Arbitrage Inflation Chomage

difficile ; - pour les entreprises, d’avoir une « armée de réserve » qualifiée ; - pour les jeunes et leurs familles, apparaissent comme une protection à moyen terme et pour se placer au mieux dans la file d’attente à court terme, d’autant que le chômage est tel que le coût d’opportunité des études apparaît peu important. Ainsi tous les acteurs ont intérêt à défendre l’expansion continue des scolarités, mais cette expansion est un objectif intermédiaire car l’objectif final est d’assurer un surcroît

contemporaine) III. La micro-économie contemporaine : l'efficacité du marché et ses limites a) Les quatre principes de la prise de décision individuelle - Les agents doivent faire des choix car il y a rareté : ils font face à des arbitrages . Le problème économique née de la rareté il faut faire des choix depuis la fin du 19 siècle . - Le choix est effectué en prenant en compte le coût d'opportunité (ce à quoi on renonce ) de l'action envisagée : le coût d'un bien ou d'une action

production (nouvelles technologies, chômage, croissance…), la distribution des richesses, et leur utilisation. Il y a un besoin d’outils ; comme la comptabilité générale (mathématique) et les techniques d’économétrie (statistique). La macroéconomie entre dans le cadre des politiques économiques, il y a donc une difficulté à s’autonomiser du cadre politique. 4 grands thèmes sont abordés en macroéconomie : * la relation Marché / Etat * le lien Emploi / Chômage / Salaire * le Rôle de la

sont résumés à deux types d’agents: les entreprises (investisseurs) et les ménages (épargnants). L'accélérateur montre que les investissements sont liés aux variations du PIB et non à son niveau. Le taux de croissance garanti permet d'arrêter chômage et inflation. C’est le taux qui coordonne parfaitement les décisions des entreprises et des ménages. - La loi essentielle est votée en 1890 le Sherman Act. Cette loi permet de mettre en prison et d’infliger de lourdes amendes à tous membre d’une entente

elle doit évoluer de façon à remplir convenablement ses missions en référence aux fonctions de la monnaie et à des objectifs sans lecture restrictive compte tenu des contraintes de l’économie nationale et particulièrement de la prolifération du chômage Dans cette problématique, de nombreuses pistes de réflexion sont offertes à l’initiative des acteurs monétaires et financiers à la fois pour introduire davantage de cohérence entre les politiques monétaires et les politiques économiques mais aussi

d'investissement. • L'équilibre est nécessairement un équilibre de plein emploi. En effet, le niveau de la production est déterminé par ? marché du travail. Tous les salariés qui acceptent de travailler au niveau du salaire d'équilibre sont embauchés. Le chômage ne peut être que volontaire : refus de travailler au niveau du salaire d'équilibre. Si la population active s'accroît, il suffit de diminuer le niveau du salaire pour augmenter l'emploi. • L'État doit laisser jouer les mécanismes autorégulateurs

Macroéconomie Introduction ➢ Inflation début années 2000 : Faible. ➢ Car : Stratégie de ciblage des banques Centrales (BCE => 2%) Il y a une recherche constante d'une forte rentabilité : ➢ Mais : Raréfaction des projets non-risqués. ➢ D'où : Hausse des investissement dans les projets risqués. ➢ Mais : Défaut des créantier des subprimes. ➢ D'où : Peur d'un passage de crise financière économique/réelle. ➢ à crise Quelles sont les limites fixées par les pays d'Europe pour garantir

modification des préférences individuelles et collectives, devrait déformer la structure de la demande par produits et services. Les évolutions réglementaires peuvent agir sur les procédés de production et la qualité des produits mais aussi sur les arbitrages des consommateurs. La consommation des ménages représentant 60 % du PIB, une déformation des préférences des ménages, qu’elle soit discrétionnaire ou contrainte, affectera la nature de la croissance et la répartition sectorielle de l’emploi. La

inversement, une moindre inflation dans les autres pays membres du SME. Or, la politique de la Bundesbank a consisté à resserrer sa politique monétaire pour lutter contre l’inflation, alors même que la conjoncture du reste de l’Europe nécessitait une détente sur les taux d’intérêt et une dépréciation réelle des devises face au mark pour restaurer la compétitivité. Cette erreur de politique économique s’est payée dans toute l’Europe par une désinflation assortie d’une récession et de chômage. Par des attaques

(Les 4 axes sont de même longueur, mais chacun est gradué avec une unité différente, ainsi la situation idéale prend la forme d’un carré). Graduation des axes (du centre vers l’extérieur): - Croissance 0 à 6% - Solde transactions 0 à 2% - Chômage 13 à 0% - Inflation 14 à 0% Reportez les valeurs des années 1980,1996 et 2004 (utiliser des couleurs ou tirets, pointillés… pour repérer chacune des trois années). Comment se présente la situation économique et sociale de la France en 2004 ? Annexe 1