Antirétroviral

anti-VIH AES : accidents d’exposition du sang Ag : Antigène ALCS : Association marocaine de lutte contre le sida ARV : Antirétroviraux CD4: Cluster of Différenciation 4 CDI: Consommateurs de drogues injectables CMH : Complexe Majeur d’Histocompatibilité CTV : Centres de Test Volontaire EIA : Enzyme Immunoassay ELISA: enzyme-linked immunosorbent assay HAART: Highly Active Antiretroviral Therapy  HAS : Haute Autorité de Santé HSH: Hommes ayant des relations sexuelles avec d’autres hommes IF: Inhibiteur

s’explique notamment par le fait que la part des personnes séropositives nécessitant un traitement antirétroviral et qui en ont effectivement bénéficié est passée de 5% à 42% entre 2000 et 2008. Toutefois, ces progrès restent insuffisants pour inverser le cours de l’épidémie, du fait d’un manque de prise en compte de la prévention. Or chaque fois que deux personnes débutent un traitement antirétroviral, cinq personnes contractent le VIH. OMD 7 : Préserver l’environnement La part des personnes ayant

Le virus de l'immunodéficience humaine (VIH) est un rétrovirus infectant l'homme et responsable du Sida. Il est transmis par plusieurs fluides corporels : sang, sécrétions vaginales, sperme ou lait maternel. Bien qu'il existe des traitements antirétroviraux luttant contre le VIH et retardant par conséquence l'apparition du sida, réduisant ainsi la mortalité et la morbidité, il n'existe à l'heure actuelle aucun vaccin ou traitement définitif. La prévention, qui passe notamment par les rapports sexuels

atteints du sida et présentant une diarrhée chronique : - 3 à 20% aux usa - 50 à 60% en afrique et haiti En france : forte diminution du nb de cas de cryptosporidiose chez les sidéens grâce a la reconstitution immunitaire induite par les traitement antirétroviraux. Plusieurs épidémies en france : contamination fécale des réseaux de distribution de l’eau potable (oocystes non détruits par les désinfectants habituellement utilisés pr le traitement de l’eau destinée à la consommation humaine. PHYSIOPATHOLOGIE

L'AZT, par exemple, n'est donnée qu'aux gens riches et une simple trithérapie coûte déjà entre 10.000 et 15.000 dollars par an! Le sida tue plus de 6000 personnes par jour en Afrique subsaharienne, alors que dans les pays riches, les médicaments antirétroviraux maintiennent durablement les malades en vie. En Occident ils ont fait baisser la mortalité de près 30%. En Afrique, moins de 25.000 malades en prennent. Il n'y a pas que de mauvaises nouvelles. Une société pharmaceutique indienne, Cipla, vendra

généralement situés au niveau du cou, des aisselles et de l’aine est fréquente (lymphadénopathie généralisée persistante). L’intérêt d’un suivi régulier est primordial : suivi clinique et biologique, prévention des maladies opportunistes et traitements antirétroviraux. 3- La période symptomatique Après la période asymptomatique, l’infection peut devenir évolutive. Le VIH utilise les cellules qu’il a infectées et se reproduit en utilisant leur matériel génétique. Certains symptômes d’allure banale se manifestent

élevés, réservés aux médicaments innovants qu’encouragent les Ministères. Viranume à un prix européen, c’est-à-dire que chaque filiale européenne doit respecter un même niveau de prix. La commercialisation de Viramune © Comme pour d’autres antirétroviraux dans le SIDA, Viramune a d’abord bénéficié d’une Autorisation Temporaire d’Utilisation (ATU). Ce système, en vigueur depuis deux ans, a pour but de faciliter l’accès au traitement de nouvelles molécules alors qur leur enregistrement légal n’est

En effet en 2005 seul 15% recevait un traitement contre 45% en 2008. La baisse de la mortalité du au sida s’explique par le fait qu’en 2009, en Afrique subsaharienne, environ 37% des adultes et des enfants à qui on préconisait le traitement antirétroviral l’ont reçu, contre seulement 2% sept ans plus tôt. Ainsi les programmes de prévention, les changements de comportement et un meilleur accès aux traitements semblent être les principales raisons de cette amélioration. Néanmoins cette réduction

ont été infectés par le VIH en 2012 contre 540 000 en 2005, soit une baisse de 52%. L’objectif mondial d’une génération sans SIDA ne sera atteint qu’à condition qu’un nombre plus important d’enfants vivant avec le VIH reçoivent un traitement antirétroviral. En 2012 seuls 34 % des enfants et jeunes de 0 à 18 ans vivant avec le VIH, dans les pays à revenu faible ou intermédiaire, ont reçu le traitement dont ils avaient besoin, contre 64 % des adultes. 210 000 enfants sont décédés de maladies liées

de la Transmission Mère-Enfant (PTME) : un autre rapport de l’UNAIDS de décembre 2008 révèle que seules 10% des femmes y ont accès. Ainsi, en 2007, 33% seulement des femmes enceintes vivant avec le VIH auraient eu accès aux antirétroviraux, y compris une thérapie antirétrovirale visant à prévenir la transmission du virus à leurs nourrissons. La généralisation de la PTME qui implique la création de centres de soin prénatal peut elle-aussi contribuer à un meilleur suivi des grossesses chez les adolescentes