Antonomase

cause). • Voir le dernier Coppola (l’auteur pour l’oeuvre). • Quelle mauvaise langue ! (une partie physique pour une qualité morale). • L’Allemagne a attaqué la Pologne. Saint-Etienne a battu Lyon. C’est un Don Juan (nom propre pour un nom commun = antonomases), etc. • Une voile à l’horizon. • Le Maillot Jaune du Tour de France. • Une mauvaise langue. • Vivre sous le même toit (dans les 4 cas, la partie pour le tout) • La capitale de la France. • Le roi des animaux. • L’auteur des Fleurs du Mal. La

LITTERAIRES 15/10/14 DOM JUAN I- Dom Juan du mythe à la scène Réécriture d'un texte espagnol de Tirso de molina, connaissnce indirecte de Molière via la commedia dell' arte et représentations faites par les italiens. Dom Juan est devenu une antonomase, nom propre qui est devenu un nom commun. Question morale de Dom Juan complexe chez Molière. Près de 3000 réécritures du mythe, réécriture musicale (Mozart avec Don Giovanni) , Thomas Corneille également. Personnage qui fascine, mythe de Dom Juan

donne à la fois : - un sens politique : Hugo évoque les misérables opprimés par la Restauration, qui luttent dans un élan de solidarité et de dévouement à l’idéal républicain. - Un sens mythologique : Gavroche est l’allégorie du peuple. Par antonomase, on dit d’ailleurs « un gavroche » pour évoquer un gamin facétieux (malicieux, moqueur) et généreux.

et des vers la présence d'allégories au encore de symboles dans cet environnement à la fois cruel et diabolique. En effet, après la première lecture sérieuse du texte on s'aperçoit de la présence de majuscule au milieux des vers, ce sont des antonomases-allégoriques elles sont présentes dans les différentes strophes et symbolise chaque fois l'évolution des sentiments du poète au fil des vers. Tout d'abord au vers numéro six: «  Où l'Espérance, comme une chauve souris/ s'en va battant les murs

|Jésus ». |seize premiers vers, par le pronom personnel | | | |ils, avant que le coupable ne soit nommé | |antonomase (rappel figure de style qui | |« monsieur Bonaparte », puis ne disparaisse | |consiste à utiliser un nom propre comme un | |sous le pronom indéfini

possède pas seulement une visée persuasive ; elle est une forme argumentative complexe, qu’il faut parfois analyser dans sa particularité  Les figures d’analogie et de substitution Comparaison, métaphore, personnification, allégorie, prosopopée, antonomase, métonymie  Les figures d’atténuation Litote et euphémisme  Les figures d’insistance et d’amplification Anaphore, répétition, énumération, gradation, hyperbole  Les figures d’opposition Antithèse, oxymore, chiasme, paradoxe, antiphrase

vous » presque constant). De plus cela fait s’interroger la cible sur son propre comportement et incite ainsi à la réflexion. AIDES à choisi d’utiliser l’image et la notoriété de diverse célébrité afin de servir sa cause. Ce procédé est appelé antonomase ; le fait d’utiliser l’image d’une personne célèbre pour sa publicité. La campagne AIDES offrant un éventail de personnalité très différentes les unes des autres (auteur, acteur, humoriste, politique etc...) a toutes ses chances de toucher une

» → ange pureté // violence du pouvoir qui le fait taire : ne finit pas sa chanson. Dimension littéraire du personnage : un de ces Misérables, représentant d’une volonté littéraire (et idéologique) de dresser un tableau leur rendant justice. Par antonomase ; postérité de Gavroche, est devenu un nom commun désignant les gamins de paris, chapardeurs, débrouillards, touchants, gouailleurs, vivant de rien, mais joyeux et débordants d’énergie moqueuse. On peut conclure de cette analyse de l’extrait

nécessité qu’un Basile... » Le Comte joue là encore de l’implicite dans l’inachèvement de sa phrase. Suzanne ne répond pas à cet implicite mais déplace la question : en reprenant « Basile », elle lui ajoute un déterminant « un Basile » ; par cette antonomase, elle discrédite l’émissaire du comte transformé en vulgaire entremetteur et mis à distance. Le Comte imite avec mauvaise foi son procédé dans sa réplique suivante « il y a un certain Figaro » : dans son cas, il n’y a pas de non-dit, on ne peut

aspire à descendre (Corneille). Pour Reboul, c’est une figure qui fait ressortir une contradiction en la plaçant à l’intérieur d’une répétition : La France a perdu une bataille, mais la France n’a pas perdu la guerre (de Gaulle). Voir chiasme. ANTONOMASE
 Prendre un nom commun pour un nom propre, ou un nom propre pour un nom commun. Autre déf. : Synecdoque désignant une espèce par le nom d’un individu, ou désignant un individu pour une espèce (Reboul). Ex. : César pour les dictateurs, Harpagon