en cas de surdosage voire overdose, perte de connaissance, mort dans le pire des cas

pèse 50 kg IMC=19 ,5 normal Présentation médicale Antécédents médicaux : Déc. 2012 : Troubles dégénératifs cérébrale (syndrome de Korsakoff) en rapport avec éthylisme chronique. Jan. 2013 : Hyponatrémie suspicion d’effets secondaires d’un antidépresseur (PROZAC®) Oct. 2013 : Embolie pulmonaire Antécédents chirurgicaux : Appendicectomie Ulcère gastrique Antécédents psychologiques : Nov. 2012 TS par pendaison Anamnèse : Mr M. a été admis aux urgences psychiatriques en Mars 2013 suite à

ceux qui avaient participé à une thérapie à base d’exercices en groupe avaient connu une amélioration comparable à ceux traités avec un médicament antidépresseur. Une autre petite étude parue également en 2007 avait conclu que l’exercice régulier améliorait les symptômes de dépression chez les personnes n’ayant pas répondu à un traitement antidépresseur. « Le sport c’est bon pour la santé ». Ce conseil est basé sur des bienfaits réels et est démontrés de la pratique régulière d’une activité physique

Spécificités ethniques et culturelles à prendre en compte L’épisode maniaque Diagnostic différentiel • Cause somatique (confusion, épilepsie temporale, hyperthyroïdie, hypercorticisme…) • EM induit par une substance (certains médicaments notamment antidépresseurs, corticoïdes, drogues…) • Troubles psychotiques (schizophrénie ++ et troubles schizoaffectifs) L’épisode maniaque Evolution • Durée variable : 4-8 semaines à plusieurs mois si non traité • 80% de rémissions totales si bien traité Juillet

pour traiter les douleurs neuropathiques (Lyrica) Analgésique non morphinique (Acupan) Antidépresseur (Norset) Antalgique (Paracétamol) Anxiolytique (Temesta) ELEMENTS SIGNIFICATIFS Physique : Hémiplégie gauche Prothèses dentaires haut et bas Lunettes Psychologique : Difficultés sur le plan mnésique parfois propos incohérent. Patiente algique mais pas systématiquement tous les jours Traitement antidépresseur et anxiolytique Réseau de soutien : Familial : ces 3 filles, ses gendres et petits