Antigone Et Le Garde

devoir, vous devez donc maîtriser les connaissances acquises dans les séquences 5 et 6. Corpus : Texte A – Molière, Le Bourgeois gentilhomme, Acte III, scènes 3 à 4 (1670) Texte B – Racine, Andromaque, Acte III, scène 6 (1667) Texte C – Jean Anouilh, Antigone (1944) (extraits) Texte annexe – Marcel Pagnol, Le Schpountz (1938) (extrait) Texte A : Molière, Le Bourgeois gentilhomme (1670). Covielle fait croire à M. Jourdain, un « snob » de son époque - c’est-à-dire un bourgeois qui se prend pour un

théâtre. N'est-ce pas alors en réalité le valet qui joue le véritable rôle principal de la pièce? http://fr.litarature.wikia.com/wiki/Les_r%C3%B4les_des_valets_dans_les_com%C3%A9dies _de_Moli%C3%A8re?oldid=3346 » Antigone C’est un véritable dialogue de sourdes, un quiproquo entre une Antigone rêveuse au langage poétique évoluant dans un monde merveilleux plein de beauté : « Tout est déjà rose, jaune, vert. C’est devenu une carte postale… C’est beau un jardin qui ne pense pas encore aux hommes. » Alors

annoncée de différente manière pour les trois extraits : de façon plus subtile pour Tartuffe, et plus prévisible pour Antigone et Phèdre. En effet, dans Tartuffe, Damis est le premier à parler du personnage éponyme responsable de tous les tourments à venir : « Votre monsieur Tartuffe est bien heureux sans doute... » et « qu'un cagot de critique » Il s'agit des premières mise en garde du faux dévot, suivie de celle faite par Dorine : « il contrôle tout, ce critique zélé. » Si Madame Pernelle fait preuve

récits mettent-ils en scène le combat à mort de frères jumeaux ? Proposez trois hypothèses. À la mort d’OEdipe, Antigone, Polynice et Étéocle subissent un destin lié à l’inceste originel dont ils sont issus. Polynice et Étéocle devaient régner alternativement sur Thèbes. Étéocle prend la première année, mais se refuse à laisser sa place à son terme. Une guerre sans merci commence. Antigone souffre elle aussi de ses origines et a dû errer avec son père jusqu’à sa mort. Les combats fratricides s’inscrivent

scène 15 d’ Antigone de Jean Anouilh): Ainsi l’aveu d’Antigone nous apparaît-elle comme l’expression du désespoir, puisque la raison que la jeune fille avait de mourir vient de s’évanouir. Comme dans la tragédie classique le garde fait office de « confident » - songeons par exemple à Oenone face à Phèdre - mais parce qu’il n’est pas concerné il ne constitue pas un véritable interlocuteur et l’aveu ne va pas à son terme. Finalement Antigone est seule, comme elle l’a

construire une liberté fondée sur le jugement. Il n'est sans doute pas nécessaire de multiplier les sondages pour savoir si l'individu veut être libre. Pas davantage pour savoir s'il veut être heureux. Et si l'on juxtapose les deux adjectifs, la réponse garde toutes ses chances d'être positive : comment l'addition de deux situations admises comme bénéfiques ou favorables pourrait-elle basculer dans le négatif ? Il est toutefois possible que l'analyse des deux concepts en vienne à montrer qu'ils ne sont

de désespoir par pendaison. Quant à Œdipe, il comprend que leurs enfants, Étéocle[->12], Polynice[->13], Antigone[->14] et Ismène[->15] sont maudits par l'inceste de leur parents. De désespoir, il se crève les yeux avec la broche de son épouse et mère Jocaste, puis renonce à la royauté. Pour cette raison, il est chassé de Thèbes quelques années plus tard. Après avoir longtemps erré avec Antigone sa fille qui lui servait de guide, il arrive dans un lieu de culte non loin d'Athènes[->16], où l'on vénère

la tonalité dramatique ou tragique comme sa pièce la plus célèbre, Antigone, réécriture moderne de la pièce de Sophocle. Anouilh a lui-même organisé ses œuvres en séries thématiques, faisant alterner d'abord Pièces roses et Pièces noires. Les premières sont des comédies marquées par la fantaisie comme Le Bal des voleurs (1938) alors que les secondes montrent dans la gravité l'affrontement des « héros » entourés de gens ordinaires en prenant souvent appui sur des mythes comme Eurydice(1941), Antigone (1944) ou Médée (1946). Après la

+ relativement lointain (les récits de l’extérieur) Il peut arriver des choses importantes en dehors de l’espace scénique, mais elles sont toujours rapportées. Comme dans La Thébaïde lorsque Créon raconte à Antigone le combat mortel de ses deux frères (acte V, scène III), il fait revivre la scène aux spectateurs par l’intermédiaire de son récit fondé sur une hypotypose marquant le réalisme de la scène du combat qui est dépeinte. Ou bien dans Mithridate

temporelle et culturelle.  Comparer Antigone de Sophocle et Antigone d’Anouilh Les élèves liront au préalable les deux tragédies et feront une fiche comparative portant sur l’intrigue, les personnages présents, les différences qu’ils perçoivent en première lecture dans l’attitude d’Antigone et Créon, ainsi que dans le langage utilisé. * Comparaison des dialogues entre Antigone et Ismène : mettre en évidence les enjeux différents de la tragédie. Chez Anouilh, Antigone se présente d’emblée comme la