Aquifère

eau souterraine sont fonction de la nature de la roche qui compose l’aquifère, du type de circulation des eaux au sein de cet aquifère, du temps de contact avec les minéraux, des phénomènes d’oxydo-réduction et du temps de renouvellement de l’eau dans le réservoir par les apports d’eau météorique. Or si les faciès des roches sont bien connus, le fond géochimique des aquifères est nettement moins renseigné. 1er remarque, exemple la masse d’eau FR-FO-016 : Les sources du Portlandien présentent une anomalie

des cadres juridiques adaptés, des principes universels de la GIRE, selon lesquels la gestion des ressources en eau doit être organisée : 1) à l'échelle des bassins versants, locaux, nationaux ou transfrontaliers, des fleuves, des lacs et des aquifères ; 2) en s’appuyant sur des systèmes intégrés d'information, permettant de connaître les écosystèmes, les ressources, leurs différents usages et les pollutions, d’évaluer les risques et de suivre les évolutions. Leurs informations, y compris d’ordre

et rivières). En France, l’eau consommée est prélevée à 40% en surface, et 60% dans les réservoirs souterrains. Les réservoirs souterrains sont des aquifères, c’est-à-dire, des roches poreuses ou fissurées disposées au dessus d’une couche imperméable et susceptible de contenir de l’eau. Les nappes phréatiques sont contenues dans les aquifères proches de la surface. Elles sont alimentées par l’eau qui s’infiltre en provenance du sol ou des rivières. Elles perdent de l’eau au niveau des sources

effets potentiels sur les ressources naturelles de la terre, souligne aujourd’hui la FAO à l’occasion de la Journée mondiale de l’eau. L’agriculture représente environ 70 pour cent de tous les prélèvements d’eau douce des lacs, fleuves et nappes aquifères du monde entier, mais dans plusieurs pays en développement, où se trouvent les trois quarts des terres irriguées de la planète, ce chiffre atteint 95 pour cent. N’oublions pas que nourriture égale eau. Il faut de 1 000 à 2 000 litres d’eau pour

peut vivre sans pétrole, pas sans eau. Pourtant, dès que l’on chausse les lunettes de l’historien, le tableau qui s’offre à nous est susceptible de relativiser ces tragiques prédictions. En recensant les violences directement liées au contrôle des aquifères depuis l’Antiquité, on arrive péniblement à une courte liste d’éruptions de violences de faible intensité : émeutes, escarmouches entre villages (1). Il s’agit presque systématiquement de violences localisées, ponctuelles et populaires. Les gouvernements

des roches, humidifiant des couches de plus en plus profondes, jusqu’à rencontrer une couche imperméable. elles s’accumulent, remplissant le moindre vide, saturant d’humidité le sous-sol, formant ainsi un réservoir d’eau souterraine appelé aquifère. Les aquifères souterrains sont la réserve majeure (96%) de l'eau douce exploitable sur les terres émergées. 65% des eaux qui y sont pompées sont utilisées et parfois gaspillées pour l’irrigation. L'eau potable constitue 25% des prélèvements alors que l'industrie

ressources qu'ils offrent s'évaluent donc dans des cadres supranationaux et posent des problèmes de partage alors que les organismes fluviaux plus petits sont les unités élémentaires des ressources nationales. Les nappes phréatiques sont des réservoirs aquifères alimentés par l'infiltration des eaux de ruissellement. Ils régularisent ainsi les écoulements de surface et offrent en même temps des ressources permanentes et facilement accessibles. Selon la nature des roches et la structure géologique, ces nappes

ponctuelle des pluies des régions steppiques. D’autre part, l’écart considérable des températures dans un ensemble à moitié désertique provoque une évaporation préjudiciable aussi bien pour les activités agricoles que pour l’établissement de réserves aquifères durables. Stocker l’eau l’hiver pour l’utiliser l’été devient dès lors une nécessité vitale. Le retard ou l’absence des précipitations, les sécheresses répétées, l’épuisement rapide des réserves peuvent avoir des répercussions catastrophiques sur

Rapport de sortie HRE : Etude d’un aquifère héterogéne 2011/2012 Sommaire Introduction * Situation géographique de saint brice en cogles * Contexte géologiue Matériéls et méthode Résultats et discussion conclusion Introduction L’étude de terrain effectuée sur la zone de saint Brice en Coglés a pour objectifs la familiarisation avec le contexte des aquifères hétérogène; une approche géologique permettra la mise en place des lithologies rencontrées. Plus précisément;

les réseaux de fractures sont des problèmes auxquels tentent de répondre de nombreux chercheurs dont [1],[2],[3],[4],[5],[6],[7] à partir d’approches théoriques, numériques ou même expérimentales. En Afrique de l’Ouest, l’étude des systèmes aquifères en milieu de socle cristallin et cristallophyllien ([8],[9], [10],[11],[12],[13]) est fondamentale et indispensable 2-9525435-0-0 © IEEE SITIS 2005 pour la détermination des aires de captage des eaux souterraines, leur gestion ainsi que