Apollinaire Thèmes Récurrents

qu’ils ont sûrement rencontrés dans les autres cycles pour embrasser plus complètement l’œuvre et s’engager dans « le feuilleté des signifiances ». Les illustrations pleine page et double page donnent de l’ampleur à ce récit construit sur un motif récurrent en littérature, le rêve. On pourra ainsi lire en réseau, des albums de Chris Van Allsburg, Ce n’est qu’un rêve ou Une figue de rêve ( L’école des loisirs) ou encore Little Nemo de Winsor McKay (Zenda). Les échanges entre élèves pourront porter sur

problématise l’identité. À partir de l’œuvre sans cesse grandissante d’Amélie Nothomb, nous invitons des chercheurs à examiner ces éléments – identité, mémoire, lieu – séparément ou à les conjuguer ensemble. Par exemple, quels sont les espaces et les topoi récurrents ou uniques de l’œuvre nothombienne ? Comment s’écrit le rapport entre le personnage et le temps, ou entre le personnage et le lieu ? Quelle est la nature de l’identité passée et présente face aux lieux abandonnés ou retrouvés ? Quelle est la fonction

exemple, on note la présupposition réciproque entre tel phénomène social et tel thème, les deux apparaissant toujours ensemble, sans que l’on puisse établir que le premier cause le second) ou internes (nos exemples de présupposition et d’exclusion entre thèmes au sein d’un même texte). De même, les relations comparatives peuvent être externes (par exemple, la comparaison de la société élisabéthaine réelle et celle qui se dégage des œuvres de Shakespeare) ou internes à l’objet (par exemple, la comparaison

l’oral : cf. les travaux sur les interactions verbales de Catherine Kerbrat-Orecchioni. Critères de la typologie des interactions : - Interaction : unité communicative présentant une continuité interne (mêmes participants, cadre spatio-temporel, thèmes, etc.) et rupture par rapport à ce qui la précède et la suit. - Symétrie (les participants occupent une place identité : entre familiers)/complémentarité (les deux partenaires occupent une position différent : médecin/malade, confesseur/pénitent

|poète  de V. Hugo ; Les collines, La Jolie | | | | | | |rousse de G. Apollinaire) ou d'une lettre | | | | | | |(Lettre à P. Demeny d'A. Rimbaud). |

cheveux… Ça te va-t-il, andouille 1 ? » Même si les circonstances varient, les réactions d’Ubu sont prévisibles, voire rituelles. Son discours ne varie guère : il incarne un certain nombre de stéréotypes et de traits convenus. Ainsi, sa lâcheté est récurrente, et l’on peut repérer tout au long de la pièce un certain nombre d’expressions qui l’expriment de toutes les façons 2. Le dis- 1. Acte V, scène 1, p. 55. \ 2. Dès l’acte I, quand il est question de tuer le roi, ou à l’acte IV, au mo- ment

s’en remettra jamais. Le Voyage est refusé par Gallimard (comme le fut Proust) et édité par Denoël. Il n’obtient ni le prix Goncourt (raté de justesse) ni le prix Renaudot. Le livre a du succès car il fait scandale en raison de sa nouveauté, de ses thèmes, de son langage. A ce moment, il n’y a pas encore d’inclinaison idéologique. Croisement d’opinions de droite et de gauche. La compagne d’Aragon, Elsa Triolet, le traduit en russe. Paul Nizan écrit dans L’Humanité (journal communiste) : « c’est une

qu’il perçoit des pouvoirs du roi et du pape ? ᕤ Que dénoncent les propos du narrateur ? ᕥ En quoi peut-on dire que ce texte est une satire ? Quelle est la stratégie argumentative adoptée par Montesquieu ? ᕦ Pouvez-vous retrouver dans ce texte des thèmes ou des enjeux chers à la philosophie des Lumières ? Activité n° 4 – Première étape : dissertation Suivez la démarche à adopter en répondant aux questions suivantes : ᕡ Expliquez le sujet posé, en le reformulant avec vos propres mots si besoin

résidera dans la transmission d'émotions violentes à un lecteur. Pourrait-on voir alors une nouvelle forme d'art tragique ? Tout le problème sera de voir comment l'œuvre schwobienne relève du fantastique et comment celui-ci s'exprime, tant dans ses thèmes que sa forme, tant dans son esthétique que son style. Les limites du corpus comme leur essence ayant ainsi été précisées, nous nous proposons de suivre la démarche suivante pour atteindre l'objectif d'une mise en avant d'un aspect souvent effleuré

œuvres qui s’inspirent de la chevalerie et du christianisme du Moyen Âge et s’opposent aux classiques. C’est précisément la définition que retient Germaine de Staël dans De l’Allemagne (1813). f. Le mot «  surréalisme  » est dû au poète Guillaume Apollinaire (L’Esprit nouveau, 1917). g. Ionesco est né en Roumanie et Beckett en Irlande. baroque) et l’Ex-voto de Philippe de Champaigne (tableau classique), entre L’Enlèvement de Proserpine par Pluton de Girardon (sculpture baroque) et Flore de Coysevox