Apnee

patient sur l’antidote de la morphine en cas de surdosage : naloxone ; assurer un contrôle de traçabilité en vigueur pour l’utilisation de stupéfiants. Précaution d’emploi : morphine : en cas de surdosage : risque de sédation, apnée, myosis, hypoTA, coma : réanimation et administration de l’antidote « nalaxone », prévenir la constipation par des laxatifs et les nausées par des antiémétiques ; nalbuphine et buprénorphine : dépendance psychique et physique

inspiration, la bouche s’ouvre et le pharynx devient deux fois plus large. Ensuite, l’air s’engouffre dans les poumons et parvient jusqu’à l’estomac. La respiration se bloque ; on Page !5 sur !16 parle d’un petit arrêt respiratoire, nous sommes donc en apnée. Pendant cette action, nos glandes lacrymales sont stimulées et l’occlusion des yeux se fait. La trompe d’Eustache s’ouvre et donc, pendant un bâillement, nous entendons moins bien. Souvent, en même temps, nous nous étirons. Cette action se nomme «

thermorégulation : il y a alors une forte augmentation de la DE. La réduction de disponibilité en O2 entraîne une diminution de la consommation d’O2. Une diminution de la consommation en O2 induit une diminution de l'efficacité contractile des muscles. En apnée, l'organisme va fortement diminuer son O2 pendant la plongée. Cependant on va avoir une forte augmentation de son O2 ensuite. Pendant une plongée, on mesure les gaz du sang. On observe une diminution du O2 et une augmentation du CO2. Il y a alors retour

d’oxygène dans le sang. Anoxie : Diminution de la quantité d’oxygène. Anurie : Absence de sécrétion d’urine dans les reins. Anxiolytique : Médicament qui supprime l’anxiété. Aphasie : Perte de la voix. Aphonie : La perte plus ou moins de la voix. Apnée : Qui ne respire plus. Apophyse : Excroissance naturelle. Appendicite : Inflammation de l’appendice. Apyrétique : Malade qui n’a pas de fièvre. Artériole : Petites artères. Artériosclérose : Etat des artères durcie et la souplesse est perdue.

defiltration sanguine. Cela s’accompagne de déséquilibres en eau et en minéraux dans l’organisme, pouvant mener à une situation mortelle. Traitement : B. Antécédents chirurgical : Catarate : Traitement : C. Maladie à ce jour : Pneumopathie : Traitement : Apnee du sommeil : Traitement 2. Les 14 besoins fondamentaux : Les 14 besoins fondamentaux Habitude de vie A ce jour Action proposer par l'équipe soignants BESOIN DE RESPIRER Il souffre de pneumopathie et d'apnée du sommeil

d’oxygène dans le sang. Anoxie : Diminution de la quantité d’oxygène. Anurie : Absence de sécrétion d’urine dans les reins. Anxiolytique : Médicament qui supprime l’anxiété. Aphasie : Perte de la voix. Aphonie : La perte plus ou moins de la voix. Apnée : Qui ne respire plus. Apophyse : Excroissance naturelle. Appendicite : Inflammation de l’appendice. Apyrétique : Malade qui n’a pas de fièvre. Artériole : Petites artères. Artériosclérose : Etat des artères durcie et la souplesse est perdue. Arthralgie :

chaud (aliment, d'un gaz entre autres les gaz produits par combustion) ou d'une substance caustique (produit chimique). Une fois la protection assurée (s'il s'agit d'un gaz, il faudra probablement éloigner la personne par un dégagement d'urgence en apnée), il faut faire le bilan de la personne, prévenir les secours, et la surveiller en attendant les secours (la protéger des intempéries, la couvrir s'il fait froid, lui parler, etc.). Si elle est consciente, on lui proposera la position semi-assise.

jambes avec support flottant ou en autonomie Se déplacer avec le moteur jambes en ciseaux ou en battement de crawl, avec support flottant ou en autonomie Se déplacer en nage globale (bras/jambes) de plus en plus loin en autonomie, en apnée (grande profondeur) Les épaves flottantes : Objectif : Se déplacer rapidement et s'organiser. Description : les élèves se déplacent en milieu aquatique, en petite profondeur, ils sont en appuis plantaire. Ils doivent aller chercher

fortes contractions musculaires des membres ou de l’axe tronc tête -Myocloniques = secousses musculaires brèves et bilatérales -atonique = chute soudaine de tonus de brève durée -crises partielles = déviation des yeux, mouvements bucco faciaux, apnée, élévation d’un bras, mastication, salivation -les encéphalopathies épileptiques du nourrisson et de l’enfant L’épilepsie myoclonique du nourrisson (avant un an) crises dans un contexte fébrile Myoclonie = secousses brèves parfois associées

du nouveau-né de mère toxicomane aux opiacés (0,02 à 0,04 mg/kg/dose par voie orale, 6 à 8 fois par jour puis diminuer progressivement). 2 Effets secondaires dépression respiratoire centrale dose dépendante (↓ sensibilité C02) : - dyspnée - apnée - dépression du réflexe de la toux - bronchoconstriction (par libération des histaminolibérateurs) effets digestifs - dépression du centre du vomissement à fortes doses (à faibles doses, c'est l'inverse ! ) => effet antiémétique - constipation