Archétype Amérindien

néanmoins très vulnérables, tant par l'incidence des catastrophes naturelles que par le déboisement dont souffrent certains des pays concernés sous la pression démographique. Confrontée historiquement à trois grands modèles culturels, le modèle amérindien des origines, le modèle européen de la colonie et le modèle africain issu de l'esclavage, la région présente une situation extrêmement contrastée tant du point de vue humain que culturel. Au 14ème siècle, alors que l'empire aztèque atteignait des

voyages de colonisation et de migration. Les conquistadores, espagnols ou portugais, s’emparent des empires précolombiens (ex, Cortés et les Aztèques), grâce à leur supériorité technique (meilleures armes … ) Dès leur colonisation, les peuples amérindiens sont réduits en esclavage, convertis de force au christianisme, ils sont jugés inférieurs et doivent abandonner leurs traditions (Controverse de Valladolid). La plupart d’entre eux meurt des mauvais traitements ou de maladies apportées par les

que de convertir les sauvages | |l’obtention de peau d’ours noir, animal que les amérindiens avaient |aux coutumes Françaises serait plus facile que de convertir un | |l’habitude de chasser durant la saison hivernal. Ils arrivent à obtenir |Français à celles des indigènes. Ce peu d’ouverture d’esprit face | |une peau d’ours en la troquant contre une hache et réussissent à |aux coutumes amérindiennes montre qu’il n’y a rien de positif à | |s’établir sur leur terre en les alimentant

mot algonquin signifiant « là où le fleuve se rétrécit ». Une autre théorie, bien que moins répandue que la précédente, est aussi avancée pour expliquer l’origine du nom de la ville. Ainsi, Samuel de Champlain aurait pu prendre l’invitation des Amérindiens à descendre (Kepec) pour la désignation de leur région. Une telle confusion ne serait pas unique puisque le nom du pays, Canada, serait issu de ce même genre d’incompréhension linguistique. Une autre hypothèse est que la ville porte simplement le

qui concerne la municipalité, le recensement de 2005, donne une population de 392 417 habitants, répartie en 134 198 foyers, dont 83 336 familles. La densité y est de 1 063,5h/km². La répartition raciale est à 66,62% blanche, 22,31% noire, 0,22% amérindienne, 0,66% asiatique. 5,46% appartiennent à d'autres races et 4,74% à deux races ou plus. 65,76% de la population sont de culture hispanique. Sur les 134 198 ménages : * 26,3% ont au moins un enfant mineur * 36,6% sont composés de couples

Ainsi, la colonisation était beaucoup plus encouragée qu'en Nouvelle-France étant donné qu'elle incitait plus de points positifs que négatifs. Il n'est pas sans dire que les colons français faisaient face à de nombreux défis: l'hiver, les guerres amérindiennes, la menace anglaise et un plus grand détachement de la métropole (indice de manque en terme de protection). Dans les treize colonies, on voit le fait de quitter l'Angleterre d'un bon œil: on peut fuir les problèmes politiques et religieux de l'Angleterre

Dans les lignes qui suivent, nous allons étudier les regards que portent les auteurs sur le Nouveau Monde. Pour appuyer notre problématique, nous allons utiliser une lettre de Christophe Colomb à Louis de Santangel qui date de 1493. Egalement un extrait d’Histoire d’un voyage fait en terre de Brésil de Jean de Léry qui date de 1578, dans cet extrait, l’auteur nous fait part d’une conversation qu’il a entretenu avec un indigène qui critiquait les mœurs des Français. Le dernier extrait vient des Essai

britannique décida donc d'imposer des taxes sur les produits importés. En 1767, de nouvelles taxes sont imposées sur le thé. Furieux de cette loi, les colons manifestent leur mécontentement en boycottant certains produits et en se déguisant en Amérindiens afin de jeter les cargaisons de thé dans la mer. Cet événement se nomme le Boston Tea Party et cela déclenchera éventuellement la Révolution américaine de 1774.* Afin de payer le thé et de créer une indépendance, les Anglais ont eu l'idée d'introduire

Français sont présentés de façon similaire dans les deux textes, dans le sens ou la richesse est signe de supériorité. Sous-argument 1.1 Sous-argument 1.2 Selon extrait de Jacques Cartier, les Français utilisent leurs richesses pour séduire les Amérindiens. Dans le dialogue de Monsieur le baron de Lahontan, il présente la supériorité des Français en ayant comme seul critère l’énumération de leur richesse en bien matériel. (La vie plus belle lorsque riche…) Illustration 1.1 Illustration 1.2 « Et

les émotions des amérindien, il veut savoir si les indiens ressentes des choses comme on peut le voir a la ligne 1338 « Est-ce qu’ils sont sensibles à la douleur » ou même a la ligne 1347 « Est-ce qu’ils peuvent être mélancoliques ? » Ou encore l 1350 « Est-ce qu’ils souffrent d’être loin de leur terre ? ». Las Casas, le défendeur des amérindiens, va utiliser la persuasion pour répondre aux questions du supérieur afin qu’il adhère a sa cause de protéger les amérindiens. On voit a la l 1355