Antigone Jean Anouilh Enjeux

Jean Anouilh est un auteur contemporain du Xxème siècle. Il s'est illustré à travers de nombreuses pièces de théâtre dont la plus connue est Antigone, relecture moderne de la pièce de Sophocle. L'oeuvre littéraire de l'auteur comprens également un recueil de fables intitulé La table ronde dont est tiré Le chêne et le roseu qui a été publié en 1946. A travers cette fables, Jean Anouilh met en opposition deux végétaux personnifiés que sont le chêne et le roseau. Il met en lumière la différence

du hasard, acte 1, scène 1 (1730) Texte C : Alfred de Musset, On ne badine pas avec l’amour, acte 1, scène 1 (1834) Texte D : Jean Anouilh, Antigone, Prologue (1944) Si l’objet d’étude est toujours obligatoirement mentionné (ici le théâtre), la présentation sommaire qui s’ensuit devra alors vous permettre, après avoir acquis certains réflexes, de trouver le ou les enjeux implicites du corpus. Posez-vous alors la question : Pourquoi avoir réuni ces textes ? Quelle est la thématique qui les rassemble

littéraire - Étude des effets sur les destinataires histoire littéraire et culturelle Perspective dominante : Perspective complémentaire : Textes et œuvres : Lecture cursive : groupement de textes étude des genres et registres Antigone, Jean Anouilh La séquence suivante illustrera les acquis sur le théâtre par la lecture analytique de Dom Juan, de Molière. Séquence 5-FR20 5 Chapitre 1 > Le texte théâtral A B ........................................................

l’épreuve : 30 minutes. Préciser aux élèves d’écrire une ligne sur deux. Lire le texte une première fois en entier. Écrire au tableau les noms propres «Thèbes» et «Créon» Dicter le texte avec la ponctuation. Écrire le titre et l'auteur au tableau: Anouilh, Antigone Le relire en entier. Demander aux élèves de se relire. LE CHOEUR. - Les pauvres de Thèbes auront froid, cet hiver, Créon. En apprenant la mort de son fils, la reine a posé ses aiguilles, sagement, après avoir terminé son rang, posément, comme

en bac blanc) Document : Créon, roi de Thèbes, va devoir mettre à mort sa nièce Antigone parce qu’elle a enfreint la loi en essayant d’enterrer son frère Polynice, traître à l’État. Créon, après avoir tenté de la dissuader, lui justifie sa décision par les contraintes du métier de roi. CRÉON, sourdement1 Eh bien oui, j’ai peur d’être obligé de te faire tuer si tu t’obstines. Et je ne le voudrais pas. ANTIGONE Moi, je ne suis pas obligée de faire ce que je ne voudrais pas ! Vous n’auriez pas

« Du Souverain » et enfin d’un extrait d’Antigone, de Jean Anouilh. À partir de ces trois extraits, les deux premiers datant du XVII° siècle et le dernier du XX°, la question se pose de savoir qu’elle conception du pouvoir y est décrite. Dans les trois exemples, on remarque une description du pouvoir absolu, pouvoir représenté métaphoriquement en ce qui concerne La Fontaine et La Bruyère, de manière directe en ce qui concerne Anouilh. Le monarque chez La Fontaine se retrouve en effet sous

l’époque classique, les deux dramaturges les plus importants sont Jean Racine et Pierre Corneille. Quand sa pièce, Bérénice, a été critiquée parce qu’elle ne contenait pas de dénouement fatal, Racine a répondu en contestant le traitement "conventionnel" de la tragédie. Corneille pratiquait aussi une tragédie à dénouement non fatal, ou tragi-comédie, genre apprécié auparavant mais sorti des mœurs du public depuis. À la même époque, Jean-Baptiste Lully met au point avec Philippe Quinault une forme de

a vécu de 496 à 406 av. J.-C. Alors que la version récente d’Antigone est de Jean Anouilh qui est un écrivain et dramaturge français du XXème siècle, il est l’auteur de nombreuses pièces de théâtre, la plus célèbre étant bien sure Antigone, une relecture moderne de la pièce de Sophocle. La destinée d’Antigone est annoncée dès le prologue de la pièce d’Anouilh : « Elle pense qu’elle va mourir […]. Elle s’appelle Antigone et il va falloir qu’elle joue son rôle jusqu’au bout… » alors que ce destin fait

à un choix : sa liberté de femme ou la vie de son fils Astyanax. Il s'agit d'une visée tragique donc d'une tragédie. Dans le texte C qui est un extrait de « Antigone » de Jean Anouilh, ils s'agit du registre de langue courant qui peut même parfois aller jusqu'au familier dans l'exemple « Faut croire ». La visée est tragique car Antigone va bientôt mourir et se sent très seule car le garde, qui est la dernière personne qu'elle verra avant sa mort, n'écoute presque pas ses propos et ne compatit pas

leur société en s’intéressant au phénomène social et politique. Leurs contenus présentent souvent des questions fondamentales et des crises extrêmes dont l'interprétation des solutions supporte plusieurs sens. Dans le livre de Jean Anouilh intitulé Antigone, Antigone représente la révolte tandis que Créon représente la résignation. Dans la structure de cet écrit, deux thèmes l’illustrent, soit le désir de liberté et la responsabilité de diriger son peuple. La motivation derrière les actes