Antiphrase

syntaxiques, triste était mon âme Antithèse : confrontation de deux thèses opposées : grand et petit Prolepse :mise en relief d’un élément par sa mise hors proposition où il est remplacé par un pronom, ce bouquin, je n’y comprends rien Antiphrase : C’est le fait de dire le contraire de ce que l’on pense : un enfant adorable pour dire un petit monstre On utilise l’antiphrase pour faire valoir l’ironie, Voltaire y a souvent recours, par exemple dans Candide Oxymore : C’est le fait de

héroïque et fainéante », « croisade apocalyptique »  paradoxes - général des Entrayes : jeu de mot (entrailles)  Horreur de la guerre (allégorie) > omniprésente - incompréhension - « fraternisation » par la peur - ironie : « nous étions jolis »  antiphrase - cynisme par différence de perception - comparaison avec guerre VS plaisir - champ lexical du feu - enfer - universalité face à la mort Problématique : Quelle représentation de la guerre Céline nous livre-t-il par rapport à un narrateur

passions, sans péchés, par le pardon) et des stoïciens (= philosophie opposée à l’épicurisme, basée sur la maîtrise de toutes choses) : « réprimez vos passions, et maîtrisez vos désirs » = impératif deuxième personne marque l’ordre, la vie stricte. - Antiphrase, procédé ironique : « il faudrait demander à Dieu, si on osait lui demander quelque chose » ; or les prières sont des requêtes à Dieu ; ironie qui rappelle Voltaire, amant de l’auteur. - Champ lexical de la justice : « bien » ; « mal » ; « balance

populaire, argot, etc.) ? - Y a-t-il des particularités de lexique ou de syntaxe (grammaire, structures des phrases) ? - Quelles figures de style sont utilisées (p.ex. comparaisons, métaphores, répétitions, hyperboles, litotes, euphémismes, antiphrases, paradoxes, etc.) et dans quel but (illustration, emphase, ironie) ? - Quel est le ton d’ensemble du texte ? (comique, tragique, didactique, ironique, lyrique, etc.) ?

ou sent bon le lait chaud. Hélas pour lui, son interlocutrice est beaucoup moins romantique et prosaïquement en quelques mots rejette son attendrissante et puérile invitation. * 2ème poème : « Vénus Anadyomène » Le titre est une ironique antiphrase, Rimbaud y manifeste son émancipation dans le sens d’un réalisme impitoyable, voulant inspirer un sentiment de répulsion. Le poème aurait sa source dans le poème intitulé ‘’Les antres malsains’’ du recueil ‘’Les vignes folles’’ de Glatigny, où il

impression se révèle être fausse, grâce à l’ironie dont il a fait son arme, un réel et virulent opposant à cette pratique en réalisant un violent réquisitoire. De plus, utiliser ce raisonnement par l’absurde permet justement grâce aux nombreuses antiphrases de mieux ridiculiser une thèse, ici, l’esclavage des nègres. A l’époque les philosophes étaient en avance sur leur temps, ils étaient des précurseurs car l’abolition de l’esclavage en France arrivant seulement en 1848 soit près d’un siècle après

Aldous Huxley : le meilleur des mondes I) critique ironique de ce monde a) procédé ironique -utilisation d’antiphrases l 3 « danger de lire  » c’est bien une antiphrase, déjà employée par Voltaire : «  pamphlet de l’horrible danger de la lecture » -des chois lexicaux qui doivent inquiéter le lecteur, tout les termes renvoi à l’idée qu’il y a une main mise sur l’esprit humain (conditionnement) -rapprochement de termes problématiques, termes approximatif les sentiments sont quelque chose d’immoral

chrétiens l.24-25, ->Les princes d'Europe font beaucoup de conventions inutiles
 -> Or ils n'en font pas en faveur des esclaves
 -> Donc c'est qu'il n'y a pas lieu d'en faire
(Lecteur : Donc les princes d'Europe sont sans cœur) 2. Antiphrase et jeux de mots (une lecture facile et agréable, drôle et distrayantes)

et langage soutenu Le polémique : Forcer l’adhésion aux thèses de l’auteur contre celles adverses -Le marquage de la 1° personne -Figure d’insistance (accumulation et anaphore) -Procédé de dévalorisation (métaphore dépréciative ou antiphrases ironiques -Ironie Le réaliste : Donner un effet de réel -Détail descriptif -Précision spatio-temporelle -Dialogue au discours direct

du subjonctif. Relevez les impératifs. Relevez les verbes ou adverbes exprimant le jugement ou les sentiments de l’auteur. Relevez les phrases exclamatives. Relevez les termes à connotation péjorative ou méliorative. Repérez l'emploi d'ironie (antiphrase ou fausse objectivité). - Est-ce que le destinataire est impliqué et comment? Quel est le ton employé ? Relevez les pronoms personnels et possessifs, les adjectifs possessifs de 2eme personne, les interrogations (question oratoire), les apostrophes