Antithese La Nature

féminines, puis d’un hexasyllabe en rime masculines. Ce poème est lyrique et il reflète du temps et des souvenirs de Lamartine. En effet, ce dernier exprime ses sentiments et son amour envers sa femme, Mary. De plus, il utilise le champs lexical de la nature qui vise à créer un effet de calme et de douceur envers le lecteur. Mais alors, en quoi Alphonse de Lamartine déclare-t-il dans ce poème son amour éternel et comment présente-il la mort et le temps qui passe ? Premièrement vous verrons comment ce

troisième temps nous montrerons comme se développe avec Ratzel une géographie politique. I. Une grille conceptuelle pour une lecture scientifique : la philosophie allemande Après la phase d'intense développement des différentes branches de la nature, la philosophie allemande a tenté de réunifier la connaissance en élaborant des concepts fondamentaux. Sous l’influence de la philosophie des Lumières et de la philosophie allemande, la géographie devient une science naturelle. A. Kant :

d'exemple et dont l'exécution n'aura point d'imitateur. Je veux montrer à mes semblables un homme dans toute la vérité de la nature ; et cet homme ce sera moi. Moi seul. Je sens mon cour et je connais les hommes. Je ne suis fait comme aucun de ceux que j'ai vus ; j'ose croire être fait comme aucun de ceux qui existent. Si je ne vaux pas mieux, au moins je suis autre. Si la nature a bien fait ou mal fait de briser le moule dans lequel elle m'a jeté, c'est ce dont on ne peut juger qu'après m'avoir lu

l'inversion de l'ordre de l'énumération du vers 3. III La structure du sonnet : Comme l'a fait remarquer Claude-Gilbert Durand (Le Baroque, "Profondeurs de l'apparence", Larousse, 1973), la construction du sonnet est architecturale, cela tient à la nature même du sonnet : un sonnet en vers rapportés, forme acrobatique venue d'Italie, définie ainsi par H. Chamard dans ses Histoires de la Pléïade : "on entend par vers rapportés des vers composés de parties semblables, dans chacune desquelles entrent

« sévère », soit que la vertu est un chemin douloureux et que beaucoup de personne l'évite. Le Bonheur chrétien est « mêlé de mille peines » → hyperbole. De plus, il est accentué aussi par la phrase «tissus de malheurs qu'on tend a la félicité » l.6 → Antithèse malheur/ félicité = impossible. Insiste que le bonheur chrétien est inexistant. Conclut que «il n'y a point de PLUS MAUVAISE méthode pour dégoutter un cœur de l'amour = Superlatif → la vertu qui décrit les douceurs et promet le bonheur 2

puisqu’il s’entend partout.n’… plusNégation : rupture temporelleC’est le moment parce qu’un règne obscur est terminé (Ancien Régime, privilèges, injustices)a dissipéPassé composé (face au présent qui précède)tocsin de la raison,puissant empire de la nature,flambeau de la véritéMétaphores (signes de pouvoir + idéaux des Lumières) Images concrètes pour animer la révolte, la légitimer et référence aux idées des Lumières (cf. Frontispice de l’ Encyclopédie

et se trouve également au vers 3. De même le mot « south » apparaît au vers 5. Ces répétitions ancrent clairement l’action du poème dans les états du sud des Etats Unis, ceux où les lynchages étaient les plus répandus. -Le champ lexical de la nature apparaît à travers tout le poème avec les termes « arbre », « fruit », « feuilles », « racines », « peupliers », « magnolias ». Ils ramènent à ce « vaillant Sud » qu’évoque le poème, et dessinent un paysage rassurant, presque le cliché véhiculé

ineffables dont les concert des anges retentissent », or ineffables signifie qui ne peut être exprimé par la parole ; il s’agit donc d’un faux compliment et ces paroles angéliques sont fantasmagoriques. A la ligne suivante, on retrouve une autre antithèse, lorsque le philosophe fait référence aux « formidables accès d’une fureur divine ». Les mots « formidables » et « fureur » sont opposés de sens. Ainsi, toutes ces qualités sont basés sur des illusions. ▪ Enfin à travers le texte, Usbek fait

d'importance à Dieu qu'on retrouve par la suite " absorbé dans ses ténébres" qui révèle là ou le Dauphin repose suite à sa mort. De plus on retrouve le champs lexical des sept péchés capitaux.Dans un premier temps vient l'orgueil qu'on retrouve grâce à une antithése " insensible à la misère et à la douleur des autres" et " sensible à ce qui lui était dû" Saint Simon montre alors que le Dauphin, qui devait devenir roi, ne pensait qu'à lui-même et qu'il se moquait bien du peuple qui l'entourait. En outre il ne

pittoresque de la nature puis la découverte d'une réalité tragique. I. Une nature et un personnage ambigus La nature est omniprésente dans le poème, elle occupe intégralement le premier quatrain, et nous la retrouvons jusque dans le dernier tercet. 1) La nature a) Comme un tableau impressionniste :  Arrière-plan+1er plan  Jeux de lumière (soleil, rayons) et de couleurs (verdure, argent) : - "Verdure" vers 1 est repris au vers 7 par "l'herbe" et au vers 8 par "vert". - Nature très colorée