Arbitrage Inflation Chomage

microéconomique traditionnelle. b. Marché et défaillances du marché. c. Nouvelles théories : une meilleure prise en compte de la concurrence imparfaite. B- La macroéconomie. a. Croissance économique. b. Cycle économique. c. Politique monétaire et inflation. d. Politique budgétaire et fiscale. C- Théories et études empiriques. a. 2.3.1 Les théories empiriques. b. 2.3.2 Les études empiriques. c. 2.3.3 La théorie des organisations. III- L'économie appliquée réduite à la classification du Journal

- Nouveaux modèles de croissance : grand public et salariés, synthèse du sondage TNS Sofres Annexe 6 - L’accès des consommateurs aux biens et services : évolution et perspectives, Philippe Moati, CRÉDOC Annexe 7 - Évolution de la consommation et arbitrages face à la crise, Pascale Hébel, CRÉDOC Annexe 8 - Avis des partenaires sociaux et membres du groupe de travail 139 141 143 144 146 148 158 172 190 214 8 Introduction Introduction Introduction À la recherche d’un nouveau modèle

d’accroissement des salaires joue un rôle crucial, du fait de la politique passée en matière d’indexation des pensions, assise en pratique sur le tiers de l’inflation. Ou plutôt, la différence entre inflation et taux d’accroissement des salaires a un impact considérable ; pour le RCAR, la différence entre inflation et taux d’accroissement des salaires n’a pas d’impact, l’indexation des pensions se faisant sur les salaires. En revanche, du fait du fonctionnement en capitalisation partielle, la différence

marché spécifique pour les échanges de devises, appelé marché des changes. Les opérations se traduisent par des jeux d’écriture entre comptes bancaires : le « bien » échangé est donc de la monnaie (M1). Si le marché est suffisamment liquide, les arbitrages assurent à chaque instant l’unicité du taux de change entre deux pays et la transitivité entre taux de change croisés (si un euro vaut 0,9 dollar et un dollar vaut 130 yens, alors un euro vaut 0,9x130 = 117 yens). a) Le fonctionnement du marché

L'unification du Marché européen Du SME à l'UEM Croissance et fluctuations dans les pays développés 5 15 25 35 43 53 63 71 79 89 97 107 V. L'économie mondiale Référentiel IV. Les relations économiques internationales 10 Inflation et désinflation dans les pays développés 11 Le chômage dans les pays développés 12 Les déséquilibres sociaux dans les pays développés ÉCONOMIE D'ENTREPRISE 13 Les structures de l'entreprise 14 La stratégie : objectifs et décisions 15 Le diagnostic stratégique : environnement

de chaque bien présent au sein de l'activité économique. ____________________________ C. AZARIADIS En 1975, il publie un livre "Contrats implicites et équilibre de sous-emploi" ("Implicit contracts and unemployment equilibria") eu un temps où le chômage augmente rapidement. Il y pose une question importante : pourquoi les salaires varient moins que le niveau de l'emploi. C'est la "théorie des contrats implicites". Le salarié, estime-t-il, a une grande aversion pour le risque, dès lors, le contrat

l’économiste ne s’intéresserait pas plutôt à la recherche des ressorts de l’action humaine et lorsque les manuels de premier cycle expliquent la façon dont raisonnent les économistes ils mettent l’accent sur la réaction aux incitations et sur les arbitrages, plus complexes que ceux décrits par les reportages diffusés à la télévision. Stiglitz 10 donne l’exemple d’un débat au Congrès américain durant l’été 90 sur l’obligation de sièges pour les enfants de moins de deux ans. Cela sauverait en cas

que l’agent économique dont l’activité rationnelle se situe dans le temps doit se constituer une réserve de pouvoir d’achat sous forme monétaire. Cette réserve amène les agents économique à arbitrer entre la monnaie et les titres. C’est de cet arbitrage dit de transaction que nait alors la demande de monnaie des agents économiques. Cette demande de monnaie exprime d’abord une certaine préférence pour la liquidité qui dépend de ce qu’on appelle le revenu réel de l’agent économique. Cette demande

revenu réel = le revenu hors inflation. AD = Demande Globale = Demande Agrégée Relation statistique ‘significative’ entre le revenu disponible et les dépenses des consommations des particuliers britanniques. La droite est une droite de régression. Le revenu disponible a une forte influence sur les dépenses de consommation mais il n’est pas le seul. Hypothèses : * Il y a une association positive entre une variation du revenu (Y) disponible réel (hors inflation) et les dépenses de consommation :

d’un taux de chômage dit naturel, lequel est compatible avec la stabilité des prix ; - Si le marché du travail fonctionne correctement, il est parfaitement flexible. Le taux de chômage effectif oscille autours de ce taux de chômage naturel minimal ; - En aucun cas le volontarisme politique ne peut réduire durablement le chômage en dessous de ce taux naturel ; - Si le taux de chômage se situe au dessus du taux naturel, la baisse du salaire est le seul moyen d’amener le chômage à son taux naturel ;