Archonte

pouvoir est maintenu par une minorité de personnes (mené par les nobles). 2) économie + culture : aucune. 3) mode de vie : guerre. VILLES CONTRE ATHÈNE : Corinthe et Sparte. Tyran ou législateur : 1) Dracon : loi écrite, pouvoir judiciaire. 2) Solon (archonte) : atténue la rigueur des lois draconiennes, plus d’esclavage + constitution. 3) Clisthène : réforme politique. Droit coutumier : avant que les lois soient écrites. Grèce vs Perse : Guerre médique, grecs gagnent et règne sur la mer Égée (mer qui

nombreux. La durée des fonctions: brève (6-12 mois) et la réitération interdite (exception: stratèges, ex.: Périclès) - recrutés par tirage au sort (sauf pour ceux nécessitant une qualification spéciale, (ex.: "stratèges", qui sont élus) - neuf archontes ("archéin" = gouverner), remontent à l´âge aristocratique Ils ont été créés en plusieurs fois. - dix stratèges - commandent par alternance journalière l´armée et la flotte - négocient les traités - administrent la cité - Il existe d’autres

Constantinople. Des troubles commencent à apparaitre notamment avec la discorde en 1370 entre Andronic IV et son père au sujet de Ténédos. Où le père d’Andronic refuse de le livrer, il est aussi soupçonner de complots contre son père avec plusieurs archontes puissants des alentour. L’été 1373, il joignit les troupes d’un fils de Mourad 1er (3ème sultan ottoman 1360-1389, fils d’Orhan) : Saudzi Celebi révolté contre son père. Le sultan mata la révolution et mis à mort son fils pour remettre de l’ordre

pouvoir personnel. En général, les magistrats sont élus par les assemblées, mais ils peuvent aussi désignés ou tirés ou sort. À Athènes, il y a près de 700 magistrats (sur 60 000 citoyens ; c'est un cas exceptionnel) ; les plus importants sont les 10 archontes et les 10 stratèges. À Rome, les magistrats sont beaucoup moins nombreux, une cinquantaine à la fin de la République. Les plus importants sont les consuls et les préteurs. — Les conseils À Athènes, il y a deux conseils. La Boulè (nom du conseil

cultivables ». Le premier tribut fixer par Aristide; le nouveau pouvoir d’Athènes. · Aristide. Le premier qui élabora le chiffre du tribut fut Aristide. C’est un homme d'État athénien du début du V siècle. Il fut stratège en 490 à Marathon, archonte l’année d’après. Il est cependant ostracisé en 482 car il est adversaire de Thémistocle mais rentre à Athènes après une amnistie. En 478, il est réélu stratège et fixe alors en 477 le premier tribut. En ce sens, il peut-être considéré comme un des

plupart du temps leurs propres institutions municipales, héritées de l’époque hellénistiques. Ainsi, à Athènes subsistent les institutions mises en place par Périclès au Ve siècle av JC : l’ecclesia (assemblée), la boulé (conseil de la cité), les archontes (magistrats). En laissant cette liberté aux communautés locales, le pouvoir romain n’est pas considéré comme oppresseur. Dans les autres provinces, chaque cité comprend un corps de citoyens, le Populus, et d’hommes libres qui peuvent espérer

contrôlé et limité. Trois éléments caractérisent cette période : les archontes, le Conseil ou Aréopage et l’assemblée du peuple. Ces trois institutions sont les fondements de ce qu’on peut appeler une «constitution aristocratique» des VIIIe et VIIe siècles av. JC. Au VIIe siècle, l’Ancien pouvoir royal est partagé entre neuf archontes. Ils vont former un collège au VIe siècle. Comment s’est faite la transition du roi aux archontes ? C’est le témoignage d’Aristote qui permet de retracer cette évolution

caractère exceptionnel de cette mesure, ce second vote se déroulait «à bulletins secrets», et non à main levée comme il était d'usage dans les décisions usuelles de l'ékklésia. Une fois les opérations de vote terminées, les magistrats (les neuf archontes et la boulè au complet) comptaient la totalité des tessons déposés. Si, et seulement si, ils en comptaient au moins six mille (la moitié des citoyens), les tessons étaient alors classés par noms, et celui dont le nom revenait le plus souvent devait

l'autonomie de l'individu, axé sur l'appartenance à la Cité (appartenance civique) plutôt qu'au réseau familial. (1) En 621 a.n.è. : Dracon, 1er législateur, impose les lois judiciaires (contre la justice privée). NB. Dracon est un aristocrate élu archonte en 621 a.n.è.; l'archonte est un magistrat élu, investi d'un pouvoir de commandement (archè : pouvoir sur les autres) pour un an. Dracon institue un droit pénal ou criminel (lois judiciaires), écrit, connu et applicable à tous. a. Puisque son

et promeut une politique sociale populaire. Il propose d'abord un décret qui permet aux pauvres d'assister aux pièces de théâtre sans payer, l’État couvrant le coût de leur place. Il fait ensuite abaisser le seuil de richesse exigé pour devenir archontes en 458-457 av. J.-C.[52]. Sa mesure la plus importante, populaire mais choquante aux yeux de l’aristocratie, est la mise en place à partir de 454 av. J.-C. de la misthophorie : une indemnité ou « misthos » (μισθός / misthós, littéralement « gages