Antigone Tradition Modernite

vous avez vu en répétition générale. Comment Nicolas Briançon exploite-t-il le texte d’Anouilh en intégrant tradition et modernité à travers sa mise en scène ? UN PARI RISQUÉ Un casting a priori plutôt alléchant : Robert Hossein, Barbara Schulz (Dommage qu’elle soit une putain, 1997) et une mise en scène prometteuse de Nicolas Briançon ne garantissaient pourtant pas une réussite. Antigone de Jean Anouilh, pièce connue et reconnue de tous, retraçant la fin du mythe des Labdacides dans le contexte

HISTOIRE DES ARTS : Antigone, mise en scène par Nicolas Briançon (DOSSIER N°1) A. Présentation générale L'œuvre Titre : Antigone de Jean Anouilh, mise en scène de Nicolas Briançon. Date : Création de la pièce en 2003, au théâtre Marigny, à Paris. Domaines artistiques : Distribution: - Arts du spectacle vivant (théâtre) Antigone : Barbara Schultz - Arts du langage. Créon : Robert Hossein Le Prologue : Bernard Dhéran Le contexte Le metteur en scène Rappel : la pièce d'Anouilh, composée en 1942

Lecture analytique N°1 : Antigone, Jean Anouilh, 1944 La pièce de Jean Anouilh est représentée en 1944 pour la première fois et frappe le public par sa modernité tant au niveau de l’actualité, tant au niveau de l’actualité ( Révolte contre le pouvoir ) que par la symbolique des personnages ( Image du roi, obstination de l’héroïne tragique ) et surtout sa dimension symbolique historique ( Tyrannie ). Par ailleurs la pièce sera saluée par sa modernité scénique alors qu’elle investit un thème de la

Antigone L'action se produit à Thèbes, dans le palais de Créon, roi et oncle d'Antigone et de sa sœur Ismène, des années après la mort d'œdipe. Mais c'est au petit matin, que la jeune Antigone rentre au palais après une mission secrète qui est d'ensevelir le corps de son frère, Polynice, laissé en sépulture sur l'ordre du roi, Créon. Ce dernier eu la décision de laisser l'âme du frère d'Antigone dans la tourmente car il fut allié aux ennemis de Thèbes. Antigone, considère alors le devoir d'ensevelir

ANOUILH, Antigone, 1944 En quoi cette scène d'exposition est-elle originale? I Un scène d'exposition entre tradition et modernité 1) Une réécriture - Mythe d’Antigone : sujet central dans la littérature antique grecque (5e, 4e s av JC) - Le Prologue- personnage : respect de la tradition antique (existait chez Euripide), mais il est à la fois pge et fonction : dans un discours tout autant narratif que descriptif, il se révèle omniscient et connaît le présent, le passé et surtout le futur des pges

cctempsMais se sont des reperes qui sont confus, ils sont confus, il y à la confusion, il y a pas un moment determmnier, on setn pas qu’il y a une chronologieDes la remiere phrase le dramaturge s’attache à eviter une tmeporalite realiste (dans la modernite de l’ecrtiure) ça peut se passeLe brouillage de la temporalite est très moderneIl met entre deux tirets, comme si entre parentheses, l’information la plus importanteLes deux tirets seules les lecteurs peuvent les voir, le spectateur ne les verra

Travail Commun I) Lectures Estivales Sommaire Sophocle Antigone Page 3 Molière Tartuffe Page 4 Racine Phère Page 5 Museet Les caprices de Marianne Page 6 Maupassant Pierre et Jean Page 7 Balzac Le père Goriot Page 8 II) Anthologie poétique I) Lectures estivales Sophocle Antigone Antigone est une œuvre qui m'a beaucoup plu, et m'a touché principalement par sa modernité, et sa structure qui donne une facilité dans la lecture et la compréhension ;

(elle n’aura d’ailleurs pas lieu), c’est bien le fait de « dire » qui fournit le sujet de celle-ci. · Modernité (une pièce dont l’intérêt est centré sur la parole) et tradition (exposer le sujet de la pièce). Ligne 33 :· Répétition qui attire à nouveau l’attention sur le verbe « dire ». L’adverbe « seulement » souligne le fait qu’il s’agira du seul sujet important. · Tradition (exposition) et modernité (un théâtre centré sur le langage).Ligne 34 : · Le complément d’objet direct des verbes « annoncer »

+ANTIGONE 1. Biographie de Jean Anouilh a. Une vie consacrée au théâtre Né à Bordeaux en 1910, il découvre très tôt, à dix-huit ans, sa vocation pour le théâtre, en assistant à une pièce de Jean Giraudoux. Il abandonne alors ses études de droit pour lesquelles il était monté à Paris et passe deux ans dans une maison d'édition, ce qui lui sera formateur puisqu'il reconnaît avoir pris « des leçons de précision et d'ingéniosité ». Il devient ensuite secrétaire de l'acteur Louis Jouvet et rédige

bien et du mal, de principes sûrs de ce qui est bien ou de ce qui est mal. En d’autres termes, pour juger, il nous faut des critères. Mais où les trouver ? Sur quels critères nous appuyer pour distinguer le bien et du mal ? *   * * A. Morale et tradition     Partons de la conscience commune et de la manière dont elle envisage la question du bien et du mal. La morale est présente dans la conscience commune dans les mœurs, les comportements mesurés par des normes morales, tels qu’on les considère