Apologue Instruire Plaire

utile, le bon et le mauvais. » (VIII, 9) LC répondent à la devise de la comédie « castigat ridendo mores » qui signifie « elle (la comédie » corrige les mœurs par le rire ». Mais au-delà du rire, il s'agit bien d'instruire la société, car plaire et instruire sont les deux enjeux du classicisme. LB a d'ailleurs précisé dans sa Préface, « on ne doit écrire que pour l'instruction. » II-Former et éduquer l'honnête homme La Cour et toute la société constituent donc un lieu d'apprentissage, de formation

voir les personnages descendre dans la salle) ; les dialogues proposent une nouvelle forme de communication, centrée sur le silence, l'incompréhension. La citation : « Je voudrais bien savoir si la grande règle de toutes les règles n'est pas de plaire, et si une pièce de théâtre qui a attrapé son but n'a pas suivi un bon chemin. » (Molière, La Critique de l'École des femmes, 1663.)  Les grands traits de l'esthétique classique Alors que la France est encore fortement

préhistorique, mais utilise un language et des concepts contemporains de l'auteur.→ décalage permanent : idée d'évolution + vocabulaire employé par exemple du latin, anglais, de l'italien … + tout ce qui concerne la géographie.En quoi ce texte est-il un apologue ?Réflexion sur le progrès un bien ? Un mal ? Conflit idéologique → partage du savoir/ des techniques / des richesses JEAN DE LA FONTAINE( 1621 - 1692 ) Il est d'origine provinciale, il est marié, il a un fils, il fait des études de droit

du fonds oriental de la fable >adapté par l’écrivain arabe Ibn Al Mogaffa (Le livre de Kalila et Dimna ). Il sera traduit en frs par Gaulmin : Le livre des lumières ou la conduite des rois (1644) Ds le récit, insertion de parenthèses : contes, apologues pour appuyer un discours persuasif. Le lecteur est poussé à tirer les ccls par la voix qu’un pers exprime tt au long du livre (= voix de l’écrivain ). II – La fable au XVIIème siècle. A – La tradition humaniste Elle s’affirme à la

hors d’atteinte. Il est à noter que cette fable n’a pas une morale tirée uniquement de l’œuvre de Abstémius mais La Fontaine a également puisé dans les œuvres de Virgile afin de respecter une règle qui est pour lui le fondement même de la fable : « plaire ». ------------------------------------------------- - Horace inspira également La Fontaine et surtout dans la fable Le rat des villes et le rat des champs. Les deux auteurs penchent pour le rat des champs, La Fontaine ne prendra pas parti dès le

fonds oriental de la fable >adapté par l’écrivain arabe Ibn Al Mogaffa (Le livre de Kalila et Dimna ). Il sera traduit en frs par Gaulmin : Le livre des lumières ou la conduite des rois (1644) ➢ Ds le récit, insertion de parenthèses : contes, apologues pour appuyer un discours persuasif. Le lecteur est poussé à tirer les ccls par la voix qu’un pers exprime tt au long du livre (= voix de l’écrivain ). II – La fable au XVIIème siècle. A – La tradition humaniste ➢ Elle s’affirme à la

SEQUENCE 1 Plaire pour instruire : l ‘ Apologue Objet d’étude : Convaincre, persuader, délibérer 1. - Le Loup et l’Agneau Jean de la Fontaine (1621 – 1695) Livre I – Fable 10 2. – Les animaux malades de la peste Jean de la Fontaine (1621 – 1695) Livre VII – Fable 1 3. – La cour du Lion Jean de la Fontaine (1621 – 1695) Livre VII – Fable 7 4. – Les obsèques de la Lionne

de syllabes ? a. b. c. d. « Sur une table de toilette Ce chat aperçut un miroir » (« Le Chat et le Miroir », p. 37). « Une abeille étourdie arrive en bourdonnant » (« La Coquette et l’Abeille », p. 51). « – C’est, lui dit le mentor, afin de vous instruire De ce qu’un jour vous devez éprouver » (« Le Rossignol et le Prince », p. 59). « Un pauvre petit grillon Caché dans l’herbe fleurie Regardait un papillon Voltigeant dans la prairie » (« Le Grillon », p. 93). « Un chien vendu par son maître Brisa

....................................................................................................30 Les apologues dans Jacques le Fataliste et son maître ......................................... 31 Introduction............................................................................................................................31 I) Lectures suivies des principaux apologues du roman ........................................................31 1. L’aventure d’Esope (p 69) ; récit du narrateur

l’encontre de l’aphorisme un jugement sans appel : « Une morale nue apporte de l’ennui : / Le conte fait passer le précepte avec lui. ». Le récit serait alors un détour indispensable pour qui désire aussi bien instruire que distraire son lecteur : « En ces sortes de feinte il faut instruire et plaire, / Et conter pour conter me semble peu d’affaire. » Nous nous demanderons d’abord si le conte a bien toujours pour finalité ultime d’illustrer la morale. Néanmoins, une question devra ensuite être soulevée