Apport Michel Ange

recherche l’homme peut atteindre le bonheur. Celle-ci passe par l’éducation. B. Une révolution pédagogique Le but est de rendre l’homme plus humain et de le détacher de dieu, contrairement à la religion qui rapproche l’homme du divin. Les apports de cette pédagogie par rapport au médiéval est l’apprentissage par cœur, ainsi que le système de correction par les punitions corporelles. C’est une nouvelle façon d’enseigner, de valoriser la curiosité des élèves, apprendre dans la joie. La violence

architectonique il en déduisait des loir régissant le cosmos et l’architecture. Les conceptions techniques apportées dans cet ouvrage sont encore d’usage aujourd’hui. Loin d’avoir réalisé une simple imitation de l’architecture de l’antiquité La renaissance apporte une nouvelle vision et conception du monde. Expérience florentine Florence=précurseur de la renaissance Grâce a son commerce, son artisanat et à ses banques, elle c’est hissé au premier rang des villes européennes Grand mécène=Médicis Pazzi

s’affirme avec la Mort de Sardanapale présenté en 1824 au Salon. En 1832 il accomplit un voyage décisif au Maroc, voyage dont l’importance nous est parvenue grâce à des carnets, croquis et littérature de Delacroix. Le voyage de Delacroix au Maroc lui apporte une vision nouvelle de l’Orient, celle d’une Antiquité actualisée. Rome n’est plus dans Rome, et l’Orient lui offre la vision « des personnages consulaires, des Caton, des Brutus, auxquels il ne manque même pas l’air dédaigneux que devaient avoir

le Cinquecento (XVIe siècle). Dans son ouvrage, Vasari parle de trois âges : celui des précurseurs, Cimabue et Giotto, celui des initiateurs, Masaccio, Brunelleschi et Donatello, et enfin celui des maîtres accomplis, Bramante, Vinci, Raphaël et Michel-Ange, qui selon Vasari égalent et même dépassent ceux de l’Antiquité. Il faudra attendre le XIXe siècle pour que les historiens étendent le concept de Renaissance à l’ensemble d’une civilisation. La Renaissance remet en cause l‘ignorance du Moyen-âge

mathématiques, la perspective, la sculpture, l'architecture, Il fait des observations géologiques et assiste régulièrement à des réunions de mathématiciens. Il y côtoie notamment Sandro Botticelli et Pérugin. Il se fait remarquer en peignant pour son maître un ange dans le Baptême du Christ (Musée des Offices, Florence). En 1472, Léonard de Vinci devient membre de la corporation des peintres de Florence mais reste au service de Verrocchio. Il tire de ses dégradés une nouvelle technique, le sfumato (ambiance vaporeuse

à son œuvre graphique. La plupart des objets viennent illustrer l'interprétation du retable, enrichir le discours de l'exposition. La façon dont ils sont présentés (dans telle section, en rapport avec tels autres objets) leur donne leurs sens et apporte quelque chose à l’histoire exposée. Le scénario est organisé selon un parcours linéaire imposé, indispensable à la compréhension, où le visiteur est appelé à découvrir successivement et dans un ordre déterminé les différents degrés. Et dans un même

cherche à peindre une vérité qui refuse les conventions et ne recule pas devant la laideur. Par son sens révolutionnaire du sacré Le Caravage substitue un naturalisme extrême aux artifices du maniérisme. Fidèle à la nature et très influencé par Michel-Ange, il fait du corps humain le véritable objet de sa peinture. Les canons esthétiques sont rejetés au profit d'un réalisme sans faille, non pas dans l'attachement au détail à la manière flamande mais à celui de la vie quotidienne, avec sa douleur

Antonio Pollaiolo, Verrochio Peinture : Ghirlandaio, Botticelli 4. La Renaissance hors de Florence : * Piero della Francesca, Antonello da Messine, Mantegna, les Bellini, Carpaccio, Girgione 5. Léonard de Vinci 6. Raphaël et Michel-Ange * Bibliographie : * Alain Merot, Histoire de l’art 1000-2000, Paris, Hazan, 2004 * Claude Mignot (ouais), Temps Modernes XV-XVIII siècles, Paris, Flammarion 1996 * Peter et Linda Murray, L’art de la Renaissance, Londres, Thames

dans le portique de temple, qui sert de décor, et pour le traitement des corps, on a des personnages qui ont une allure gracieuse, élégante, comme la posture de Jupiter. Cela renvoie aussi au courant maniériste. Les corps musclés font référence à Michel-Ange. Vue du dessin préparatoire ; sur son front, il porte le chiffre royale ; un écu avec une salamandre, renvoi à François Ier, et on voit le détail du caparaçon orné de fleurs de lys. Volonté de rendre aussi la référence au roi. Au pied, on a 3

pourtant constater que la notion de mécénat n’est pas nouvelles. Les rapports qui existent entre l’art, l’argent et le pouvoir sont anciens. Parce que gouverner ce n’est pas que choisir ou prévoir, c’est aussi éblouir, tous les pouvoirs ont toujours su apporter un soutien intéressé à l’art qui est également une source de richesse. Le Prince a toujours su se servir de l’art pour valoriser l’image du pouvoir. .Il en va ainsi dans l’architecture. C’est un art éminemment politique, car il est ostentatoire