Argent Cupidité

pièce d'Alfred Jarry) et ceux qui l’ont aidé à faire son coup d’État. Cependant, Ubu, Roi, doit faire attention au fils du roi déchu Venceslas, le prince Bougrelas. Père Ubu est tout au long de l’œuvre mené en bateau par sa femme, qui va lui voler son argent, l’obligeant à la fin de la pièce à fuir le pays avec ses généraux. Résumé par acte[modifier] Acte I Bien que le Père Ubu soit content de ses titres, « capitaine de dragon, officier de confiance du roi Venceslas, décoré de l'ordre de l'Aigle

à tuer Hussein Marouk, un des hauts responsables de ce massacre, en empruntant une arme au commandant Piracci. -La reine d’Al-Zuwarah : Femme obèse et laide, elle est à la tête d’un important réseau de passeurs. Son unique but est d’amasser de l’argent sans se soucier de ceux qu’elle envoie en Europe. · La narration La narration est constituée de deux récits croisés : l’histoire de Salvatore Piracci en focalisation interne à la troisième personne et celle de Soleiman, racontée à la première

son récit critique la société de l’époque en mettant en avant les défauts de l’homme : cupidité, violence , infidélité, mensonge deviennent des ressorts romanesques. Dans ce roman, l’auteur met en scène Julien , un personnage incarnant les hommes de l’époque tels que Maupassant les percevait . Julien est un homme cupide , qui semble avoir épousé Jeanne pour ses biens. Il est également avare, aime son argent , et reproche à Jeanne de faire des dépenses inutiles. Son avarice le rend presque violent

dans sa grande maison, il s’accroche au peu de choses qu’il lui reste auxquelles il tient au coeur - Il n'oublia ni son passé ni son affection pour son âne malgré sa richesse tandis que sa famille est ses enfants sombraient graduellement dans la cupidité. “se laissèrent peu à peu séduire par la famille maternelle, et par les avantages matériels qu’elle leur procurait.” “Certains d’entre eux reprochèrent plus tard à leur père de ne pas soutenir l’ascension de la famille, et de se complaire

précisément quand je me figurais que le sacrifice de cinquante louis de rentes allait lui donner la plus haute idée de ma piété et de ma vocation » (chap. VIII). Ici, Julien, en suivant l'exemple de la bourgeoisie, croit faire acte de piété en offrant son argent : en voulant prendre exemple sur ce qu'il croît être bien, Julien permet de souligner le caractère corrompu du milieu ecclésiastique. Si les premiers personnages religieux auxquels se confrontent Julien à Verrières sont particulièrement corrompus

croit pas a(ux) Dieu(s), et que c'est son affirmation matérialiste qui est exprimée par ces expressions. Mais tout l’acharnement dont il a fait preuve pour défier le ciel et l’ordre du mariage le conduiront a sa perte. B) La couardise et la cupidité du valet Sganarelle est immensément pitoyable : il est préoccupé par ses gages et il est malheureux, il apparaît plus victime que Dom Juan, il est devenu aussi matérialiste que son maître, la médiocrité de ce personnage souligne la position supérieure

présentèrent », « suivirent », « fut descendu », « disparurent », « fut dite », ainsi que par le recours au passé simple. D’autre part, l’enterrement est très simple et très pauvre, ce que fait comprendre le champ lexical de l’argent omniprésent : « argent de l’étudiant », « pourboire », « vingt sous ». Cette pauvreté est très marquée par « vingt sous » qui équivaut à très peu, puis les références à "l'étudiant" et à Christophe, le valet de la pension Vauquer (personnes non rémunérées, désargentées

Compétence présupposée Performance Maintenir le secret Le bûcheron Savoir sur l’état des hommes (S1 U O1) PF + non VF Maintien du secret et bonté PN3 : La quête matérielle Sujet opérateur Le soldat Manipulation Compétence Performance conjonctive Cupidité VF + PF S’accaparer des biens d’autrui Dans la succession du récit, et suite à l’échec du PN1, le PN2 est dominant, jusqu’à la fin du texte. Le PN3 est réalisé, par le Soldat qui représente le côté cupide et cruel de l’homme. Le PN principal, qui

son ancien ami, il s'en va. Pendant 10 ans, il parcourt le monde, augmentant son incroyable culture et son incroyable richesse, et surtout, fignolant peu à peu sa vengeance. 20 ans plus tard, il se fait intégrer dans la haute société grâce à son argent. Il constate que tous ses ennemis ont réussi, et est bien décidé a les détruire. A force de ruse, il poussera Fernand au suicide, rendra fou Villefort et ôtera toute sa fortune à Danglars. Il laissera Danglars en vie après s'être senti coupable de

transporté l’or et l’argent en Europe ou ils ont servi de base pour les prix de marchandises. Mais à la fin, cette nouveauté n’a rien effectué. Au contraire : elle a rendu la vie encore plus désagréable. Puis, dans les pays exploités mêmes, cette cupidité a détruit des nations entières et rendu esclave leurs habitants. C’est l’ensemble de ces effets négatifs qui laisse Rhédi faire l’éloge de la simplicité si chérie ainsi que de l’ignorance « des enfants de Mahomet ». En plus, ces deux derniers