Aristide Briand Discours à La Chambre Des Députés

Introduction : La IIIème République née le 4 septembre 1870 commence avec la Commune de Paris : Le 18 mars 1871, l’armée tente de s’emparer de canons de la garde nationale que le comité central constitué pendant le siège par les délégués des gardes nationaux a refusé de livrer. Le pouvoir déserte la capitale et le Comité organise des élections municipales pour élire un conseil général de la commune de Paris qui comprend toutes les tendances politiques  (AIT, modérés républicains comme Méline, radicaux jacobins

20 mai 1838 à Remiremont dans Les Vosges. Après sa scolarité dans sa région natale, il arriva à Paris pour entamer des études de droit. Il devint avocat sous le second empire, dirigé par Napoléon III (1852-1870). Il commence sa vie politique en devenant adjoint au maire du premier arrondissement à Paris après le 4 septembre 1870. Sa vie politique a été très mouvementé mais ce sont les actions qu'il a accomplit lors de son mandat de ministre de l'agriculture obtenu en février 1883 qui a fait de lui

Séance 3 – L'enracinement de la République (1880-1914) Après l'échec de la restauration monarchique a échoué et la conquête de la République par les Républicains il faut comprendre comment ces dernier ont réussi à enraciner la République. De ce point de vue la décennie 1879-1889 est fondamentale : tout un ensemble de mesures législatives ou symboliques mais aussi de pratiques constitutionnelles sont alors prises. Leurs effets seront de longue portée puisqu'ils marqueront durablement – parfois

hommes qui ont œuvré pour l’abolition de la peine de mort : Adrien DUPORT , né à Paris en 1759, DUPORT fut avocat puis conseiller au Parlement de Paris. En 1789, il est élu député de la noblesse aux Etats généraux. Dans son discours du 31 mai 1791, il dénonce l’inutilité et le danger de la peine de mort. Source : http://www.senat.fr/evenement/archives/D22/Duport.html Maximilien ROBESPIERRE , né en 1758 à Arras, député artésien du Tiers Etat, intervint en faveur de l’abolition. Avocat, il avait

I- l’idée européenne avant 1945 A- L’idée d’Europe unie dans l’entre-deux-guerres (1920-1939) Le discours européen de l’entre-deux-guerres se structure selon une triple affirmation : l’affirmation de l’unité nécessaire (par la nouvelle dimension de l’économie et l’impératif du progrès technique), celle de l’insécurité potentielle (par le risque d’une nouvelle guerre ou d’une invasion bolchévique), celle de l’hégémonie à sauvegarder (en luttant contre le déclin économique et la crise spirituelle)

Clemenceau Georges Clemenceau [1], né le 28 septembre 1841 à Mouilleron-en-Pareds (Vendée), mort le 24 novembre 1929 à Paris, est un homme d'État français, radical-socialiste, président du Conseil de 1906 à 1909, puis de 1917 à 1920. Issu d'une famille républicaine, il fut maire du 18e arrondissement de Paris puis président du conseil municipal de Paris au début de la Troisième République, ainsi que député en 1871, puis de 1876 à 1893, siégeant à l'extrême gauche en tant que républicain radical. Défenseur

1 : l'encrage de la République 1870 – 1879 Le rétablissement de la République nous apparaît comme définitif, mais fut un long processus au cours duquel vont intervenir un certain nombre d'éléments décisifs, que nous étudierons. La 3ème République a mis environ 10 ans pour se consolider. Section 1 : l'effondrement du 2nd Empire en 1870 Fin des années 1860 : le 2nd Empire paraît politiquement stable, politiquement sûr. C'est un désastre militaire qui va entrainer sa chute. Paragraphe 1 :

La Chambre des députés exerce une influence décisive sur l'action des gouvernements successifs. L'œuvre de la Troisième République est considérable, aussi bien en matière d'instruction publique que du point de vue des libertés et de l'épanouissement d'une société démocratique. La Troisième République remporte la terrible épreuve de la Grande Guerre, mais elle succombe à la défaite militaire du 10 mai 1940. Proclamée le 4 septembre 1870, deux jours après la défaite militaire de l’Empire à Sedan

l'Etat à la fin de la troisième République, Pierre Cot écrivit que “ si nous sommes incapables de rajeunir l'Etat, de le moderniser, de l'adapter aux réalismes de notre temps, de le transformer en y intégrant les forces syndicales, nous n'aurons que de faibles barrières à opposer. L'Etat démocratique peut encore se sauver, mais à la condition d'évoluer.”. Ainsi, Pierre Cot nous exprime le besoin pour la nouvelle République d'évoluer notamment dans ses institutions instables par rapport à celles de

La France Des Années 1920’s La « victoire endeuillée » expression de Bruno Cabanes (voir cours écrit). I- La vie politique en France 1919-1929 A-La victoire du bloc national et la division de la gauche 1- L’immédiat après-guerre * L’agitation sociale Les français sont confrontés à la hausse des prix et donc à la pénurie. 87 millions de quintaux de blé en 1913 et 61 en 1918 puis 60 en 1919. Vie très chère malaise social induisent des grèves 1917-18 (1800 grèves en 1920).