Antigone 1

grecque. De plus, celle-ci était la représentation que les grecques se faisaient sur le monde en général. Considéré comme fictif, le mythe rapporte l’histoire de l’origine de l’homme et l’univers ainsi que tous les événements primordiaux. La pièce Antigone, de Sophocle, en est un exemple de mythe célèbre qui a été repris par l’édition Librio en 2005, mais écrit durant l’Antiquité. Cette tragédie grecque démontre quelques aspects de la mythologie, notamment l’étude des travers humains. Il sera d’abord

ANTIGONE de Jean Anouilh L’œuvre Jean Anouilh naquit en 1910 et mourut en 1987 il fut dramaturge et scénariste, Jean Anouilh a écrit d’autre œuvre comme Eurydice en 1942, l’alouette en 1953 mais Antigone reste la plus célèbre. Antigone est une pièce de théâtre, plus précisément une tragédie (nous savons dès le début que celle-ci va mourir)  Ecrite en 1942 et jouée pour la première fois en 1944 Qui est Antigone dans la mythologie Antigone est, à l'origine un mythe écrit par Sophocle

Antigone Biographie de l’auteur Il est né à Bordeaux en 1910. Il arrive à Paris en 1921. En 1929 il devient le secrétaire de Louis Jouvet Sa première pièce, l’Hermine (1932), lui offre un succès d'estime, et il faut attendre 1937 pour qu'il connaisse son premier grand succès avec le Voyageur sans bagages il se lance dans l'adaptation de tragédies grecques et obtient un nouveau succès avec Eurydice (1942). En 1944 est créé Antigone (1944) Anouilh est mort en 1987. L’œuvre Antigone est

La machine infernale Jean Cocteau, né en 1887, est un homme à multiples talents. Il est un poète, graphiste, dessinateur, dramaturge et cinéaste. Il réalisa plusieurs œuvres français toute sa vie dont La Machine infernale. Dans le deuxième acte de cette pièce, Œdipe fait la rencontre du Sphinx et doit répondre à l’énigme que personne n’a réussit de deviner afin de devenir l’héro de Thèbes. Cependant, la victoire d’Œdipe sur le Sphinx est présentée comme une malédiction. Ver la fin de l’acte, Anubis

« Antigone » Résumé de l’œuvre : Antigone est la fille d'Œdipe et de Jocaste, souverains de Thèbes. Après le suicide de Jocaste et l'exil d'Œdipe, les deux frères d'Antigone, Étéocle et Polynice se sont entretués pour le trône de Thèbes. Créon, frère de Jocaste devient le nouveau roi. Il a décidé de ne pas donner de sépulture à Polynice, qualifié de voyou et de traître. Il annonce que quiconque osera enterrer son corps sera puni de mort. Personne n'ose braver l'interdit et le cadavre de Polynice

enfants : Etéocle, Polynice, Ismène et Antigone. - Mais un nouveau fléau s’abat sur Thèbes et le seul moyen de mettre fin à celui-ci est de retrouver l’assassin de Laïos. Œdipe fait appel au devin Tirésias. Celui-ci lui avoue toute la vérité, qu’Œdipe à tué son père et s’est marié avec sa mère. - Après cette terrible nouvelle, Jocaste se pend et Œdipe se crève les yeux pour avoir été aveugle sur toute la ligne. - Œdipe fui Thèbes en compagnie de sa fille Antigone. Un jour il croise la route des Erynes

Résumé de l’histoire : Antigone, petite fille discrète, sœur d’Ismène, fille d’Œdipe, femme d’Hémon et nièce de Créon roi de Thèbes part dans la nuit recouvrir le corps de son frère Polynice qui n’a pas eu le droit à des funérailles digne, tandis que son frère Etéocle lui a eu des funérailles gigantesque. Ces deux frères sont morts en s’entretuant pour le pouvoir de Thèbes qu’ils devaient se partager chaque année. Polynice n’est pas enterré pour sa réputation de traître, du « mauvais frère ». Créon

Antigone fait part à sa sœur Ismène de son intention de braver l'interdiction d'accomplir les rites funéraires pour leur frère Polynice — tué par son autre frère Étéocle lors d'une bataille où chaque frère veut tuer l'autre pour devenir roi de Thèbes, mais les deux meurent —, et cela sous peine d'être lapidée par le peuple thébain, car l'interdiction a été émise par le roi Créon. Tout en reconnaissant la justesse du geste, Ismène refuse de la suivre dans cette entreprise (« je cède à la force, je

Antigone fait part à sa sœur Ismène de son intention de braver l'interdiction émise par le roi Créon d'accomplir les rites funéraires pour leur frère Polynice — tué par son autre frère Étéocle lors d'une bataille où chaque frère voulait la mort de l'autre pour devenir roi de Thèbes et où chacun d'eux perdit la vie. [(Antigone)] risque la mort. Tout en reconnaissant la justesse du geste, Ismène refuse de la suivre dans cette entreprise (« je cède à la force, je n'ai rien à gagner à me rebeller »[3])

« Antigone » est une pièce tragédienne de Jean Anouilh inspirée d’une pièce classique de Sophocle reprise en 1942 et présentée pour la première fois au théâtre de l’atelier à Paris en 1944 durant l’occupation allemande, dont les personnages principaux sont Antigone, Créon, Hémon et Ismène. Elle visait le public français contemporain subissant l’occupation allemande. Jouée plus de 228 fois en moins d’un an, elle a connu un énorme succès. Pour cette pièce, Anouilh adapte « Antigone » pour un spectateur