Antipub

différenciation. 2003. Mention : Très bien. GOETZ (Marylène).- Faire d’une cible un facteur clé de succès : comment les early adopters ont propulsé le lancement français de la Mini. 2003. Mention : Très bien. 2004 SERES (Charlotte).- Les mouvements antipub : quand la communication se fait contestation : le discours publiphobe et son reflet dans l’espace médiatique et publicitaire. 2004. Mention : Très bien. LIMAGE (Soizic).- La communication sonore : gadget ou nouvel atout maître des marques ? : une

en
 ayant
 une
 totale
 indépendance
politique
et
financière.
 
 Cependant,
avant
même
que
les
ONG
environnementales
ne
s’engage
réellement,
le
collectif
 antipub
 a
 analysé
 la
 combinaison
 entre
 le
 domaine
 d’activité
 des
 entreprises
 et
 leurs
 22
 DEES
Communication
 
 campagnes
 de
 communication.
 En
 effet,
 le
 collectif
 antipub
 est
 pionnier
 en
 matière
 de
 dénonciation
de
l’effet
polluant
des
campagnes
de
communication
dans
les
années
1990.
Il
 en
 est
 de
 même
 pour
 l’association


politique de la gauche qui en critiquent certains aspects. À ceux-ci s'ajoutent des acteurs critiques qui s'intéressent aux aspects plus particuliers de l'impact de la société de consommation tels que l'excès de publicité dans le paysage (mouvement antipub, associations contre la publicité abusive, la publicité mensongère ou lesexisme dans la publicité). Apparu plus récemment, le mouvement des décroissants (décroissance), notamment, fait valoir le fait qu'une économie basée sur une croissance exponentielle

violente, trop machiste, trop lourde. Ils s'amusent à détourner des | |affiches, en les barbouillant, pour riposter au pilonnage du marketing et tenter de faire réfléchir les publicitaires. D'autres| |tapent plus fort. Ils profitent du combat antipub pour relancer la bataille contre la société de consommation et un capitalisme| |accusé de tous les maux,La provocation, la violence, l'utilisation du sexe dans la publicité visent à susciter des émotions, | |pour marquer la mémoire plus efficacement

l’action d’achat. Nous recevons des tonnes de publicités dont les trois quart ne nous concernent pas, et nous avons donc tendance à ne pas leur prêter d’attention, voire même à nous sentir envahis par la publicité. A tel point que les autocollants « antipub » fleurissent sur les boîtes afin de signifier que l’habitant ne désire pas recevoir de folders publicitaires. De plus, imprimer de milliers de folders dont seule une minorité sera lue est un gâchis écologique énorme à l’heure où nous tentons de

associations. L’existence d’associations prouve bien que les gens n’acceptent plus la publicité d’aujourd’hui. Que ce soit parce qu’elle est nuisible ou envahissante, les gens s’ennuient de certaines formes publicitaires qui les amènent à des actions « antipub ». L’association de la Résistance à l’Agression Publicitaire (R.A.P), mène une action contre les abus de la publicité avec l’objectif de protéger l’environnement et les citoyens. Plus précisément, son action consiste : « à veiller au respect

But : exercer une action psychologique dans l‘esprit du public à des fins commerciales, une manipulation mentale. Le cerveau est plus au moins perméable, il faut donc savoir le manier. → communication insidieuse. Il existe des mouvements antipub notamment en cas de crise économique. L’humour et l’érotisme sont les deux façons de capter l’esprit du consommateur. Par delà, la publicité contribue à la bonne santé financière d’une entreprise donc à l’économie d’un pays en général et à sauvegarder

création et du plan média. 1.7. Critiques et opposition à la publicité De manière générale, la population est plutôt hostile à la publicité et à son emprise croissante sur la vie de tout un chacun. Parallèlement, des individus et mouvements dits « antipubs » dénoncent le « matraquage publicitaire » et remettent en question la légitimité de l'existence de la publicité. 1.8. Contrôle des abus Comme toute activité, la publicité est soumise à une réglementation et à une déontologie. Des organes publics

consommateurs sont les produits rassurants. Le consommateur est averti, conscient, attentif et exigeant. Il ne veut plus se laisser manipuler, ne supporte plus que les marques lui mentent. Les mouvements altermondialistes et les actions de commandos antipub en sont une des conséquences les plus significatives. Les consommateurs ont enfin découvert qu’ils avaient le pouvoir de dire non. Le pouvoir d’achat des consommateurs provenant des pays occidentaux a fortement diminué depuis la crise de 2008

vise à dire que North Face est accessible à M. Tout le Monde. La publicité oblique est appréciée en fonction de cette manipulation. C'est pourquoi elle utilise souvent les figures discursives de l'humour (ici, North Face) et de l’ironie (cf. les antipub comme Auchan et Dirty). L’ironie est dialogique, ouverte au discours d'autrui : l’énonciateur fait référence dans son discours à un système axiologique établi dans d’autres discours que le sien, dont il n’assume pas les valeurs. La distance intellectuelle