Antigone Autre Dénouement

J-C et mort en 456 av J-C Sophocle né en 495 av J-C. et mort en 406 av J-C Euripide né 480 av J-C et mort en 406 av J-C 5 – 2 œuvres pour chaque auteurs et résumé une. Eschyle : Les Sept contre Thèbes / Les Suppliantes Sophocle : Antigone / Les Trachiniennes Euripide : Médée / Les Héraclides Les Suppliantes Les Suppliantes sont la suite des Phéniciennes. Les sept chefs argiens étant morts sous les murs de Thèbes, leurs mères ne purent obtenir des Thébains la restitution de

le public assiste donc à une représentation successive de trois différents points de vue, celui de l’auteur, du metteur en scène et de l’acteur. D’autre part, une même histoire peut être racontée de deux différentes manières comme Antigone de Sophocle et Antigone de Anouih. Chacun en fait sa propre interprétation. Certains artifices comme les apartés ne sont pas non plus très réalistes. Dans Dom Juan par exemple, il parait impensable que Charlotte et Mathurine n’entende pas Dom Juan parler,

Emulation (…) l’émulation est une peine occasionnée par la présence manifeste de biens estimés et qu’il nous serait possible de recevoir ressentie à l’égard de personnes dont nous sommes naturellement les pairs, non point parce que ces biens sont à un autre, mais parce qu’il ne sont pas aussi à nous (…). (1388a, 11) Mépris (…) le mépris est le contraire de l’émulation, et le procès de l’émulation le contraire de celui du mépris. Nécessairement ceux qui ont un habitus à éprouver de l’émulation ou à

veux seulement. » - vers 221 à 284 | |Lectures analytiques |Isabelle et Lyse (IV, 2) : « Puisqu’à ce beau dessein, l’amour » à « que tu me rends heureuse ! » - vers 1070 à 1125 | | |La scène de dénouement (V, 5) : de « Ainsi de notre espoir » à la fin. – vers 1725 à 1824 | | |Haro sur les comédiens !

confronté à une situation difficile, suscite des émotions. 1. La pitié Le personnage face à la mort : récit de Théramène pour la mort d'Hippolyte, mort de Ruy Blas sur scène... Le personnage face à un dilemme : Stances du Cid, déchirement de Créon entre Antigone et sa fonction de Roi... Le personnage face à une situation insupportable : jalousie de Phèdre 2. La crainte Le personnage soumis à un destin divin, implacable, omnipotent : Oedipe Le personnage soumis à un destin humain : folie de Zucco, destin

QUESTIONS         I.            ÉTUDE DE TEXTE (10 pts) Relisez le texte et répondez aux questions suivantes : 1)      Ahmed Sefrioui est un écrivain marocain d'expression française. Quand et où est-il né ? (0,25x2) Citez une de ses œuvres (autre que « La Boîte à Merveilles ». (0,25). Quand est-il mort ? (0,25). Pour répondre, vous pouvez choisir parmi les informations suivantes : 1905, 1915, 1984, 2004, à Fès, à Oujda, « Le Chapelet d'ambre », « Partir ». 1 pt 2)      a) « La Boîte à Merveilles

rapide de brèves répliques (un vers ou un hémistiche) entre deux personnages. Elle accélère le rythme du dialogue, intensifie la tension dramatique comme dans un duel verbal. (p.54) Une tirade est le long discours d’un personnage adressé à un autre sur scène. (p.54) Un monologue permet l’introspection d’un personnage qui analyse ses sentiments ou qui délibère avec lui-même pour trancher un dilemme. (p.54) Un aparté est une réplique qu’un personnage dit « à part » comme s’il se parlait

cas de Molière qui répond à ce goût du public avec l’intervention de la statue animée du Commandeur dans Dom Juan. De nos jours, si les effets spéciaux du cinéma rendent ce type de fantaisies scéniques obsolètes, à l’époque cette statue servait le dénouement tragique de la pièce en emportant Dom Juan dans les flammes de l’Enfer, semblant annoncer ainsi le dernier mot de Dieu. Enfin, l’acteur également doit répondre, par son jeu, aux attentes des spectateurs. Par exemple, avec la pièce de Molière Cyrano

didascalies. L'œuvre publiée indique également le découpage en scènes, en actes ou en tableaux. Le texte à dire[modifier | modifier le code] Le texte à dire va du canevas de la commedia dell'arte à l'alexandrin classique, et s’adresse à un interlocuteur (un autre personnage ou soi-même) et en même temps au spectateur : c'est la double énonciation théâtrale4. Il est destiné à être dit par les comédiens. On définit cette particularité par l’expression de « double énonciation », qui rappelle que le théâtre est

indispensable. - Tout d’abord, l’auteur (ne pouvant recourir à un narrateur) utilise des artifices de langage que chacun accepte comme s’ils allaient de soi. Ce sont d’abord les monologues sans lesquels on ne saurait rien des pensées du personnage. Autre artifice du même ordre : l’aparté qui oblige à croire que le personnage présent physiquement sur la scène n’a pas entendu. Ex extrême de monologue délibératif : les stances du Cid. - Concernant l’acteur, personne ne s’étonne du fait qu’on l’ait