Antigone Page 43

justice. » J’avoue que ce fut la première fois que j’entendis un tel édit : tous ceux que j’avais lus sur le petit tas de sable où je suis né finissaient par ces mots : Car tel est notre plaisir. Observation générale Admettons qu’il y ait dans cette page une difficulté à identifier avec précision tous les référents ( le cardinal de lorraine était un des chefs de la Ligue catholique au temps des guerres de religion, les « bonnes œuvres » visent les mérites défendus par les Jésuites comme moyen d'attirer

de la cité.   Les Grecs ont affirmé les premiers la dignité de la personne humaine, en inventant la notion du droit naturel (lois inscrites dans csce au nom desquelles on peut faire objection de csce = lois non écrites) que l’on retrouve dans Antigone.   Inversement, les Grecs ont connu l’attitude du respect de la loi, allant jusqu’au sacrifice de la vie, mm si la loi est injuste (cf. Socrate).   Les Grecs sont des grands scientifiques : géométrie (Pythagore, Thalès, Euclide), médecine (Hippocrate)

est une île montagneuse située à 1500 km à l’Est de l’Australie. Sa superficie constitue à peu près 19 058 km². Sa population compte 145 000 hommes (la densité moyenne est de 8 hommes / km²). Elle se compose de canaques et d’indigènes qui représentent 43 % de la population, ainsi que d’européens (37 %) et des peuples des îles voisines. Elle bénéficie d’un climat tropical très salubre. L’agriculture ne couvre, en valeur, que le tiers des besoins alimentaires du territoire. La prospérité de l’île repose

seulement un bon moment à passer." [ Romain Gary ] "La liberté consiste moins à faire sa volonté qu'à ne pas être soumis à celle d'autrui." [ Jean-Jacques Rousseau : "Discours sur l'inégalité" ] "C'est plein de disputes, un bonheur." [ Jean Anouilh : "Antigone" ] "Ce qu’on ne peut pas dire, il ne faut surtout pas le taire, mais l’écrire." [ Jacques Derrida ] "La tolérance est un exercice et une conquête sur soi." [ Albert Memmi : "Exercice du bonheur" ] "Seuls les yeux ne vieillissent jamais : l'âge passe

seulement un bon moment à passer." [ Romain Gary ] "La liberté consiste moins à faire sa volonté qu'à ne pas être soumis à celle d'autrui." [ Jean-Jacques Rousseau : "Discours sur l'inégalité" ] "C'est plein de disputes, un bonheur." [ Jean Anouilh : "Antigone" ] "Ce qu’on ne peut pas dire, il ne faut surtout pas le taire, mais l’écrire." [ Jacques Derrida ] "La tolérance est un exercice et une conquête sur soi." [ Albert Memmi : "Exercice du bonheur" ] "Seuls les yeux ne vieillissent jamais : l'âge passe

; elle répond beaucoup mieux encore, semble-t-il, au fait qu'il s'agit de raisons probantes pour lui, mais dont il conçoit qu'elles ne le soient point pour tout le monde. » (1) Cf. notamment Fénelon, Dialogues sur l'éloquence, éd. Lebel. t. XXI, p. 43. (2) Ed. Clarapède, La genèse de l'hypothèse, Avant-propos. P 39-40 : « C'est donc la nature de l'auditoire auquel des arguments peuvent être soumis avec succès qui détermine dans une large mesure et l'aspect que prendront les argumentations et le caractère

questions rhétoriques s’élèvent du concret (les organes) à l’abstrait (pouvoir, intelligence) pour énoncer la même évidence : c’est la soumission, voire la complicité du peuple qui « fait » le tyran. L’analyse du texte • L’auteur : La Boétie (1530- Page de titre du Discours de la servitude Conclusion Ce texte provoque le lecteur en 1563), resté dans les mémoires volontaire, édition de 1836 © Gallica. inversant le rapport de responcomme l’ami de Montaigne ; sabilité qui justifie l’existence d’une tyrannie

vous conduire implicitement vers une certaine forme d’idéal. Prenez l’exemple du fameux roman de Maupassant, Une vie : chaque aventure, chaque incartade conjugale, précipite l’héroïne plus avant dans la déception et l’amertume. Pourtant, la dernière page s’éclaire d’un espoir nouveau, à travers la présence d’un enfant, ce qui fait dire à la servante : « La vie, […] ça n’est jamais si bon ni si mauvais qu’on croit. » Les romans peuvent parler de la perte des illusions pour mieux appréhender la réalité

vous conduire implicitement vers une certaine forme d’idéal. Prenez l’exemple du fameux roman de Maupassant, Une vie : chaque aventure, chaque incartade conjugale, précipite l’héroïne plus avant dans la déception et l’amertume. Pourtant, la dernière page s’éclaire d’un espoir nouveau, à travers la présence d’un enfant, ce qui fait dire à la servante : « La vie, […] ça n’est jamais si bon ni si mauvais qu’on croit. » Les romans peuvent parler de la perte des illusions pour mieux appréhender la réalité

conduire implicitement vers une certaine forme d’idéal. Prenez l’exemple du fameux roman de Maupassant, Une vie : chaque aventure, chaque incartade conjugale, précipite l’héroïne plus avant dans la déception et l’amertume. Pourtant, la dernière page s’éclaire d’un espoir nouveau, à travers la présence d’un enfant, ce qui fait dire à la servante : « La vie, […] ça n’est jamais si bon ni si mauvais qu’on croit. » Les romans peuvent parler de la perte des illusions pour mieux appréhender la réalité