Arbitrage Inflation Chomage

Principe n°8: Le niveau de vie d’un pays dépend de sa capacité à produire des biens et services 2 Principe n°9: Les prix montent quand le gouvernement imprime de la monnaie 2 Principe n°10: À court terme, la société doit choisir entre inflation et chômage 2 Conclusion 2 1.4 Concepts clés - définitions Chapitre 2: Penser comme un économiste 2.1 L’économiste en tant que scientifique 3 3 3 La méthode scientifique: Un aller et retour entre observation et théorie 3 Le rôle des hypothèses

nature liquide, elle n’a pas de rendement. Pour cette raison, des agents peuvent lui préférer des placements rentables tels que des obligations qui sont des titres financiers moins liquides mais rémunérés : Il est donc question de procéder à un arbitrage entre l’actif monétaire et l’actif financier. Dans la conception keynésienne, les variations du taux d’intérêt expliquent les fluctuations des investissements. Or, le taux d’intérêt est fixé par le marché de la monnaie dans lequel la demande de monnaie

mondiale sans précèdent -Les facteurs de la croissance (états-providence, innovations) B) Les bouleversements depuis le début des années 1970 -Le temps des difficultés économiques (inflation, essoufflement, OPEP) -La croissance dépressive (chômage, crises récurrentes, mondialisation) C) Des trajectoires variées pour les économies non occidentales -Echec des économies socialistes (fin Urss, conversion capitalisme) -La diversité

fini. La monnaie est apparue : elle dépend de sa quantité et si la quantité de masse monétaire augmente trop rapidement et la monnaie ne suit pas, alors il y a inflation. 2) La monnaie instrument de mesure de la valeur Elle mesure la valeur puisqu’elle a une unité et que toutes les valeurs sont déterminées par rapport cette unité. Cette inflation est instable en raison de l’inflation. Il y a deux raisons : D’abord, la monnaie se définit comme le moyen d’exprimer la valeur d’un bien par un prix. Ensuite

perdent leur épargne. Il y a ensuite un effondrement de l’immobilier car il n’y a plus de prêts et les gens sont obligés de vendre leurs biens car ils n’ont plus d’argent. Cela se transmet ensuite a l’économie individuelle (faillite d’entreprise, chômage, misère ouvrière et paysanne). C’est une crise systémique. Le creux de la crise est en 1932, c’est là qu’elle est la plus grave. La production industrielle a baissé de 49%, les pris on chuté de 30% (déflation). Aux USA en 1932, c’est 14 millions de

Economie du travail Introduction générale du cours Le cours sera basé sur l'évolution du travail, ou plutôt du chômage et de l'emploi. Cela a donné lieu à 3 questions : l'utilisation de la main d'œuvre dans la production, la détermination du volume de travail, et la fixation du prix de la main d'œuvre, la modalité de la location ou affection de l'économie, question de l'efficacité de la force de travail, ... Exemples de réflexions, études: évolution de la durée de travail, transformation

Classiques et Néo-classiques adhérent d'un même élan à la théorie dichotomique de la monnaie : la monnaie est neutre et toute augmentation de la masse monétaire qui n'est pas la conséquence d'une augmentation préalable de la production engendre une inflation. La limitation de l'intervention étatique aux fonctions essentielles constitue un troisième point de convergence entre ces deux traditions libérales : l’Etat doit assurer les fonctions régaliennes (police et défense) et offrir des biens collectifs

qui était dans les années 1990 essentiellement le fait de russophones, a aujourd’hui des origines plus mélangées (immigration chinoise et ouzbek) En 2008, la Russie comptait quelque 10 millions d’immigrés. La crise économique et l’augmentation du chômage provoquent une montée de la xénophobie dans le pays : 74 meurtres à caractère racistes ont été recensés en 2007, 114 en 2008 ce qui est à mettre en perspective avec les statistiques inférieures des autres pays européens connaissant désormais eux-aussi

l’amélioration de la croissance de la production ne peut être obtenue qu’au prix d’une détérioration de la balance des paiements extérieurs courants. De telles constellations engendrent des situations de conflits entre objectifs qui débouchent sur des arbitrages. Il en résulte souvent une hiérarchie entre les éléments de choix qui ne peuvent pas être réalisés en même temps et avec le même degré d’efficience, exemple le « carré magique » de N. Kaldor, formé du plein emploi, de l’équilibre extérieur, de la

En 1984, l'endettement extérieur représente presque l'équivalent d'une année de production (il était dix fois moindre en 1974), le déficit du budget de l'État avoisine 6,5 % et celui de la balance des paiements approche 9 % du PIB. Le taux de chômage grimpe à 4,2 % en juin 1984 -pourcentage très élevé pour l'époque- alors qu'il n'était que de 1,7 % en mars 1980. Seule l'inflation -qui était à deux chiffres de 1973 à 1983- apparaît maîtrisée mais c'est au prix d'un gel total des prix et des salaires