Archimède

organiser tout ce que l'on pouvait connaître au service des mathématiques. A écrit l'œuvre Les éléments qui comportait 13 livres et environ 500 théorèmes. APPOLONIOS ( -262 à -180 ) a composé les Coniques. A introduit deux notions : l'épicycle, ARCHIMEDE de Syracuse ( -282 à -212 ) a étudié à Alexandrie mais a passé la plus part de son temps en Sicile à Syracuse. Géomètre et mécanicien. A mesuré « Pi » avec un triangle et son cercle circonscrit. A écrit l'Arenaire et les Corps flottants où il écrit

les trois concupiscences (la «chair», le savoir et l'orgueil) et en fait trois ordres : l'ordre «charnel» du pouvoir et de la possession (personnifié par Alexandre le Grand), l'ordre «de l'esprit», du savoir et de la connaissance (personnifié par Archimède), l'ordre «spirituel» du «cœur» et de la charité (amour chrétien), incarné par Jésus-Christ dans son «sacrifice». La morale devient spirituelle, voire métaphysique. Mais c'est aussi un moraliste sceptique qui rappelle parfois le calcul des plaisirs

qui pourraient arriver de l’Espagne. C’est inquiétant pour Hannibal, son alliance avec Philippe de Macédoine échoue, battu par les Romains. Le redressement commence entre 214 et 212 par le siège de Syracuse. En débit de l’ingéniosité du célèbre Archimède qui avait inventé des machines pour défendre la ville. Marcellus a fait le blocus de Syracuse. Au bout de deux ans, il a pris Syracuse un jour de fête la nuit, pendant que les hommes étaient ivres. En Espagne après la mort des deux Scipion, les

nombres. Je fais ici une parenthèse à propos du nombre Pi, dans sa valeur cosmique telle qu'elle a été conservée par le Compagnonnage suivant son antique expression druidique. Pi = 17 x 11 x 7 x 4 x 3 x 2 = 31416 Pour Ptolémée Pi = 3,1416 Pour Archimède Pi = 3,1418 Chacun de ces nombres possède son symbolisme. 17 = 9 + 8 9/8 = 1,125 9/8 est un rapport qui revient continuellement dans les spéculations arithmologiques des grecs anciens, que ce soit sur le plan musical, grammatical ou cosmologique

^3=2+1 1er Méthode: (a+b)^3 = (a+5)² (a+5) = a^3+3a²b+3ab²+b^3 ^3 = (1+√5) = (6+2√5) (1+√5) 2 8 =6+6√5+2√5+10 =2+√5 = 1+1+√5 H+2 Conjecture de Syracuse: (Nom d'une université) Archimède vivait à Syracuse. N (entier qu'on choisi) L = 1,61 = 1+√5 =1+√5 2 2 1) ² = +1 2) ^3 = +1 = (+1)x= ²+= +1+=2+1 ^4= ²+ ² = (+1) (+1) = (+1)² = ²+2+1 = ²+1+1+1 = +1+2+1 =3+2 ^5= ²x²x = (+1) (+1)

: il a suffi d'inciser le contour des lettres et d'y mettre de la peinture. Soudain Xantippe pénètre dans la grotte. Le maître d'école leur explique que leurs preuves ne sont que des théorèmes, des suppositions sans témoin. Xantippe, inspiré par Archimède, cherche son « point d'appui » : ce sera le journal où est parue la nouvelle. Le maître d'école affirme que la nouvelle avait déjà été écrite avant même que l'inscription le soit sur le temple : le journal reçoit les dernières nouvelles avant la

semblerait que les primitives permettent de calculer des aires planes. 1 25 La valeur exacte de l’aire cherchée est bien -- (en u.a.) c’est-à-dire ---- cm 2 . 3 3 Le mathématicien grec ARCHIMÈDE ( – 278 ; – 212 ) savait que l’aire « sous la parabole » était égale au tiers de celle du carré. Les procédés utilisés par Archimède peuvent être considérés comme des procédés précurseurs de notre calcul intégral. Remarques Cas général Soit f une fonction continue, positive et monotone sur un intervalle

primitives permettent de calculer des aires planes. Remarques 1 25 valeur exacte de l’aire cherchée est bien -- (en u.a.) c’est-à-dire ---- cm 2 . 3 3 ̈ Le mathématicien grec ARCHIMÈDE ( – 278 ; – 212 ) savait que l’aire « sous la parabole » était égale au tiers de celle du carré. Les procédés utilisés par Archimède peuvent être considérés comme des procédés précurseurs de notre calcul intégral. ̈ La Cas général Soit f une fonction continue, positive et monotone sur un intervalle I = [

"condensé" en 10, une valeur exigeant moins de chiffres.On écrit: log 2 1024 = 10 | | Je connais déjà un peu tout cela, montrez-moi la conclusion de cette page >>> Pour commencer voir Échelle des puissances de dix APPROCHE – LA MÉTHODE ARCHIMÈDE | | Utilisation en parallèle de DEUX échelles de nombres * On met en correspondance les nombres (progression Arithmétique);et les puissances de 2 (progression Géométrique). | A | 1 | 2 | 3 | 4 | 5 | 6 | 7 | 8 | 9 | 10 | G | 2 | 4

cela fût absolument faux; et je continuerai toujours dans ce chemin, jusqu'à ce que j'aie rencontré quelque chose de certain, ou du moins, si je ne puis autre chose, jusqu'à ce que j'aie appris certainement qu'il n'y a rien au monde de certain. Archimède, pour tirer le globe terrestre de sa place et le transporter en un autre lieu, ne demandait rien qu'un point qui fût ferme et immobile:6 ainsi j'aurai droit de concevoir de hautes espérances, si je suis assez heureux pour trouver seulement une chose