Antoine-Louis Barye

sont à l'origine de ce courant qui s'étend au reste de l'Europe avec les conquêtes napoléoniennes et même jusqu'aux États-Unis. Architecture: *Charles Percier et Pierre-François Fontaine Sculpture: *Antonio Canova (1757-1822) Peinture:*Jacques-Louis David (1748-1825) Romantisme Le romantisme se développe au 19e siècle en France par réaction contre la régularité classique et néo-classique. Le romantisme rejette l'antiquité gréco-romaine ce qui marque une rupture complète avec les idées du passé

dont la méthode consiste à préserver la sensibilité de chaque élève en lui enseignant à utiliser sa vue et sa mémoire visuelle, et du peintre Belloc. C'est là qu'il fait la connaissance d'Alphonse Legros. En 1855 il découvre la sculpture avec Antoine-Louis Barye puis Albert-Ernest Carrier-Belleuse. En 1857 il quitte « la petite école » et fort d'un talent reconnu par ses professeurs, suivant l'avis du sculpteur Hippolyte Maindron, il tente le concours d'entrée à l'École des Beaux-Arts, dont il réussira

reste de l'Europe avec les conquêtes napoléoniennes et même jusqu'aux États-Unis. On distingue différent architecte, sculpteur ou peintre dans le néo-classicisme comme Charles Percier et Pierre-François Fontaine, Antonio Canova (1757-1822), Jacques-Louis David (1748-1825) Le romantisme se développe au 19e siècle en France par réaction contre la régularité classique et néo-classique. Le romantisme rejette l'antiquité gréco-romaine ce qui marque une rupture complète avec les idées du passé. Il se caractérise

Lecoq de Boisbaudran, dont la méthode consiste à préserver la sensibilité de chaque élève en lui enseignant à utiliser sa vue et sa mémoire visuelle. C'est là qu'il fait la connaissance d'Alphonse Legros. En 1855 il découvre la sculpture avec Antoine-Louis Barye puis Albert-Ernest Carrier-Belleuse. En 1857 il quitte « la petite école » et fort d'un talent reconnu par ses professeurs, suivant l'avis du sculpteur Hippolyte Maindron, il tente le concours d'entrée à l'École des beaux-arts, dont il réussira

études : Il mena des études médiocres, conséquence de sa forte myopie dont il gardera longtemps le handicap. En 1854 à l'âge de 14 ans, il entre à l'Ecole spéciale de dessin et de mathématiques dite >. Il découvre la sculpture en 1855 avec Antoine-Louis Barye puis avec Albert-Ernest-Carrier-Belleuse. Deux ans plus tard, Rodin quitte > et tente le concours d'entrée de l'Ecole des BeauxArts. Il réussit l'épreuve du dessin mais échoue à celle de la sculpture à cause de son style non conforme aux traditions

Lâche, que ne fais-tu comme a fait ce lion ? Leconte de Lisle, « La mort d'un lion », Poème barbares , 1862 5 Ce tableau est un dessin fait par Barye Antoine Louis . Il représente un lion allonger . Le lion est seul . Il es libre comme le dit la citation : « Et de rugir en paix, libre en sa solitude. » . Barye Antoine Louis (1795-1875) , Lion au repos dans un paysage , XIXème siècle 6 Le lièvre et la tortue est la dixième fables du livre VI de Jean de la Fontaine du premier

marchandises entrant et sortant de Paris. Autorisée à percevoir des taxes pour l'entretien des ports et infrastructures fluviales, cette corporation, dont la première mention date de 1211, dispose d'une juridiction reconnue par le roi, confirmée par Louis VII et renforcée par Philippe Auguste. Cette confrérie donne naissance à la bourgeoisie urbaine qui gère l'administration parisienne : les prévôts des marchands et les échevins sont choisis parmi ses membres. Dès lors, le siège des activités municipales

bousculer le public s’inspirant de la réalité la plus brutale.La peinture romantique a imposé de nouveaux thèmes comme l'exotisme et a renouvelé l'intérêt des artistes pour la nature. Peintre = un visionnaire, un créateur. Peintres Français : Anne-Louis Girodet(Trioson)  (1767-1824) : les Funérailles d'Atala (1808) Théodore Géricault   (1791-1824) : le Radeau de la Méduse (1819) Eugène Delacroix  (1798-1863) : La Liberté guidant le peuple (1830) Théodore Chasseriaux  (1819-1856) : Le Khalife de

Triomphe La Marseillaise élaboré de 1832 à 1835. La recherche de la vérité expressive Le romantisme est également à la recherche de la vérité expressive ou de l’expressivité réaliste ; le plus célèbre représentant de ce travail est Antoine Louis Barye et ses sculptures animalières comme le Lion au serpent (1843). Néanmoins, la sculpture romantique ne rencontrera pas un public très large, ni une critique très positive, on lui reprochera essentiellement une outrance dans l’expression et une

spéciale de dessin et de mathématiques » qui devient plus tard l’école nationale supérieure des arts décoratifs. Il y suit les cours du talentueux Horace Lecoq de Boisbaudran grâce auquel il rencontre de célèbres peintres ou sculpteurs comme Antoine-Louis Barye et Albert-Ernest Carrier-Belleuse. C’est grâce à ces derniers qu’il découvre sa vocation : la sculpture. Il se rend régulièrement au Louvre où il dessine en s’inspirant de l’antique mais il devient aussi un habitué de la manufacture des Gobelins