Argumentation Sur Le Rire

amoureuse, etc. - Le jeu de scène : Elmire tente de faire intervenir son mari avant qu’il ne soit trop tard, ou espère qu’il interviendra ... Deux questions-clés sur cette scène : la nature du comique, la forme et les enjeux de cette double argumentation, et des réponses proposées par les élèves. Le comique : une synthèse de diverses réponses à une préparation écrite - Comique de situation : Orgon sous la table, Tartuffe manipulateur manipulé par Elmire : le comique provient de ce décalage

but d’apporter un enseignement au lecteur, de défendre une opinion et de peindre ou modifier la société présente, en exposant un raisonnement soit de manière explicite, souvent à la 1ère personne (argumentation directe), soit à travers une fiction qui permet de défendre et développer ses idées (argumentation indirecte).  2)  Les origines En Grèce, au Vème siècle, la démocratie athénienne voit se développer le genre du discours. Dans les assemblées politiques, de grands orateurs

Longue plaidoirie en faveur des Indiens du frère Bartolomé de Las Casas entrecoupée de protestations de la salle et de questions du légat du pape. 4. Intervention de Sepúlveda qui tente de porter le discrédit sur son adversaire, Las Casas. 5. Argumentations successives de Sepúlveda (« Le monde a été créé pour être chrétien. »), du frère Bartoloméo qui intervient avec passion pour défendre les Indiens et du cardinal Roncieri qui remet en cause les thèses de l’un et de l’autre. 6. Présentation par

Las Casas dans son argumentation a. Las Casas défend son point de vue avec émotion en employant différentes figures de style i. Gradations : « ils sortaient en rampant, …demandant la vie sauve » ii. Comparaisons entre les indiens et les animaux iii. Enumérations : « comme s’il s’agissait …à des poutres » iv. Phrases exclamatives : « trois jours ! trente mille morts ! » b. Las Casas tente d’humaniser les indiens i. Série de questions : « peut être pensaient-ils …et rire ?» ii. Il donne aux

débat. Les expériences grotesques se poursuivent : le cardinal fait martyriser un enfant Indien pour tester la réaction de ses parents (qui sont prêts à mourir pour le sauver). Finalement, il est décidé que le rire était la caractéristique humaine la plus probante, et que si on arrivait à faire rire les Indiens, alors ils étaient humains. Un spectacle est donné devant des Indiens qui n’arrivent pas à saisir la langue et qui n’ont pas la même culture pour saisir les subtilités du spectacle, mais qui rient

critique tout simplement la bourgeoisie . De plus, on peut également citer Voltaire, qui à travars Candide (1759), un conte philosofique, dénonce l'esclavage des noirs. Cependant on peut diffuser ses idées, émettre ses opinions à travers une argumentation directe tels La Controverse de Valladolid (1992), par Jean-Claude Carrière, ou deux personnages s'affrontent, Sépulveda et Las Casas, avec chacun une thése et des arguments clairs et précis visant à déffinir le sort des peuples du dit « Le nouveau

riez. Je veux, vous entendez, je veux vous voir rire. " De plus, le personnage de Lepidus est soumis aux ordres de Caligula alors que l'empereur a tué son fils, nous pouvons prouver ça avec les didascalies relatives à l'action du personnage " la gorge serrée" ou "avec lassitude" mais aussi Lepidus répond de façon à ne pas vexer l'empereur : " Mais non, Caïus, au contraire." Pour finir le dictionnaire philosophique de Voltaire utilise une argumentation directe, c'est à dire qu'il s'adresse directement

demi-obscurité d'un sous bois, des cavaliers, le mendiant. On rit encore, mais le rire a un son nouveau. On sent des dangers qui rôdent, du satanisme, un ricanement. Le IVème se place dans le palais de Don Juan. Autre lumière, où le visage du libertin s'éclaire de reflets rouges. Tout se mêle de bouffonerie, mais elle s'inscrit sur un fond d'ironie sèche qui n'est plus du tout celui des premiers actes. Le Vème ferait à peine rire : Don Juan hypocrite, le spectre, le coup de foudre final. On oublierait presque

Implication affective. C) un univers de réflexion propre. Tire sa réflexion non pas part des livres comme Don Juan mais par lui-même. Utilise raisonnement inductif en partant d’observation. II- les faiblesses de son discours argumentatif : A) une argumentation simpliste. Aucune surprise, sa thèse est connue par tout le monde. Un seul argument répété à chaque fois : celui de son environnement quotidien et immédiat. Situation énonciation très sommaire. Peu de figures de style, exclamations… B) son impuissance

n’est pas une victoire du christianisme car la barbarie des Européens dans le Nouveau Monde contredit le message évangélique. C’est un argument-clé de Las Casas : l’évangélisation de l’Amérique pervertit l’Evangile, p. 52. Sépulvéda reprend son argumentation, p. 53 – 55 : Les Indiens ne sont pas des créatures de Dieu. Ils ont été oubliés par Dieu puisqu’ils ont vécu pendant des siècles sans la Révélation. Dieu a donné la victoire aux Européens parce que les Indiens sont un peuple d’esclaves. L’extermination