Aricie

confident Théramène son intention de quitter Trézène pour fuir sa belle-mère Phèdre qu'il n'aime pas et surtout pour fuir son amour pour Aricie, sœur des Pallantides, un clan ennemi. Phèdre, épouse de Thésée, avoue à Œnone, sa nourrice et confidente, la passion qu’elle ressent pour son beau-fils Hippolyte. À la fin de la pièce, celui-cepart après avoir promis à Aricie de l’épouser hors de la ville. Thésée commence à avoir des doutes sur la culpabilité de son fils, mais la nouvelle de sa mort, causée

vraisemblance, car il ne semble pas vrai pour le public, il est trop optimiste. Cependant, les personnages de Racine sont plus crédibles. Par exemple, dans Phèdre, lorsque Hippolyte avoue son amour pour Aricie, ses sentiments d'amour semblent comme une sorte d'aliénation. Il a supprimé son amour pour Aricie car c’était interdit, pendant ce temps, il ne pouvait la poursuivre ce qui le rendait malheureux et déchiré. Maintenant que son père est mort, « il faut vous informer d’un secret que mon cœur ne peut

Phèdre s’indigne, puis, accablée, laisse Œnone agir à sa guise. Celle-ci le dénonce à Thésée dès son retour. Pour preuve de son innocence, Hippolyte lui révèle qu’il aime Aricie. Thésée ne le croit pas. Honteuse et repentante, Phèdre accourt pour lui révéler la vérité. Mais elle apprend par la bouche d’Œnone qu’Hippolyte aime Aricie. Jalouse, elle décide de ne rien dire. Malgré l’intervention d’Aricie, Thésée demande à Neptune de punir son fils. Le suicide d’Œnone, désespérée de se voir condamnée par

277), celle-ci fut horrifiée (I, 3, v.265 à 268).  Hippolyte apprit le premier la mort de Thésée (I, 4, v.324) avant Phèdre (I, 4, v.319 et 320). Il fallait donc choisir qui allait remplacer Thésée à Athènes ; Hippolyte ? Le fils ainé de Phèdre ? Ou Aricie ? Ce fut le fils de Phèdre.  Phèdre voulait parler à Hippolyte avant qu’il parte (II, 3, v.563) pour tout d’abord, lui demander de protéger les enfants mais surtout pour lui déclarer son amour (II, 5, v.598). Il ne comprit pas tout de suite, puis

psychologiquement comme l’est Phèdre à la fin de la pièce ne voulant que la mort. Cette passion, cet amour à des lourdes conséquences sur la vie et le destin des personnages, l’amour leur inspire un sentiment de haine comme Phèdre pour Aricie « Il faut perdre Aricie » qui montre bien la haine de Phèdre et la puissance de la passion et de l’amour. Dans Britannicus de Racine, l’amour pousse Néron au crime. La passion de Phèdre la conduit au suicide se sachant responsable de la mort d’Hippolyte, cette

poésie : quand les sons font sens PHÈDRE personnage : phèdre signifie la lumineuse, mais elle se définit elle-même comme étant une flamme si noir. Elle est ravagé par une passion impossible Hippolyte : est pris avec son honneur, et son amour envers Aricie Thésée : paix le prix de sa trahisons envers arianne et il est aveuglé par son hubris LES GRANDS AXES DE LECTURE : le père figure de la loi Le retour de thésée est un point central, il permet de comprendre les différents thèmes qui sont entre-mêlés

dégouttantes1 Portent de ses cheveux les dépouilles sanglantes. J'arrive, je l'appelle, et me tendant la main, 1560 Il ouvre un œil mourant qu'il referme soudain. « Le ciel, dit-il, m'arrache une innocente vie. Prends soin après ma mort de ma chère Aricie. Cher ami, si mon père un jour désabusé Plaint le malheur d'un fils faussement accusé, 1565 Pour apaiser mon sang et mon ombre plaintive, Dis-lui qu'avec douceur il traite sa captive, Qu'il lui rende... » À ce mot ce héros expiré N'a laissé

laisse Œnone agir à sa guise. Celle-ci le dénonce à Thésée dès son retour. Désespoir et fureur de Thésée. Pour preuve de son innocence, Hippolyte lui révèle qu'il aime Aricie. Thésée ne le croit pas. Honteuse et repentante, Phèdre accourt pour lui révéler la vérité. Mais elle apprend par la bouche d'Œnone qu'Hippolyte aime Aricie. Jalouse, elle décide de ne rien dire. Malgré l'intervention d'Aricie, Thésée demande à Neptune de punir son fils. Le suicide d'Œnone, désespérée de se voir condamnée

PHEDRE · Héritage antique · Tragédie Jean racine : écrivain du roi 17eme siècle Louis XIV (Louis le Grand)1654-1715 CLASSISISME FRANÇAIS -retour à l’héritage antique (seulement vrai art dans l’antiquité un peu à cause des guerres de religion et religieuses car veulent rupture avec passé) L’art du jardin à la française Versailles (1660) Classicisme : La religion avant tout Admirer l’ordre du monde et le rôle de l’homme en tant que créature de dieux L’homme à règles- l’honnête homme- tout est tourné

vers 817 pour Phèdre et 997 pour Hippolyte, les personnages retrouvent une forme d’espoir et se tournent vers l’avenir : Phèdre est décidée à se faire aimer d’Hippolyte, et le prince envisage d’aller trouver son père pour lui avouer son amour pour Aricie. Cette étape est rendue sensible par le passage à l’impératif, qu’il marque la volonté du personnage (Hippolyte : « Allons », v. 997) ou qu’il invoque une puissance extérieure pour accomplir l’action (Phèdre : « attaque », v. 818 ; « venge-toi »,