Antigone Réplique Du Messagé

▪ Demander aux élèves de former 4 groupes (2 groupes de 7 et 2 groupes de 8). ▪ Distribuer à chaque groupe un résumé de texte, l’extrait qui l’accompagne, ainsi que le questionnaire Résumé et extraits proposés o Jean Anouilh, Antigone – affrontement d’Antigone et Créon (extrait) o Eugène Ionesco, La Cantatrice Chauve – Scène 1 o Albert Camus, Les Justes – Acte deuxième (extrait) o Samuel Becket, En attendant Godot – Acte premier (début) et acte deuxième (fin)

entre deux « clans » définis (deux contre un) impossible : la pièce repose sur des affrontements successifs, sur un schéma tournant sans fin « un contre deux » (Inès contre Garcin et Estelle, Estelle contre Garcin et Inès, etc.), concentré dans la réplique d'Inès : « Le bourreau, c'est chacun de nous pour les deux autres. »En cascade... : les ressources d'une intrigue compliquée, le « nœud » de l'actionLa construction peut se complexifier et les conflits s'enchaîner en cascade, créant ainsi un

lui » ( « Le Pâtre et le Lion », VI, 1) Il s’agira ici de s’interroger sur la fonction de la fiction littéraire : a-t-elle seulement pour but de divertir le lecteur ? Pourquoi certains écrivains ont-ils recours à des fictions pour faire passer leur message ? D’abord, nous mettrons au jour la fonction divertissante de la fiction littéraire, avant d’étudier sa force argumentative. AXE 1. La fiction: un divertissement pour le lecteur. La force de persuasion de la fiction : du côté du lecteur Le récit

discours direct. Le texte dramatique est exclusivement composé d'un échange de répliques donnant lieu à des dialogues entre différents personnages. A l’aide de sa structure, le texte théâtral met tout en œuvre pour reproduire un échange humain. Par ailleurs, comme toute conversation humaine, elle est susceptible de se transformer en débat, conflit ou affrontement. De cette manière dans la pièce de Jean Anouilh, Ismène et Antigone entament une simple discussion à propos de leur frère avant qu’elle ne se

DE LAIUS..... Julien Barrot. LE JEUNE SOLDAT ..... Yves Forget. LE SOLDAT..... Robert Moor. LE CHEF ..... Romain Bouquet. LE MESSAGER DE CORINTHE ..... Marcel Khill. LE BERGER DE LAIUS ..... Louis Jouvet. UN PETIT GARÇON DU PEUPLE... Michel Monda. LA VOIX ..... Jean Cocteau. JOCASTE ..... Marthe Régnier. LE SPHINX ..... Lucienne Bogaert. LA MATRONE ..... Jeanne Lory. ANTIGONE ..... Andrée Servilanges. UNE PETITE FILLE DU PEUPLE ... Vera Phares. LA MACHINE INFERNALE a été représentée pour la première

nouveaux arrivants C. La découverte de l’égalité et de la fraternité III. La nouvelle relation des personnes, enjeu social et politique A. Arlequin, inversion des rôles : gourdin, épée B. Iphicrate n’a pas encore compris C. Portée universelle du message Conclusion Proposition de devoir rédigé Introduction Parmi tous les thèmes de la littérature, celui de la relation maître – esclave est un des plus riches et des plus fréquents de l’Antiquité au XXe siècle. Si ce thème appartient en général au

qui est déjà existant. Ce qui est intéressant, c’est la manière dont l’écrivain va réutiliser la source dont il s’inspire. Par exemple, un auteur grec aimera s’inspirer de la mythologie. C’est bien ce que fit Sophocle, dans nombre de ses pièces, Antigone, Œdipe Roi, Electre. C’est sur cette dernière, présente dans le corpus, que nous nous appuierons. Dans l’extrait de cette pièce, écrite en 406 avant J.C, Sophocle rapproche la fière Electre de l’opinion publique, par un dialogue avec le coryphée

sens de l’intrigue. Le théâtre n’est pas seulement un divertissement, sa première utilité est les sentences et les instructions morales. Le dénouement est le moment où l’auteur dévoile la morale de son histoire, il est le vecteur d’un message. Selon le genre de la pièce, la leçon de morale est spécifique. Nous pouvons citer par exemple la tragédie Bérénice de Racine, il s’agit de l’affrontement de deux impératifs incompatibles, la passion et la raison. Bérénice et Titus sont amants de

celle-ci soit issue de rituels funéraires (1), de cultes dionysiaques (2) ou du dithyrambe (3), elle s'est constituée à partir du moment où a été introduit un personnage distinct (le chef de choeur ou coryphée, sans doute l'auteur luimême), donnant la réplique au choeur par des vers non chantés. C'est à Thespis, dramaturge grec contemporain du tyran Pisistrate, dont les oeuvres théâtrales ont été perdues, qu'est attribuée cette innovation : il aurait ainsi fait représenter la première tragédie vers 535

Strindberg 41 k) Brecht 41 l) Beckett 42 m) Koltès 42 VII. Lexique 43 a) Accessoire 43 b) Comedia dell’Arte 43 c) Comédie 43 d) Décor 43 e) Didascalie 43 f) Double énonciation 43 g) Improvisation 43 h) Intrigue 44 i) Personnage 44 j) Quatrième mur 44 k) Réplique 44 l) Théâtre à l’italienne 44 m) Théâtre de boulevard 44 n) Tragédie 44 I. Approche chronologique a) Le théâtre grec antique Le théâtre grec antique est à l'origine du théâtre occidental. Il naquit dans les spectacles de la civilisation