Antiquités judaïques

sa mémoire collective. De génération en génération, le groupe se transmet de façon marquante leur histoire aux alentours du second millénaire avant JC. Parmi ses traditions orales, certaines ont plus d’importances que d’autres en raison de leur antiquité ou de leur importance culturelle, sociale ou économique. Ce sont ces traditions qui vont être fixées à l’écrit. Ces textes s’ajoutent les uns aux autres sans grandes cohérences, mais sont quand même orientés vers un unique objectif ; raconter l’histoire

processus de séparation s'est opéré graduellement entre ces deux religions à partir du IIe siècle, « sans possibilité aucune de retour ou de dialogue véritable jusqu'à nos jours[1] ». Sommaire * 1 Histoire des relations judéo-chrétiennes * 1.1 Antiquité * 1.1.1 Le christianisme dans le judaïsme * 1.1.2 Des divergences à la séparation * 1.1.3 Les polémiques * 1.1.4 Après Constantin * 1.2 Moyen Âge et Renaissance * 1.3 Époques moderne et contemporaine *

 particulièrement les livres de Samuel,  des Rois et des Chroniques, d’Ezra, de Néhémie,d’Ezéchiel, de Daniel, le traité Middoth du Talmud et les écrits de l’historien juif Flavius Josèphe, né à Jérusalem en 37, auteur des «  Antiquités judaïques  ». A ces sources, viennent s’ajouter en 1947, les 800 rouleaux « Manuscrits de la Mer morte », écrits entre 250 av. J.-C. et 68, considérés actuellement comme émanant d’une communauté

astronomiques avec les années de règne des rois successifs de Babylone. Ce document mentionne les rois qui ont régné sur Babylone ainsi que leurs durées de règne à partir de l’an 1 de 1 2 Flavius Josèphe, Contre Apion, I, XX. Flavius Josèphe, Antiquités judaïques, X, 3-4. www.recherches-bibliques.info 3 Nabonassar qu’il fixe astronomiquement en 747. Ptolémée nous a probablement transmis la chronologie officielle de son époque. Table 2. Les données du Canon de Ptolémée. Roi de Babylone Nabopolassarou

te vaudrait, à toi, la gloire d'être pieux, et à moi m'attirerait la reconnaissance éternelle de mon peuple. Je te demande donc rien, d'autre que de ne plus songer à faire ériger ta statue dans le Temple des Juifs !" (Voir Flavius Josèphe, Antiquités Judaïques, XVIII, 296-298) | | Ces interventions ne fléchirent nullement la volonté de Caligula ! Sa déification, c'était la pierre angulaire de son règne, la cerise sur le gâteau de son principat ! Hérode Agrippa n'avait donc qu'à se coller ses scrupules

irrégulièrement avec son frère Agrippa 2, ce qui fut une cause de scandale . Bérénice essaya de le dissiper en se mariant avec Polimo, roi de Cilicie ; bientôt lasse de lui, elle le quitta et revint chez son frère Agrippa (selon l'histoire juive "antiquités judaïques - guerre juive " Josèphe) . Bérénice a été une femme de fâcheuse réputation . Nous pouvons dire qu'a cette periode de sa vie, Bérénice n’avait pas la crainte de Dieu . Nous retrouvons Bérénice dans le nouveau testament ( Actes 25/23

Testimonium flavianum. Il n'existe aucun acte officiel des autorités romaines se rapportant à Jésus. Le premier chroniqueur qui évoque Jésus vers 94 est Flavius Josèphe, romain d'origine juive né en 39. Son témoignage mentionne, dans ses Antiquités judaïques, Jésus à deux reprises. Il est évoqué au sujet de la lapidation de Jacques de Jérusalem, décrit comme « le frère de Jésus appelé Christ »[195]. Un passage beaucoup plus développé consacré à Jésus lui-même, connu sous son nom latin de Testimonium

dont les spécialistes pensent qu'il fut composé par étapes dans la première moitié du IIe siècle av. JC., il faut prendre comme point de départ l'homme qui avait ranimé l'intérêt du monde savant pour cet élément perdu de la littérature religieuse judaïque. On trouve dans les vieilles traditions juives, dans le Livre d'Hénoch par exemple un aspect de l’enseignement qui concerne le mal, et qui fait une grande différence entre les pécheurs qui ont mené une vie heureuse et ceux qui ont été persécutés

supérieures du croisillon sud et le Pilier des Anges, puis les tympans des deux portails sud et le couple de l’Eglise et de la Synagogue placé de part et d’autre de ces portails. Ces deux figures de femmes, allégories des religions chrétienne et judaïque, comptent parmi les plus célèbres chefs-d’œuvre de l’art occidental du Moyen Age. La Synagogue vaincue et l’Eglise triomphante appartiennent à une symbolique traditionnelle dont les représentations se multiplient à partir du milieu du XIIIe siècle

: Testimonium flavianum. Il n'existe aucun acte officiel des autorités romaines se rapportant à Jésus. Le premier chroniqueur qui évoque Jésus vers 94 est Flavius Josèphe, romain d'origine juive né en 39. Son témoignage mentionne, dans ses Antiquités judaïques, Jésus à deux reprises. Il est évoqué au sujet de la lapidation de Jacques de Jérusalem, décrit comme « le frère de Jésus appelé Christ »196. Un passage beaucoup plus développé consacré à Jésus lui-même, connu sous son nom latin de Testimonium