Antoine et Colette

après son accouchement — Gustave prendra la charge de sa nièce, Caroline). C'est également, au printemps de cette année que commence sa liaison houleuse et intermittente sur une dizaine d'années avec la poétesse Louise Colet. Jusqu'à leur rupture — sa dernière lettre à Louise Colet est datée du 6 mars 1855 —, il entretiendra avec elle une correspondance considérable dans laquelle il développera son point de vue sur le travail de l'écrivain, les subtilités de la langue française et ses vues sur les

sa sœur qui donne le jour à sa fille ,Caroline, que Flaubert élèvera. il entame une liaison avec Louise Colet. -En 1947,il voyage en Bretagne avec Maxime Du Camp; il rédige dès son retour Par les champs et par les grèves. -En 1848,il a une première brouille avec Louise Colet; il assiste à Paris à la révolution de Février. -En 1849,il écrit la première version de La tentation de saint Antoine; il voyage pour l'orient avec Maxime Du Camp. -En 1850-1851, il voyage en Égypte, en terre sainte ,en Turquie

après son accouchement — Gustave prendra la charge de sa nièce, Caroline). C'est également, au printemps de cette année que commence sa liaison houleuse et intermittente sur une dizaine d'années avec la poétesse Louise Colet. Jusqu'à leur rupture — sa dernière lettre à Louise Colet est datée du 6 mars 1855 —, il entretiendra avec elle une correspondance considérable dans laquelle il développera son point de vue sur le travail de l'écrivain, les subtilités de la langue française et ses vues sur les

désormais vivre de ses rentes et se consacrer entièrement à l'écriture10. C'est également, au printemps de cette année que commence sa liaison houleuse et intermittente sur une dizaine d'années avec la poétesse Louise Colet. Jusqu'à leur rupture — sa dernière lettre à Louise Colet est datée du 6 mars 1855 —, il entretiendra avec elle une correspondance considérable dans laquelle il développera son point de vue sur le travail de l'écrivain, les subtilités de la langue française et ses vues sur les

dernière entrevue entre Frédéric et Mme Arnoux) [ms épisode prévu dès ébauches 62-3] > lui écrit 1871 après mort de son mari : « ma vieille tendresse », « ma toujours aimée ». Fb. mythifie et démystifie lui-même épisode : écrit en 1846 à Louise Colet (alors sa maîtresse) « Je n’ai eu qu’une passion véritable. J’avais à peine quinze ans. » [ > fini à 18 ans quand l’a revue : « j’ai eu du mal à la reconnaître… je la considère avec l’étonnement que les immigrés ont dû avoir quand ils sont rentrés

son père puis sa sœur (deux mois après son accouchement — Gustave prendra la charge de sa nièce Caroline). C'est également, au printemps de cette année que commence sa liaison houleuse de dix ans avec la poétesse Louise Colet. Jusqu'à leur rupture (sa dernière lettre à Louise Colet est datée du 6 mars 1855), il entretiendra avec elle une correspondance considérable dans laquelle il développera son point de vue sur le travail de l'écrivain, les subtilités de la langue française et ses vues sur les

une petite fille. Gustave en prend alors la charge. C'est aussi durant cette même année qu'il rencontre Louise Colet, une femme de lettre en vogue. Elle devient sa maîtresse, leur liaison houleuse durera une dizaine d'année. Il participe plus tard en 1848 aux manifestations révolutionnaires de février. L'année suivant il écrit la première version de la Tentation de Saint Antoine et part pour remédier à ses troubles nerveux vers les pays chauds de l'Orient avec son ami Maxime du Camp. A son

son père puis sa sœur (deux mois après son accouchement — Gustave prendra la charge de sa nièce Caroline). C'est également, au printemps de cette année que commence sa liaison houleuse de dix ans avec la poétesse Louise Colet. Jusqu'à leur rupture (sa dernière lettre à Louise Colet est datée du 6 mars 1855), il entretiendra avec elle une correspondance considérable dans laquelle il développera son point de vue sur le travail de l'écrivain, les subtilités de la langue française et ses vues sur les

peut désormais vivre de ses rentes et se consacrer entièrement à l'écriture. C'est également, au printemps de cette année que commence sa liaison houleuse et intermittente sur une dizaine d'années avec la poétesse Louise Colet. Jusqu'à leur rupture — sa dernière lettre à Louise Colet est datée du 6 mars 1855 —, il entretient avec elle une correspondance considérable dans laquelle il développe son point de vue sur le travail de l'écrivain, les subtilités de la langue française et ses vues sur les rapports

Flaubert y mène une existence cloîtrée aux côtés de sa mère. Mais à l'occasion de deux séjours dans la capitale française, il rencontre Louise Colet qui va devenir sa Muse et avec qui l'écrivain engage une correspondance. En 1848, l'écrivain participe aux manifestations révolutionnaires de février. Il rédige une première version de La tentation de Saint Antoine (1849), avant de partir en Orient avec son ami Maxime du Camp jusqu'en 1851. Flaubert entre romantisme et réalisme De retour en France