Antigone Conflit Garde

espèce précise : la règle de droit n’est pas un jugement. Mais ici, il convient de préciser : certaines règles constituent des principes. Exemples : Un principe : la liberté d’aller et venir (articles 15, 16 et 18 de la Constitution). L’exception : la garde à vue18 et la détention préventive19. Un autre principe : l’inviolabilité du corps humain. L’exception, l’intervention chirurgicale à fin thérapeutique. Cependant, l’exception est aussi une règle puisqu’elle entend régir une série de situations et

elle réalise un mode d’unification du temps et de l’espace. Cette unification a une structure, que le muthos arti- cule en commencement, milieu et fin. L’action étant une manifestation de la liberté, elle a un début, elle est un geste inaugural : Antigone commence une action en faisant très librement un geste très nécessaire, un geste de rupture par rapport à l’ordre prescrivant aux femmes d’obéir et de se tenir à l’écart de la praxis, qui est l’affaire des fils. Toujours parce qu’elle mani- feste

pénal. Ce code pénal devient un modèle pour les grands pays d’Europe, adoptée par la Belgique et le Luxembourg. C'est une œuvre de compromis entre l'ancien droit et le code révolutionnaire, il n'y a donc pas de grandes ruptures, on garde les grands principes. On garde le principe de la légalité des délits et des peines mais va renouer avec les principes de l'ancien régime : la sévérité des peines et on rétablit des peines supprimés. Dès sa parution, ce code a un grand succès dans l'Europe mais

directe ou indirecte est donc un choix politique qui n’a rien d’un déterminisme historique. Dans l’histoire de la cité, de l’époque archaïque qui dure en gros du VIIIe siècle au VIe siècle fait place à l’époque classique qui s’ouvre par le conflit avec les Perses et s’achève par la victoire de Philippe de Macédoine à Chéronée. S’ouvre alors la période hellénistique. Ici, pour les institutions, un découpage un peu différent a été adopté. Section 1 L’évolution des institutions athéniennes

pavillonnaires qui se sentent menacées, enclaves urbaines livrées au trafic près d'un site touristique, villes historiques dévastées par la guerre et par le terrorisme... Pourquoi l'espace urbain n'est-il aujourd'hui perçu qu'en tant que lieux de conflits, de douloureux ajustements sociaux, de perte de sens, de risque écologique? La ville, la cité, qui était autrefois synonyme de civilisation (on parlait d'urbanité pour signifier le respect et l'élégance dans les relations entre individus), est désormais

sur la nature des choses, peu importe ce que peuvent dire les hommes de pouvoir, certaines choses sont bonnes par nature et d’autres sont mauvaises par nature. Il se peut que des normes soient injustes donc, et c’est une idée extrêmement ancienne (Antigone – Sophocle). Le critère du juste n’est pas fondé sur la volonté du dominant. Ce qui est juste l’est universellement et intemporellement pour le droit naturel. Il y a donc une nature humaine commune à tous les hommes et intemporelle. Pour les croyants

journaliste. La différence vient essentiellement de la temporalité, du recul temporel qui permet la réflexion. L’homme politique est dans l’action, dans l’immédiat. Le journaliste est dans le quasi-immédiat, il réagit à chaud pour que son travail garde de l’intérêt. L’universitaire peut, lui, prendre le temps de la réflexion, de la documentation. Il produit donc quelque chose de plus réfléchi, moins émotionnel, plus scientifique. Le problème est qu’il produit une réflexion de bonne qualité mais qui

société est forcément conflictuelle car les hommes sont différents. L’unanimité est rarissime. Il est donc nécessaire qu’un pouvoir politique soit habilité à édicter des normes qui seront si besoin est, sanctionnée par la force. (Un champ social de conflit d’intérêt régulé par un pouvoir qui a le monopole de la violence légitime. La science politique a pour objet ses études de production, ses normes rendues obligatoires. 3/Les 4 branches de la science politique -privilégier la théorie politique(une

.....................................................................................................146 Le Dernier jour d’un condamné............................................................................................................148 Antigone................................................................................................................................................150 Bibliographie Générale............................................................................

critères seulement à la différence de la loi ou du règlement qui ont une valeur « Absolue » la décision de justice reste « Relative ». Chapitre 1 : L'autorité investie du pouvoir de juger Le pouvoir judiciaire est le pouvoir de mettre fin à un conflit en rendant une décision en fonction d'une norme obligatoire qui est la règle de droit. Quels son les acteurs de ces jugements ? Quelles sont les institutions judiciaires : les juridictions ? Section I : Les Magistrats et les Juges On distingue