Arguments Pour L égalité Homme Femme

organisations, mais plus précisément avec l’aide de l’entreprise Google. Les inégalités entre les hommes et les femmes sont construites et imposées pas notre société depuis toujours, l’inégalité réside dès l’ordre des mots, spontanément on dit homme et femme, mais jamais l’inverse, dès notre entré à l’école nous apprenons que le masculin l’emporte sur le féminin cela impacte donc forcément notre inconscient et nos façons de faire. La discrimination du genre en milieu de travail est un enjeu important

entretiens ♥ Et à toutes les personnes qui ont contribué à la réalisation de ce travail. Mémoire de Master1/P. Maxime OUOBA 3 SIGLES ET ABREVIATIONS GED : Genre Et Développement ONG : Organisation Non Gouvernementale IFD: Intégration de la Femme au Développement NU: Nations Unies BIT: Bureau International du Travail DGCID: Direction Générale de la Coopération Internationale et du Développement MAE: Ministère de Affaires Etrangères AEC/BF: Aide à l’Enfance Canada/ Burkina Faso GV : Groupements

produite, ce contexte étant désigné par Taine comme « l'état général de l'esprit et des mœurs» d'une époque. L'argumentation 3. a) Identifiez l'argument donné par Taine (phrase soulignée). À quel domaine appartient-il ? Taine justifie sa thèse par un argument historique : l'observation de l'histoire des arts prouve que l'apparition et la disparition des productions correspondent à l'apparition et à la disparition d'états d'esprit et de mœurs en relation avec le contexte historique. Il donne ensuite un

adresse ses plaintes à sa future femme.  Celle-ci, bien sûr, essaye de lui répondre et le corps de notre texte va être constitué par un de ces dialogues de sourds  auxquels donnent lieu à chaque fois les plaintes de M. de Clèves. Dans la première réplique, M. de Clèves se plaint de la profonde indifférence de Mlle de Chartres. Elle proteste et essaie alors de justifier sa réserve en se retranchant derrière la bienséance. Mais M. de Clèves retourne contre elle cet argument, en lui disant que, si elle se

atomes. On peut aussi écrire des relations ne concernant qu'un seul individu : homme(Jean) -> ; dont la signification est explicite. On peut ainsi constituer les relations généalogiques d’une famille avec le programme suivant : pere(luc,Jean) ->; mere(Sylvie,Jean) ->; pere(Luc,Marie) ->; mere(Sylvie,Marie) -> ; pere(Jacques,Albert) ->; pere(Jacques,Louis) ->; femme(Marie) ->; homme(Albert) ->; homme(Jean) ->; homme(Louis) ->; Il s’agit de la construction d’une base de connaissances. Un ensemble

essaye de copier la vie des nobles ou encore de se lier à eux par le mariage. C’est ce que montre Molière, en 1670, dans Le bourgeois gentilhomme où il se moque d’un riche bourgeois qui veut devenir noble en voulant sa fille en mariage a un jeune homme issus de la noblesse : « Vous n’êtes point gentilhomme, vous n’aurez pas ma fille. (…) je la veux faire marquise». L’anoblissement peut s’obtenir de différentes façons : avec l’achat d’un office anoblissant, ou de lettres de noblesse. Le Tiers-

davantage individuel que collectif. A- Ancien droit Le modèle était patriarcal, le mari exerçait l’autorité sur la femme et sur les enfants eux même inégaux en fonction de l’âge et du sexe. Sous l’influence du droit canonique, elle est liée à la religion, le mariage devient indissoluble. B- Révolution La Révolution a consacré un droit de la famille révolutionnaire: liberté, égalité, laïcité. Ce droit met au point un droit de la famille contractuel. Laïcité: le mariage se détache de la religion

est unidirectionnel et non cyclique. 4. L’Homme est issu de la matière. 5. Il n’y a de divinités ni dans les astres, ni dans les fleuves, ni dans les sources, ni dans les forêts. 6. Tous les hommes sont issus d’une même souche, ce qui fonde leur égalité, et les rois et les empereurs ne sont que des hommes. 7. Le monde n’a pas été créé d’un coup, mais progressivement. 8. Dans le processus de création, l’homme est apparu en dernier. 9. Il y a eu d’autres lignées humaines qui se sont éteintes. 10. L’astrologie

présenter ces sujets en entier. Montaigne traite ces sujets de plusieurs manières : 9. Soit superficiellement « lécher » « effleurer » 10. Soit en profondeur « coup de scalpel » Il précise qu’il ne les traite jamais en entier et donne un argument pour étayer cette idée « je ne vois le tout de rien ». Il ridiculise ce qui pense le contraire. L’attitude d’esprit que défend Montaigne est nommée par 2 mots précis à la ligne 22 : « Le doute et l’incertitude ». Cette attitude d’esprit en philosophie

c’est l’egalite absolue (al-musawa) entre tous les etres humains (insan) comme principe religieux. L’egalite des genres est le principe de base ; c’est egalement la condition sine qua non de la justice sociale, autre priorite du mouvement. Cette egalite entre les etres humains doit se realiser dans la pensee et dans l’action, et dans le continuum qui va de l’espace public a la sphere privee. Une proclamation aussi claire d’egalite au sein de la famille et de la societe dans le cadre religieux