Apocalypse Joyeuse

recueil Les Contemplations il méditait sur l’immortalité de l’ame, problème du mal, destin de l’homme et du monde. Il se forge ainsi une philo composite où se mélent le christianisme, le pythagorisme et le panthéisme. Les contemplations se terminet en apocalypse. Dans la partie La Mage la fonction du poète devient plus grandieuse encore : il est le prophète, le mage, le voyant, celui qui sait, le seul vrai pretre élu de Dieu. Enfin, il croit au caractère surnaturel de son verbe poétique (le Verbe, la

concerne aussi la personne qui ne s'épanouit pas dans les formes classiques et traditionnelles de la sexualité bourgeoise et occidentale. Habituellement, la civilisation se nourrit du malaise de ces individus contraints à cette forme de sexualité, joyeuse si elle est occasionnelle et choisie, désespérante quand elle est régulière et subie. Le Travail, la Famille, la Patrie, l'Entreprise, la Société, l'École se nourrissent de ces énergies déplacées, sublimées : pour la civilisation, toute sexualité

traduisent l'émerveillement de Candide devant la beauté et la symétrie du spectacle : "si beau, si leste, si brillant, si bien ordonné". Cette harmonie visuelle devient ensuite auditive avec le concert d'instruments qui suggère l'image d'une guerre joyeuse. Mais Voltaire introduit déjà des dissonances qui altèrent ce bel ordre. D'abord, on note une progression des instruments vers les sons graves : des "trompettes" et des "fifres", on passe aux "tambours"; de plus, dans cette accumulation d'instruments

qui éclairait cet homme, c’était le cœur. Sa sagesse était faite de la lumière qui vient de là. 147 Point de systèmes, beaucoup d’œuvres. Les spéculations abstruses contiennent du vertige ; rien n’indique qu’il hasardât son esprit dans les apocalypses. L’apôtre peut être hardi, mais l’évêque doit être timide. Il se fût probablement fait scrupule de sonder trop avant de certains problèmes réservés en quelque sorte aux grands esprits terribles. Il y a de l’horreur sacrée sous les porches de l’énigme

Ce qui éclairait cet homme, c’était le cœur. Sa sagesse était faite de la lumière qui vient de là. 147 Point de systèmes, beaucoup d’œuvres. Les spéculations abstruses contiennent du vertige ; rien n’indique qu’il hasardât son esprit dans les apocalypses. L’apôtre peut être hardi, mais l’évêque doit être timide. Il se fût probablement fait scrupule de sonder trop avant de certains problèmes réservés en quelque sorte aux grands esprits terribles. Il y a de l’horreur sacrée sous les porches de l’énigme

pareil. Ce qui éclairait cet homme, c'était le cœur. Sa sagesse était faite de la lumière qui vient de là. Point de systèmes, beaucoup d'œuvres. Les spéculations abstruses contiennent du vertige ; rien n'indique qu'il hasardât son esprit dans les apocalypses. L'apôtre peut être hardi, mais l'évêque doit être timide. Il se fût probablement fait scrupule de sonder trop avant de certains problèmes réservés en quelque sorte aux grands esprits terribles. Il y a de l'horreur sacrée sous les porches de l'énigme

Ce qui éclairait cet homme, c’était le cœur. Sa sagesse était faite de la lumière qui vient de là. Point de systèmes, beaucoup d’œuvres. Les spéculations abstruses contiennent du vertige; rien n’indique qu’il hasardât son esprit dans les apocalypses. L’apôtre peut être hardi, mais l’évêque doit être timide. Il se fût probablement fait scrupule de sonder trop avant de certains problèmes réservés en quelque sorte aux grands esprits terribles. Il y a de l’horreur sacrée sous les porches de

cinquante-cinq , je retombe amoureuse de lui. Personne, même mon merveilleux mari, ne m'a jamais demandé si j'étais heureuse. Peut-être dans mon enfance mes parents ou grands-parents ont-ils éventuellement cherché à savoir si j'étais joyeuse, mais c'est tout. « Nous nous reverrons ? » Je regarde devant moi et je ne vois plus l'ex-petit ami de mon adolescence, mais un abîme vers lequel je m'approche volontairement, un abîme que je ne veux fuir en aucune façon

allait grandissant, une sensation d’être rejetée, de ne pas être aimée, de ne pas être comprise par mon entourage, les autres … mais aussi et surtout ma famille ! Nous voilà arrivés à cette période de ma vie où j’ai le plus de souvenirs, tour à tour joyeuse et malheureuse, avec une insouciance, une naïveté qui m’ont sûrement évité nombre de complications, et un mal être que j’essayais de cacher du mieux que je pouvais afin de me faire accepter, afin que l’on m’aime enfin. Je crois que cette dernière

cinquante-cinq , je retombe amoureuse de lui. Personne, même mon merveilleux mari, ne m'a demandé si j'étais jamais heureuse. Peut-être dans mon enfance mes parents ou grands-parents ont-ils éventuellement cherché à savoir si j'étais joyeuse, mais c'est tout. « Nous nous reverrons ? » Je regarde devant moi et je ne vois plus l'ex-petit de mon adolescence, mais un abîme vers ami lequel je m'approche volontairement, un abîme que je ne veux fuir en aucune façon