Approche Keynesienne Du Chômage

bougera pas et donc les banques peuvent être amenées à disparaitre => risque une crise La réalité est quelque part entre les deux Amérique plutôt multiplicateur et Europe plus proche du diviseur. 30/09/10 Le multiplicateur de crédit Approche comptable et mathématique On va considérer que la banque centrale arrive à contrôler la masse monétaire. La banque de 2nd rang, elle garde 20% des dépôts de réserve car elle sait qu’on va lui demandé de la liquidité. 1ère étape : A dépose

d’exportations-importations sur le blé, cette décision n’étant remise ne cause que bien plus tard (1841, après la mort de Ricardo). Son œuvre la plus célèbre reste « Les principes d’économie politique » (1820). Sa réfutation de la loi des débouchés provient de son approche par la théorie de la demande. Il est peut être un des premiers théoriciens adoptant cette posture. Malthus réfute principalement la théorie de la valeur classique. Pour lui, les coûts de production comptent bien entendu, mais c’est surtout l’intersection

« peut-on lutter efficacement contre le chômage ? » □ Premiers réflexes : quels sont les moyens de lutte ? Qui doit lutter ? Qu’est ce qu’une politique efficace dans ce domaine ? Quel niveau de chômage peut être convenable ? Qu’est ce que le chômage ? quelles sont les causes du chômage ?......... □ Quelles théories ? approche néoclassique, approche keynésienne, Friedman ....... □ Quels liens entre approche théorique et données empiriques ? pb de la mesure du chômage, quelles expériences en France

traitement. Section I : Objets et définition 1. Définition L’analyse macroéconomique est une méthode de raisonnement dont l’objet est d’aborder certains problèmes économiques de nature globale et qui concerne la collectivité nationale tel le chômage, l’inflation ou encore le taux de change. Ainsi pour John Maynard Keynes « Nous avons donné à notre économie le nom de « théorie générale » par là nous avons imaginé que nous avions principalement un fonctionnement du système économique pris dans

Christian Chabagneux, Les dernières heures du libéralisme, édition Perrin L’objectif de ce cours est : * Montrer la diversité des différents courants de pensée, savoir distinguer entre les classiques, les néo classiques, les marxistes des keynésiens * Savoir caractériser les modes de fonctionnement du système économique : le libéralisme économique et l’économie planifiée * Présenter les méthodes d’analyse et savoir distinguer les analyses macroéconomiques des analyses microéconomiques

théorie néoclassique va chercher à renforcer les conclusions libérales des penseurs classiques contestées par d’autres penseurs comme Karl Marx, en remettant en cause ou en reformulant les hypothèses de base de l’analyse économique. Cette nouvelle approche passe par la définition d’une nouvelle théorie de la valeur fondée sur l’utilité. L’histoire de la pensée économique nous enseigne donc que cet avec l’économiste et financier Britannique John Maynard KEYNES, lorsqu’il publia sa Théorie générale

capacité de production : capital – travail => contraintes qui s’imposent à l’économie. PARADOXE : force de travail constitue une contrainte quantitative, mais chômage : -> explication par l’informatisation de l’eco. Sur 200 000 chômeurs, la moitié n’est plus assez formée. Taux de chômage naturel : taux en dessous duquel le chômage ne baisse pas (5-6% en France). Il existe un lien entre quantité et prix -> ce lien se détermine sur le marché : on va confronter la quantité proposée de ce

de sous emplois : Le concept de l’Etat providence a été defendu par KEYNES, la theorie keynésienne est placée dans un contexte de sous emploi et dans une approche macroéconomique . Selon Keynes, L’état doit intervenir pour assurer le plein emploi et soutenir la croissance car le marché livré à lui-même peut générer des crises et du chômage, il estime qu’il y a deux conditions a remplir pour sortir du chômage premiérement Abaisser les revenus des tranches sociales qui auraient les moyens de consommer

l’article homonyme, voir Valeur travail (idéologie).  La valeur travail est un ancien concept utilisé aux xviiie siècle et xixe siècle par certains économistes, qui fixe la valeur d'un bien au coût dutravail nécessaire pour le produire. Cette approche ne prenait pas en compte le coût d'opportunité des biens rares mis en œuvre : matières premières, biens intermédiaires, outil de production (le capital). Elle est donc très peu utilisée, par le courant marxiste en particulier. Certains économistes classiques

politique économique qui sont la croissance, le plein emploi, la stabilité des prix et l’équilibre extérieurs. Le problème est de savoir quel objectif assigné à la politique monétaire. Il y a sur ce point deux conceptions qui s'affrontent : pour les keynésiens, la politique monétaire peut être utilisée dans un objectif de régulation conjoncturelle macro-économique, c'està -dire qu'elle peut agir sur la production et l'emploi. Quant aux monétaristes, la politique monétaire ne peut avoir qu'un objectif