Antoine et Colette

Toute sa vie, Flaubert gardera des liens avec le couple. Cette rencontre inspirera la première et la seconde Education sentimentale. En 1839, Gustave compose une nouvelle fantastique, Smarh, dont bien des aspects annoncent La Tentation de saint Antoine. En août 1840, Flaubert est bachelier, et il parcourt les Pyrénées et la Corse jusqu’en octobre. Puis, il s’inscrit à la faculté de droit, à Paris, puisqu’il a été décidé qu’il deviendrait avocat. De 1841 à 1844, Gustave délaisse ses études et mène

ou moins des épisodes de sa vie, le film devient un succès, ouvrant la porte au mouvement de la Nouvelle Vague ainsi qu’à sa carrière mondiale. Par la suite il tourne plusieurs autres films mettent en scène le personnage d’Antoine Doinel avec Antoine et Colette (1962), Baisers Volés (1968), Domicile conjugal (1970) et L’amour en fuite (1979). Entre temps il réalise L’Enfant Sauvage (1970) qu’il considère comme « le plus anthropologique de ses films », Tirez sur le pianiste (1960), Jules et Jim (1962)

ainsi à la parole humaine qu'il présente “comme un chaudron fêlé où nous battons des mélodies à faire danser les ours quand on voudrait attendrir les étoiles.” Sources Les modèles : Le 20 sept 1851, Flaubert écrit à Louise Colet (1810-76), sa maîtresse et sa muse, “j'ai commencé hier soir mon roman”. Suit ces indications, deux négations : “Ce n'est pas une petite affaire que d'être simple. J'ai peur de tomber dans du Paul de Kock ou de faire du Balzac chateaubrianisé.” Le

et sa sœur décèdent. Cette même année, Flaubert commence une relation avec la poétesse Louise Colet. Ils resteront ensemble 10 ans, et correspondront à vie. Parallèlement à l'écriture, Flaubert fait beaucoup de sport : il nage, chasse, fait de l'escrime et monte à cheval. En 1848, il porte un regard critique sur la Révolution. De mai 1848 à 1849, il continue de travailler sur La Tentation de Saint-Antoine. De 1849 à 1852, Flaubert organise, avec son ami Maxime du Camp, un périple en Orient. Il voyage

que commence sa liaison houleuse avec la poète Louise Colet, il entretiendra avec elle une longue correspondance dans laquelle il lui parle de son métier d’écrivain, et ses vues sur les rapports entre les hommes et les femmes. Il assiste à Paris à la révolution de 1848 avec un regard très critique que l’on retrouve dans l’un de ses romans ; l’Education sentimentale. Entre mai 1848 et septembre 1949 il reprend son livre La tentation de Saint Antoine inspiré d’un tableau durant l’un de ses périples. En

intellectuelle et dès son jeune âge, il passe pour « l’idiot de la famille ». Il connaît une enfance morose. Après avoir passé son baccalauréat, il se lance dans les études de Droit, à Paris. Il rencontre Elisa Schlésinger, Eulalie Foucaud puis Louise Colet (relation épistolaire), qui seront toutes les trois des sources d’inspiration pour écrire ses romans. Il écrira la plupart de ses chefs-d’œuvre à Croisset, près de Rouen. Flaubert a écrit d’une part des œuvres de jeunesse, dont les Mémoires d’un fou

après son accouchement — Gustave prendra la charge de sa nièce, Caroline). C'est également, au printemps de cette année que commence sa liaison houleuse et intermittente sur une dizaine d'années avec la poétesse Louise Colet. Jusqu'à leur rupture (sa dernière lettre à Louise Colet est datée du 6 mars 1855), il entretiendra avec elle une correspondance considérable dans laquelle il développera son point de vue sur le travail de l'écrivain, les subtilités de la langue française et ses vues sur les

il fit la rencontre décisif de Louise Colet, poétesse déjà connue, avec qui il mènera une liaison orageuse et une correspondance où l’Amour de l’Art tient plus de place que l’amour. Pour remédier à ses troubles nerveux, les médecins lui prescrivent un séjour dans les pays chauds. Il part avec son ami Maxime Du Camp, en Orient en 1849. Ils visitent l'Égypte, la Syrie, Beyrouth, Jérusalem, Rhodes, Constantinople et Athènes. Il achève la Tentation de Saint Antoine. Un voyage qui dure près de deux ans

toujours forcé notre respect et notre admiration à ton égard. Tu es né le 27 juillet 1923 à Rambouillet, rue TROUSSE VACHE. Signe prémonitoire, sans aucun doute, de ton futur avenir professionnel. Une enfance heureuse avec ton frère Jean, ta sœur Colette et des parents exceptionnels qui t’avaient déjà transmis les gènes nécessaires pour prolonger les valeurs essentielles qui étaient les leurs : le sens de la famille, l’honnêteté, la rigueur, la fidélité, la tolérance, le partage ou l’amour du prochain

et sa sœur décèdent. L’héritage qu’il reçut alors de son père lui permit de se consacrer pleinement à l’écriture. Il fera par la suite la rencontre d’une femme avec laquelle il va entretenir une liaison houleuse pendant une dizaine d’années, Louise Colet. En 1848, Il part à Paris avec son ami poète Louis-Hyacinthe Bouilhet pour assister à la Révolution. Avec Maxime Du Camp, il organise un voyage en Orient durant lequel il écrit son carnet de voyage , de 1849 à 1852. En 1851