Argumentation Et Ironie

l’étude, l’essai peut être polémique ou partisan. C’est un genre littéraire qui se prête bien à la réflexion philosophique, mais il y a également des essais dans d’autres domaines : essais historiques, essais scientifiques, essais politiques, etc. Ironie :L’ironie désigne un décalage entre le discours et la réalité, entre deux réalités ou plus généralement entre deux perspectives, qui produit de l'incongruité. L'ironie recouvre un ensemble de phénomènes distincts dont les principaux sont l'ironie

Commentaire littéraire : comment le réussir en 4 heures ?1. Au brouillon, noter, en lisant et relisant le texte … Le lien avec l’objet d’étude (roman, littérature d’idées/argumentation, texte théâtral, écriture poétique ?) Le plan de l’introduction (1. Auteur/époque. 2. Genre/œuvre/extrait. Situation dans l’œuvre. 3. Registre de l’extrait. 4. Sa composition, sa structure. 5. Problématique, 2 ou 3 axes de lecture)

», le déclare « très impoli », qu’il est « très difficile à vivre » + ironie : « je lui aurais fait voir du pays ». - Ce langage est à l’image de sa vie. Maréchale = femme libre (amants) « Nous nous promîmes d’être fidèles : je n’ai pas trop tenu ma parole, ni lui la sienne » (lignes 31/32) accepte les infidélités de son mari + terme « esclaves », très fort pour qualifier le sort des femmes. II/ Une habile argumentation : a) Une femme impliquée, qui cherche à impliquer son interlocuteur

1) Description portée par Aurélien. - Lexique du regard: "il la trouva", "Elle lui déplut", "qu'il avait vue", "Il l'avait mal regardée" - On a une description subjective de Bérénice qui n'est pas très sympatique. 2) Péjorative - Une véritable argumentation sur la laideur de Bérénice: la thèse "il la trouva franchement laide'' -Arguments: "il n'aima pas comment elle était habillée", "Cela lui fait mal augurer de celle-ci qui portait un nom de princesse d'orient sans avoir l'air de se considérer dans

dépasse les apparences sensibles pour montrer au libertin confiant dans sa raison, les limites de la pensée conceptuelle. Notre imagination se perd dans cette pensée, c'est-à-dire la pensée de Dieu, auteur de la nature. 3. Il conclut avec logique et ironie que l’homme n’est rien ni dans l’espace ni par la pensée. II) Les méthodes de rhétorie Chacune de ces étapes est rendue frappante donc plus convaincante par le recours à la rhétorique. a)Des données observables Après avoir mis l’homme en

plaisirs de la cour. * Cela dure pour elle depuis « 40 années ». * Pour cette femme élégante vivant dan la frivolité, il n’y a pas de place pour la culture dans sa vie, comme le montre l’accumulation « n’ayant jamais » * Toujours avec ironie, Voltaire présenta la conversion de la maréchale à la culture comme imposée par l’âge et par les contraintes de la nature. * La métaphore ironique du « trône » que l’on change montre qu’en renonçant à plaire, elle entreprend de se cultiver « elle

par la simple structure du texte, à savoir cinq courts paragraphes soulignant la variété des cas, tout comme leur côté éphémère. Montesquieu souhaite distraire son lecteur, le faire rire, et pour y parvenir il a glissé dans son écrit une notable ironie lorsqu’il se moque des extravagances de la mode, notamment en parlant de la multitude de mouches présente sur la visage des femmes ou lors de la comparaison d’un changement de coiffure à une révolution. Toujours dans un but de distraction mais aussi

| |Syntaxe expressive | | |Ironie |Décallage entre le discours et la réalité. | |Registres |(la tonalité d’un texte déterminée par l’effet

» ici, le jeu de scène vient renforcer la violence de ses mots. Il utilise même des jurons et des injures : « bon Dieu», « petite idiote » Toute la scène qu'il décrit, avec sa métaphore filée, constitue une sorte de fable pour illustrer son argumentation, et il veut en tirer une morale, pour persuader Antigone : il s'agit donc d'une sorte d'apologue, un procédé argumentatif efficace, qui touche le lecteur et le spectateur plus que son interlocutrice. Créon a donc cherché dans cette tirade à convaincre

français Croisades : XI° au XIII° siècle Bataille de Bouvines – 1214  nation française Capétiens : Philippe le Bel – 1285 ANTIQUITE (Egyptienne)  Grecque  Latine  ART ANTIQUE VALEURS GRECQUES  Citoyenneté  Équilibre, mesure  Subtilité, argumentation  Individualisme, esprit d’indépendance VALEURS LATINES  Courage, endurance  Pragmatisme, efficacité  Désir d’expansion, patriotisme  Coopération, conscience de groupe MOYEN-AGE HUMANISME CLASSICISME  Epique  Courtois  Mystique