Antihéroe

par exemple Le vieux qui ne voulait pas fêter son anniversaire de Jonas Jonasson, la notion de héros a beaucoup évolué. Actuellement on ne parle plus vraiment d’un héros, mais plutôt d’un personnage principal qui peut être soit un héros soit un antihéros. Mais cet « être de papier » reste le fil conducteur du roman à travers ce microcosme qui l’entoure, qui l’observe, le décrit, l’analyse et parfois le juge. La question est de savoir si, pour apprécier un roman, le lecteur doit s’identifier au personnage

s’attache tant bien que mal à lui. Alors, le héro de roman doit-il forcement être hors du commun ? Nous répondrons à cette questions en deux temps : tout d’abord nous verrons en quoi un héro doit être exceptionnel et dans un second temps l’importance du antihéros dans le roman. Les premiers héros apparurent dans la mythologie grecque, personnage mythique ou légendaire ayant accompli  des faits extraordinaires. Ce sont les demi-dieux, enfant des dieux et de mortelles leur pouvoir est grand mais leur vie souvent

L'étranger Le personnage central du Camus, Meursault, n'est pas un intellectuel ou un homme d'action qui a un objectif de quête, il est un antihéros, un personnage non traditionnel, atypique, en dehors de la société et de ses valeurs. Dans la dissertation suivante, nous allons démontrer que Meursault est un antihéros qui est indifférent relative aux autres et aussi qu'il n'exprime aucune affection aux femmes qui l'entourent. D'abord, la façon d'agir du personnage principal du roman est considérée

allons voir comment Molière a réussit à faire de Dom Juan un personnage total : un héros et un antihéros. En premier lieu nous découvrirons que Dom Juan a tout d’un héros en étant le centre de l’histoire puis nous approfondirons notre étude en prouvant qu’il est un libertin respectant son rang dans la société. Dans un deuxième temps, nous opposerons notre réflexion en démontrant que Dom Juan est un antihéros, un homme immoral et hypocrite qui par certains aspects fait penser au Diable. Pour commencer

l'antihéros et le héros négatif? Nous ferons une réponse en deux parties, tout d'abord un héros doit être un héros positif sur lequel on peut prendre exemple. Nous verrons ensuite que un héros peut aussi être un héros du monde commun (antihéros) voir même un antihéros. Le héros positif dans un roman est un héros qui possède des qualités niveau physique ou morale, il porte des valeurs ce qui permet au lecteur de s'identifier à lui. L'auteur du roman s'inspire de ses principes pour donner une morale

romanciers comme Camus avec « L’étranger » ou encore Rabelais avec « Gargantua » ont enfreint les habitudes pour faire de leur personnage principal un antihéros tout aussi bien intéressant qu’attachant. Ce choix peut se justifier par plusieurs éléments. Les lecteurs étant habitués aux personnages principaux héroïques apprécieront l’originalité d’un antihéros. Le fait que le personnage principal ne soit pas idéaliste, et qu'il est un fort caractère, le rend plus réaliste. De plus, les héros sont souvent

préfère aller nager avec son amie Marie et puis aller au cinéma voir une comédie, ce qui n’est pas le comportement attendu d’un homme endeuillé. Il est donc mal vu par les gens autour de lui, et se met en marge de la société. Meursault incarne le antihéros anonyme, médiocre, sans aucune qualité. C’est un simple employé de bureau avec une vie banale et répétitive (il mange tous les jours au même endroit). Il n’a pas de but défini dans la vie. Le nom du roman, L’étranger, renvoie directement au caractère

semblent malmenés par la vie, semblent être des vagabonds. Or, dans le théâtre classique, les personnages mis en scène sont généralement des personnages historiques/mythologiques, ou encore des personnages appartenant à la noblesse. Ce sont donc des antihéros, allant à l'encontre des pièces de théâtre plus classiques. Ces personnages sont abstraits, sans profondeur psychologique et se caractérisent par des objets ayant une importance symbolique : Estragon est représenté par les chaussures ce qui lui

également pour Ewilan. L’anti-héros : A quand remonte l’apparition de l’antihéros ? Les comics et les super-héros ont progressivement passé de mode depuis 1945, laissant peu à peu leur place sur le devant de la scène aux antihéros. Ce n'est que ce siècle que les antihéros sont devenus à la mode et ont pris une telle importance. Ils ont de tous temps coexisté aux côtés des héros, mais plus rarement en tant que personnages principaux. L’antihéros en tant que protagoniste principal apparaît, lorsque

les critiques d’inspiration marxiste cernent en lui un héros contestataire, alors que la pièce de Molière semble le condamner comme un hors-la-loi et un impie. Don Juan est-il un héros exemplaire (« libre », « éblouissant », « grandiose ») ou un antihéros (« médiocre », « ridicule », « brûlant de ses derniers feux ») dont la cruauté et les mœurs dissolues sont répulsives ? Molière n’a voulu glisser dans sa pièce ni note ni préface comme s’il abandonnait le personnage, qu’il n’a pas choisi de jouer