Antirétroviral

ex. hypolipémiant pour la dyslipidémie). 5 Sujet VIH+  L’infection VIH et ses différents traitements, favorisent les dyslipidémies, en particulier les hypertriglycéridémies parfois sévères.  En cas d’échec de l’optimisation du traitement antirétroviral, ces patients doivent être traités selon les règles habituelles, en choisissant les hypolipémiants présentant le risque le plus faible d’interactions médicamenteuses avec les traitements antiVIH, notamment parmi les statines : pravastatine et

développent pas le SIDA, même sans traitement : ce sont les asymptomatiques à long terme dont un sous-groupe est composé de contrôleurs du VIH (estimés à 1 % des séropositifs) ; leur dénombrement – rendu plus difficile depuis le développement des antirétroviraux – a pu faire l'objet de contestation. Il existe deux classifications pour décrire la progression de l'infection VIH, fondées sur les manifestations cliniques et les anomalies biologiques. Classification en stades cliniques proposée par l'OMSClassification

de l'informatique et de la Communication etc... 2) Le Secteur de l'Industrie Pharmaceutique : Nous disposons de laboratoires de recherches, de synthèse et de fabrications de médicaments spécialités ainsi que de produits génériques dont les antirétroviraux à moindre coûts accessibles aux bourses des plus démunis. Mais dans le cadre de l'installation de notre Filiale dans votre pays, ce Département sera chargée de la gestion d'une Centrale d'Achat et de Vente de Médicaments et de vente de matériels

le professeur Luc Montagnier (également Nobel pour cette découverte) révèle un nouveau virus différent de ceux jusque-là suspects d'être responsables du syndrome d'immunodéficience acquise (sida). -1987 : c'est l'apparition du premier composé antirétroviral, l'AZT, et son cortège d'effets secondaires. -1996 semble dans un premier temps signer l'arrêt de mort du VIH : les trithérapies permettent de réduire le virus quasiment à néant. On le dit indétectable dans le sang. Les premières années, les

causé la mort d'environ 25 millions de personnes entre 1981 (date de la première identification de cas de sida) et janvier 2006. Il est estimé qu'environ 1 % des personnes âgées de 15 à 49 ans vivent avec le VIH…Bien qu'il existe des traitements antirétroviraux luttant contre le VIH et retardant par conséquence l'apparition du sida, réduisant ainsi la mortalité il n'existe à l'heure actuelle aucun vaccin ou traitement définitif. La prévention, qui passe notamment par les rapports sexuels protégés et

ne représentent toujours qu’une petite partie de tous ceux qui en auraient besoin. En 2007, 200 000 malades de la tuberculose VI-positifs ont reçu un traitement au cotrimoxazole pour éviter les infections opportunistes et 100 000 un traitement antirétroviral. Pour le Directeur exécutif de l’ONUSIDA, M. Michel Sidibe, «Nous devons éviter que les personnes vivant avec le VIH ne meurent de la tuberculose. L’accès universel à la prévention, au traitement, aux soins et à l'aide concernant le VIH doit englober

ressources moyennes en Afrique. Combiner la contribution de l'État, les subventions du Fonds mondial mis sur pied par l'ONU et les dons privés semble donc la seule issue à la crise sanitaire. L'exemple du Brésil, qui fournit gratuitement des antirétroviraux génériques, est édifiant: forte réduction du nombre de décès, ralentissement du taux de transmission du VIH. Alors que les ARV ont coûté 1,8 milliard de dollars, ils ont permis d'en économiser 2 (hospitalisations évitées, absentéisme en baisse

------------------------------------------------- Traitement adjuvants Immobilisation, Antalgiques, Antibiothérapie: plaie récente ≠ infectée ! = LAVAGE ! pas systématique Anti-inflammatoires: contre indiqués ! Prévention du tétanos, rage Thérapie antirétrovirale: sang, liquide biologique HIV+ Suivi et surveillance: recherche complications à type de nécrose, infection, désunion de suture Complications de cicatrisation: cicatrices dyschromiques, élargies, kystes d’inclusions dermiques -------------------------------------------------

marché mondial, c'est-à-dire 45 milliards de dollars. Il y a de très gros problèmes dans des pays d'Afrique, car 50% des médicaments sont contrefaits. Ces contrefaçons concernent notamment des produits coûteux, tel que les Antibiotiques, Les Antirétroviraux, les Analgésiques, Viagra ainsi que les Hormones. Ces contrefaçons de médicaments sont de fortes menaces pour les industries pharmaceutiques, mais aussi pour l'innovation de nouveaux médicaments. De plus, les recherches de traçabilités, c'est-à-dire

PHARMACEUTIQUE I° RISQUES « MAJEURS » : LES RIQUES SANITAIRES A/ INEFFICACITE DES TRAITEMENTS B/ MORBIDITE ET MORTALITE * Ex des heparines chinoises aux usa * Ex des antimalariques en asie du sud est C/ RESISTANCE * Ex des antiretroviraux en afrique II° RISQUES « MINEURS » A/ PERTE ECONOMIQUE POUR LES LABORATOIRES B/ PERTE DE CONFIANCE DANS LES SYSTEMES DE SOINS ( pays d Asie et d Afrique) CHAPITRE III LES MOYENS DE LUTTE I° LES ACTIONS DU GROUPE IMPACT DE L OMS