Arawaks

Français, la langue minoritaire (1.5%), qui est la langue du pouvoir économique, politique et administratif et est contrôlée par une petite élite. La population est formée par un 95% Noirs, le reste est mulâtre. Les habitants originaires étaient Arawaks et Caraïbes, mais ils furent décimés par les Espagnols qui colonisaient l’ìle de l’Hispaniola. Toussaint Louverture fuit le libérateur principal des haïtiens, le chef des révolutions. Après ce symbole pour Haïti, Mackandal et Bouckman continuaient

l’humanité, en partant du rapport entre Blanc et Noir, dans son œuvre Peau noire, masques blancs publiée en 1952. Le marronnage : le mot ‘marron’ vient de l’espagnol ‘cimarron’ qui signifie « fuir » ou encore « s’échapper ». Ce terme, emprunté aux Arawak désigne les animaux qui, de domestiques retournent à l’état sauvage comme le cochon, le cheval. En français, le mot s’étendit d’abord aux engagés qui fuyaient leurs mauvaises conditions de travail. A partir du XVIème siècle, il désigna également les

métrage en 1997. D’une autre façon, des esclaves, partis en  marronnage. C'est à dire qui désigne la fuite d'esclaves hors des plantations. Il dérive du mot espagnol cimarron, celui qui vit sur les cimes. Une autre étymologie le fais venir d'un mot arawak désignant les animaux retournés à l'état sauvage. Il fut appliqué aux esclaves ayant déserté pour vivre caché dans des zones inaccessibles, le terme rapproche l'esclave de l'animal.Ces esclaves se regroupaient quelques fois, jusqu’à constituer de

de se faire indiquer d'où cet or provient. Il est aussi fasciné par leur générosité, qui confine à la sottise 2. Plus tard, le même Journal nous parle d'êtres diamétralement opposés, de Sauvages féroces et cannibales : il s'agit des ennemis des Arawaks, les Caraïbes des Petites Antilles : [...] une île Quaris, peuplée de gens que l'on tient dans toutes les îles comme très féroces et qui mangent de la chair humaine. Ceux-ci ont beaucoup de canoas sur lesquels ils courent toutes les îles de l'Inde

d'amérindiens, répartis au nord et au sud19. La population amérindienne a été divisée en grandes nations autochtones composées de différents groupes ethniques parmi lesquels se distinguent les principales familles linguistiques : tupi-guarani , macro-jê et arawak. Les amérindiens étaient répartis dans d'innombrables tribus, dont les Tupiniquims, les Guaranís et les Tupinambas20 La tribu des amérindiens tupis a été la première tribu autochtone à avoir été en contact avec les Portugais et celle dont l'héritage

problème qui date d'hier. Il y a longtemps que cela se produit. Deux principales causes sont à l'origine de cet enjeu: les activités humaines et les facteurs naturels. Avant l’arrivée des européens sur l’ile d’Haïti occupée par les Tainos et les Arawak, c’était un petit territoire boisé à 95% : l'île d'Hispaniola était composée de dizaines d'espèces d’arbres: cocotiers, manguiers, papayers, acajous, flamboyants, tamariniers .... Dès leur débarquement les colons commencèrent à exploiter les forets

d'amérindiens originaires du Vénézuela. Ils ont émigré par la suite vers les îles des Antilles Leur nom provient du mot caniba donné par les Taïnos, autre peuple amérindien déjà installé aux Antilles. La désignation des Caraïbes antillais dans la langue arawak, caniba, a par ailleurs été transposée, via l'espagnol, dans de nombreuses langues européennes, par exemple le français, donnant l'adjectif et substantif « cannibale ». Suite au premier contact avec ces Amérindiens, Christophe Colomb notera dans son

racine 2. La fleur La feuille Le tabac fut probablement utilisé pour la 1ère fois par : Les Gaulois 3. Les Mayas Les Vikings “Tabac” vient de “Tobago”, qui désignait : Un tube utilisé pour fumer le tabac Le nom d'un chef Arawak Le nom du cuisinier de Christophe Colomb 5. 4. De nombreuses études ont montré le lien entre le tabagisme et : La rougeole Le tabac fut introduit 1492 en France en : Le cancer du poumon Les maladies du cœur 1556 1789

cols. Le plus haut sommet est le pic Paradis (414 mètres d'altitude) et ces reliefs sont parcourus par environ quarante kilomètres de sentiers plus ou moins balisés qui pénètrent la forêt sèche et les savanes. Histoire Les indiens Saladoïdes et Arawaks, venus en pirogue du bassin de l’Orénoque en Amérique du Sud, font leur apparition à Saint-Martin vers 1800 avant JC. Découvrant étangs et lagunes dont le produit - le sel - restera l’une des principales ressources de l’île, ils baptisèrent celle-ci

1510, les Esp n’ont de contacts qu’avec les populations des Caraïbes, en particulier celles d’Hispaniola (Haïti/St D), Cuba, et Porto Rico, les « Grandes Antilles ». Ces îles sont peuplées de tribus Arawaks et Caribes organisées en chefferies (c'est à dire regroupées autour d’un chef de village). Les Arawaks – premiers indigènes rencontrés par Colomb – sont des marins et des cultivateurs qui maîtrisent la navigation de haute mer grâce à des canoës de grande taille, et cultivent le manioc et la patate