Antigone Didascalie Initiale

ultime réunit les 4 personnages, même si un seul s’exprime (Léone). Le texte organise donc une succession d’apparitions/disparitions, présences/absences, paroles/silences rythmée par les alternances de lumière et d’obscurité suggérées par les didascalies ou les dialogues. Combat de nègre et de chiens est édité aux Editions de Minuit. Bernard-Marie Koltès 2 Combat de nègre et de chiens Un certain territoire / territoire incertain Le chantier est un lieu clos, enclos : camp protégé

qu’elle est. C’est du théâtre que l’on a besoin pour voir au fond des images. Maison close sur plateau de théâtre à vue On dit souvent, que malgré la règle des trois unités, Amphitryon est finalement une pièce baroque. C’est vrai. La didascalie initiale dit que la pièce se passe « devant la maison d’Amphitryon ». Mais cette maison est fantasmatique. Le vrai Amphitryon et le vrai Sosie ne peuvent jamais y pénétrer. Ils s’agitent et se cognent la tête contre la paroi de cette « maison close

centré autour d’une action principale et contenant peu de personnages. 3- a) Le premier texte est un extrait de pièce de théâtre. Les indices sont : le numéro de la scène, le nom des personnages en début de scène ou avant leur réplique, et les didascalies (indications souvent en italique, qui précisent le ton, les déplacements, les gestes, le décor...). b) Le deuxième texte est un extrait de roman. Les indices sont : l’emploi des temps du récit (imparfait – passé simple), l’alternance de deux formes

cette pièce « apparaît moins comme un retour de Cocteau vers l’antiquité, La Machine infernale remonte à 1934, que comme un simple prétexte à faire briller une étoile sous un de ses angles les moins connus[2] » (TC 1694). Tout comme avec Antigone et La Machine infernale, Cocteau rajeunit le conte mythique de Pétrone et lui donne, tel qu’il le déclare dans un article paru dans le Figaro du 28 mars 1936, « une très libre adaptation ». C’est ainsi qu’en réécrivant les deux chapitres du roman

conditionné à agir de telle façon plutôt que telle autre .  Tragédie : C’est un genre littéraire dans lequel domine la fatalité (mort) : Antigone  Comédie : C’est un genre Littéraire divertissant (rire) : Le malade Imaginaire Drame : C’est un genre littéraire qui n’est pas dominé par la fatalité  Fatalité : c’est un fait irrémédiable contre quoi l’homme ne peut rien  Antigone : Incarne parfaitement la fatalité (symbole de mort). Déictique : pronoms, indices spatio-temporels. VOCABULAIRE  Vocabulaire

194 194 195 195 Corpus ⁄ ¤ ‹ › ∞ 6 ‡ EURIPIDE, Les Troyennes, 415 av. J.-C. P. CORNEILLE, Horace, IV, 5, 1640 P. CORNEILLE, Cinna, III, 4, 1642 J. RACINE, Andromaque, III, 6, 1667 J. RACINE, Bérénice, IV, 5, 1670 J. ANOUILH, Antigone, 1944 OUVERTURE CONTEMPORAINE J.-P. SARTRE, Les Troyennes, 1965 OUVERTURE CONTEMPORAINE 196 198 201 204 206 208 209 Pour argumenter : Faut-il montrer la violence ? P. CORNEILLE, Examen d’Horace, 1660 J. RACINE, Préface de Bérénice

au spectateur. Les didascalies (ou indications scéniques) : Ce nom féminin désigne les indications, inscrites entre parenthèses sur le texte, qu'a écrites l'auteur sur la façon de jouer ou de dire une réplique, ou sur les éléments du décor. Leur qualité varie en fonction des œuvres : une tragédie classique du XVII° siècle en comporte très peu ; une pièce de Ionesco en sera richement pourvue. On distingue les didascalies externes, écrites en italiques, et les didascalies internes, intégrées aux

représentation ; le théâtre, genre et registre ; démontrer, convaincre, persuader. TEXTE 1 : Albert Camus, Caligula, I, 8 TEXTE 2 : Alfred Jarry, Ubu roi, III, 2, de « apportez la caisse à Nobles » à « faire des lois maintenant ». TEXTE 3 : Jean Anouilh, Antigone a. Question préliminaire (sur 4 points) Après avoir lu tous les textes du corpus, vous répondrez à la question suivante : Quelle représentation du pouvoir donne chacun des extraits du corpus ? Préparation - Lire attentivement et plusieurs fois les

utilisé dans la comédie qui permet de suivre le double jeu des personnages.   Les didascalies. Ce sont toutes les indications scéniques, souvent mises en italique, qui vont permettre de fournir des informations au metteur en scène ou au lecteur. On distingue : • Les didascalies initiales : elles donnent le titre de la pièce, les listes des personnages, les indications de lieu, le décor... • Les didascalies internes : elles accompagnent le dialogue. 2 - L’action dramatique Le théâtre français

Conteste l’héritage laissé par les auteurs du 19ème siècle * Rejet de la notion d’intrigue (plus d’histoire), plus de chronologie * Rejet de la psychologie du personnage (il n’y a plus de prénom ou personnages sont représentés par des initiales, ex : S. ou X) * Rejet de l’engagement (il n’y a plus de message) * Centre de l’histoire : L’objet Mouvement : Le Nouveau Roman Les principes du mouvement : * L’exploration de la conscience intérieure * Description minutieuse