Argumentatif La Quête Initiatique

Françoise JOIRET André PÊTRE Jean-Luc VAN SCHEPDAEL Outils méthodologigues du secteur français déjà parus Circuits futés, guide méthodologique, 2e degré (programme de 1996), LICAP, FESeC, 1998. Français, 1er degré, Lire et écrire des textes argumentatifs/ L'interview, FESeC, 2001. Français, 2e et 3e degrés, Humanités générales et technologiques, Humanités techniques et professionnelles, Se concerter pour planifier les compétences - Evaluer les compétences, FESeC, 2002. Français 3e degré des humanités

Anouilh, La Répétition ou l’Amour puni ou Genet, Les Bonnes (Lire une œuvre, p. 155) Groupement de textes extraits du manuel : – Corneille, L’Illusion comique, p. 147 – Marivaux, Le Jeu de l’amour et du hasard, p. 145 – Pirandello, Six Personnages en quête d’auteur, p. 150 – Genet, Les Bonnes, p. 152 • Objet d’étude : les héroïnes féminines Œuvre intégrale : Musset, Les Caprices de Marianne ou On ne badine pas avec l’amour, ou Giraudoux, Électre, ou Anouilh, Antigone, ou Beckett, Oh les beaux jours.

Lecture analytique n° 4 : Nicolas Bouvier, L’usage du monde Corrigés des exercices D. Lecture cursive : Micromégas de Voltaire 32 Séquence 1 – FR10 I ntroduction La séquence proposée ici concerne la question de l’homme dans les genres argumentatifs, du XVIe siècle à nos jours. Plus précisément, elle porte sur la question de l’altérité : les textes étudiés nous permettront de comprendre comment, en dessinant sa modernité, l’homme européen considère autrui celui qu’il rencontre notamment en

siècle 3.  egards de voyageurs du XVIIIe au XXe siècle : l’Autre, miroir et mire R de soi Séquence 1 – FR10 1 © Cned – Académie en ligne I ntroduction La séquence proposée ici concerne la question de l’homme dans les genres argumentatifs du XVIe siècle à nos jours. Plus précisément, elle porte sur la question de l’altérité : les textes étudiés nous permettront de comprendre comment, en dessinant sa modernité, l’homme européen considère autrui, celui qu’il rencontre notamment

au XVIIe siècle 3. Regards de voyageurs du XVIIIe au XXe siècle : l’Autre, miroir et mire de soi Séquence 1 – FR10 1 © Cned – Académie en ligne I ntroduction La séquence proposée ici concerne la question de l’homme dans les genres argumentatifs du XVIe siècle à nos jours. Plus précisément, elle porte sur la question de l’altérité : les textes étudiés nous permettront de comprendre comment, en dessinant sa modernité, l’homme européen considère autrui, celui qu’il rencontre notamment en

utilisation précise ; • mise en ordre des idées et des informations ; • écriture et réécriture du brouillon ; • utilisation du traitement de texte. b. Écriture pour autrui • Réduction ou amplification d’un récit, d’un texte explicatif, d’un texte argumentatif simple, en fonction d’un contexte. • Pratique du récit : – rédaction de récits complexes ayant pour cadre le monde réel ou un monde imaginaire ; – récit dont la trame suit ou ne suit pas l’ordre chronologique, avec insertion de passages descriptifs

lointaine rencontrer un client étranger, le comte Dracula, qui vient de faire l’acquisition de propriétés à Londres. Arrivé au château, Jonathan s’aperçoit qu’il est en réalité prisonnier de son hôte. La première partie du roman décrit son « parcours initiatique » dans les méandres du château. Pendant ce temps, le comte, installé en Angleterre, établit son emprise sur les autres protagonistes du roman. Lucy Westenra, sa première victime, devient malade puis démente. Mina sera la deuxième avec un destin

modernes, ils nourrissent eux aussi notre imagination en nous proposant des figures héroïques. Les personnages de Chrétien de Troyes peuvent par exemple accomplir des actes hors du commun. Ils combattent des géants comme Erec dans Erec et Enide. La quête peut également être spirituelle car les personnages s’illustrent souvent par leur respect des valeurs courtoises. Ces personnages semblent donc extraordinaires physiquement et moralement. Ils nous rappellent ainsi qu’étymologiquement, le héros est

apposant porte ni clôture aucune », alors que nos yeux, eux, peuvent se fermer au monde. Les yeux sont assurément l’une des voies du savoir : Pantagruel est dit « amateur de pérégrinité et désirant toujours voir et toujours apprendre ». Mais, dans cette quête, les oreilles semblent bien l’emporter. Ce n’est peut-être pas sans raison que Gargantua a choisi, pour venir au monde, de sortir par l’oreille de sa mère. Et Frère Jean, qui n’est guère avide d’accroître son savoir, soutient qu’il n’étudie jamais

situation difficile : des orphelins, la présence des enfants (le frère et la sœur rappellent Hansel et Gretel), le lieu de l’action (la forêt, lieu de tous les dangers), la brièveté du récit, le schéma actantiel (des adjuvants, des opposants, une quête…), la prédiction « vous épouserez fatalement votre sœur. Rien ne pourra détourner le cours de votre destin » figurant la fatalité, la destinée. 2. L’atmosphère qui se dégage de cet extrait est heureuse et aimante. On trouve le champ lexical du bonheur