Aristide Briand

83, Rue Lauriston 75016 PARIS TEL. 01.53.65.84.20 Dr Eric MARCEL Institut Marcel Rivière BP 101 LA VERRIERE 78321 LE MESNIL/DENIS TEL. 01.39.38.77.00 @ : emarcel@mgen.fr Dr Joseph ZEIDAN 60, rue Aristide Briand 78130 LES MUREAUX Tel. 01.30.22.13.43 Dr Sonia AIOUCH Institut Théophile Roussel 78360 MONTESSON TEL. 06.10.48.21.76 @ : s.aiouch@th-roussel.fr Dr Thierry BRENOT Institut Théophile Roussel 78360 MONTESSON 1, rue Philippe

monnaie unique, une confédération construite autour d’une cour fédérale, ainsi qu’une alliance militaire et une union douanière. Un sentiment pan-européen doit être au service de cette union, qui doit être tirée par le tandem franco-allemand. Aristide Briand, que Churchill cite également, défendra les thèses du Comte, et s’en servira pour tenter de mettre en place une Europe fédérale, par exemple par biais de la signature des accords Locarno en 1925, qui permettent l’entrée de l’Allemagne dans la

2/L’Europe de 1914 à 1945 : Les guerres mondiales ravages et ruinent l’Europe deux fois en 30 ans. Dès 1919 des Européens créent la société des nations (SDN) pour empêcher les guerres. Différents projets, dont celui de fédération défendu par Aristide Briand celui d’établir un lien fédéral, une association entre les peuples européens qui respecte la souveraineté des nations mais hissent une scolarité dans les différents domaines (économique, politique, sociale, les amenant à rester en contact et à

composés pour l'essentiel des anciens blanquistes et des guesdistes. Il a en face de lui le parti socialiste français créé au congrès de Tours de 1802 et regroupant les socialistes indépendants, seuls à participer au gouvernement. Jean Jaurès et Aristide Biand en sont les principales figures. Il est décidé de la fusion entre les deux grands partis pour résister au syndicalisme et en raison de la pression de l'internationale socialiste. C'est le congrès de Paris du 23 au 26 avril 1905 qui donne naissance

puis l'application des plans Dawes (1924) et Young(1930) finissent par arrêter. Sur le plan diplomatique, le ministre des Affaires étrangères Gustav Stresemann (1923-1929) mène une politique modérée qui l'amène à se rapprocher de la France (Aristide Briand) et à signer une série d'accords avec les Alliés. À la suite, notamment, des accords de Locarno (1925), il obtient une évacuation accélérée des zones occupées et l'admission de l'Allemagne à la Société des Nations (SDN). La crise de 1929 marque

ont été à de rares exceptions directeurs politiques de quotidiens. La réussite de la carrière de nombre d'entre eux est due aux journaux qu'ils ont dirigé voir inspiré. Ce fut le cas pour -Jules Simon -Léon Gambetta -Georges Clemenceau -Aristide Briand Beaucoup de directeurs de journaux furent également sénateurs: -Adrien Hébrard -Jean Dupuy -Charles Prévet la plupart des journalistes se présentaient aux élections . Pour une grande partie d'entre eux la carrière parlementaire était comme

avec tous les problèmes que cela suppose du point de de vue de la propriété. Emile Poulat - Vous touchez là une autre question. Parmi les députés les plus radicaux de la majorité, certains voulaient démocratiser l'Eglise. Des hommes comme Aristide Briand (1862-1932) et Jean Jaurès (1859-1914), le socialiste, estiment que la meilleure manière de démocratiser l'Eglise n'est pas de lui imposer un système extrinsèque, mais de la faire participer au débat culturel moderne. Une fois entrée dans la culture

Les systèmes d’alliances de la fin du XIXe siècle à nos jours : un facteur de stabilité dans les Relations Internationales ? « Arrière les fusils, les mitrailleuses, les canons ! Place à la conciliation, à l'arbitrage, à la paix ! » déclara Aristide Briand le 10 septembre 1926 à Genève lors de l'entrée de l'Allemagne à la Société Des Nations. Ce discours témoigne de la volonté « d'une paix universelle » et de stabilité des relations internationales par l'association et la collaboration des Etats

sur sa participation ou non. Toute réserve à cet effet saperait la base de la S.D.N.[48]. Les autres Etats membres contestent d’abord les demandes spéciales de l’Allemagne, mais au cours de la Conférence de Locarno, Stresemann obtient une lettre de Briand, cosignée par Chamberlain, Vandervelde et Scialoja, qui interprète l’Article 16 du Pacte ‘ad usum Germaniae’. Une note collective concernant l’Article 16 est ajoutée au Traité de garantie mutuelle.[49] Suivant cette note, l’article 16 est interprété

un référendum parmi ses lecteurs. 1 400 000 lecteurs répondent par lettre. Le 5 novembre 1907, les résultats sont publiés : 74 % sont favorables à la peine capitale. Ils influeront l'année suivante sur les débats de la Chambre des députés. Aristide Briand et Jean Jaurès interviennent en faveur de l’abolition, Maurice Barrès se prononce lui contre le projet du Gouvernement. Ce projet est repoussé le 8 décembre par 330 voix contre 201. Les exécutions capitales reprennent dès 1909, mais se pose alors