Antihéroe

personnage avec Lorenzaccio de Musset. Il est indéterminé, individualiste et reste jusqu’au bout une énigme. Précurseur du personnage moderne. 20ème : conception moderne du personnage. En 1896, création d’Ubu Roi de Jarry. Ubu est un pantin répugnant, antihéros par excellence. L’identification n’est plus possible. Répulsion. Travail de déconstruction du personnage. Beckett déclare « rien n’est plus drôle que le malheur ». Artaud dans Le Théâtre et son double veut un théâtre moderne. Il veut supprimer le

NOSTALGIQUE Il vient d’un milieu modeste -> ELLIPSE avec l’HERITAGE -> Fréderic s’en moque « faire son droit » -> italique -> IRONIE -> STEREOTYPE ! « devait languir » -> naturellement passif ! -> PROCRASTINATION Flaubert programme F pour l’échec -> F = antihéros C) Un incipit programmatique Son immobilisme -> défaite Ruban qui se déroule -> annonce rencontre féminine -> Arnoux Bateau = métaphore de la vie ABSENCE de ligne DROITE Flaubert : « J’ai voulu brosser l’action d’hommes lâches aux passions inactives

le début du 17e, on retrouve des antihéros avec notamment le personnage de Cervantès : Don Quichotte. Ce nouveau personnage se définit en comparaison avec le héros. Il ne se distingue par aucune qualité particulière, il ressemble un peu à monsieur tout le monde et est banale voir méprisable comme L'Étranger. Il peut aussi être affligé d'une tare, tel Don Quichotte qui est fou ce qui empêche toute admiration devant les actions qu'on lui voit commettre. Les antihéros peuvent être des personnages qui

l’alcoolisme, un fléau qui touche alors l’ensemble de sa classe sociale. Une femme ordinaire donc, mais qui touche par tous les malheurs qu’elle doit endurer. Le héros présent dans le roman de Musil “L'homme sans qualités”, est un exemple de l’ antihéros du roman moderne. L’antihéros se distingue du héros en représentant une humanité moyenne. Le personnage principal nommé Ulrich est comme l'indique le titre du roman, un homme sans qualités, dépourvu de repères. Ce héros est donc un être humain comme

« Candide qui tremblait comme un philosophe» : Voltaire se sert de Candide pour se moquer implicitement des philosophes qui prononcent des belles paroles mais restent loin des conflits : « aller raisonner ailleurs… » Euphémisme pour – fuir. Un antihéros : parmi les milliers d’hommes qui se battent, Candide insignifiant, perdu et bouleversé, ne remplit pas son rôle de soldat puisqu’il déserte. C’est encore un enfant, sans expérience, et moralement pas prêt. Conclusion Deux visions de la guerre

Conclusion : Un incipit particulièrement déconcertant. Le lecteur est coupé des codes habituels du genre romanesque, il est placé devant la conscience d'un personnage dont il peine à comprendre le fonctionnement Le personnage se présente comme un antihéros, c’est à dire un personnage qui n’a pas de prise sur l’existence, car il n’en voit pas le sens. Le lecteur ne trouve pas les réactions émotionnelles attendues. Le malaise créé chez le lecteur rend le personnage antipathique. Son refus d'interpréter

capable de refaire la même expérience que ces personnages ? Mais il arrive que le héro ne soit pas un héro. Comme dans le livre Frankenstein de Mary Shelley écrit en 1816, le héro est le docteur Victor Frankenstein, mais il est en même temps son antihéros ou aussi il le crée, par son œuvre. Il crée un monstre et tente de le tuer ensuite, pour se venger de ce que ce monstre a fait à sa femme. Le héros du roman n’a pas accomplis d’acte héroïque, il a tenté d’imité Dieu en créant la vie malgré sa bonne

pour dire « depuis longtemps »  n’est plus employée de nos jours. Donne un côté vieillis. | Archétype | Modèle idéal, un type suprême, un prototype. | Ex: le mythe du chevalier se battant contre des monstres. | Antihéros | On appelle antihéros un personnage de fiction qui ne possède pas les caractéristiques habituelles du héros. | Heathcliff dans les Hauts de Hurlevent | Aphérèse | Suppression d’un ou plusieurs phonèmes au début d’un mot. | Ex: bus pour

par d’autres personnages (Louise pour Strozzi, Philippe et les bannis pour Pierre, le duc et le cardinal pour la marquise), alors que Lorenzo n’agit que pour lui-même et par lui-même. Lorenzaccio, personnage antihéroïque - le portrait d’un antihéros: «ce petit corps maigre, ce lendemain d’orgie ambulant [...]; ce visage morne, qui sourit quelquefois, mais qui n’a pas la force de rire» (I,4). Il apparaît comme un homme lâche, qui s’évanouit devant une épée, un compagnon de débauche, un impie:

sans morale n'hésite pas çà séduire les femmes, peu importe leur age et leur statue tant que celles ci sont riches afin de pouvoir les voler. Cet hommes ait honte au terme de héros en se l'attribuant et tout ce qu'il peut prétendre être c'est un antihéros. C'est une honte, je refuse de me laisser traiter de la sorte ! Je suis un héros, une personne célèbre et la notoriété qui m'entoure n'en est telle pas la preuve ? Je suis un homme que les méfias ont élevé à l'image de héros et c'est grâce à cette