Aristophane

d'Aristophane, Eros est décrit comme un dieu parfois mauvais. Mais Aristophane montre le côté nécessaire d'Eros pour les humains, en effet il dit de celui-ci qu'il est « leur médecin (celui des humains), les guérissant de maux dont la guérison constitue le bonheur le plus grand pour le genre humain » [189d], il dit même de lui que « parmi les dieux en effet, nul n'est mieux disposé à l'égart des humains » [189d]. Effectivement, selon Aristophane la plus importante des souffrances est l'insatisfaction amoureuse

Texte A : Aristophane, Les cavaliers (env. 424 avant J.-C.) extrait de l’exposition (Lepeuple, vieillard personnifiant Athènes, a pris comme intendant un Paphlagonien, habitant d’un pays imaginaire. Ses deux fidèles serviteurs se plaignent, auprès du public et du choeur, du pouvoir qu’il a pris dans la maison. Le chœur est constitué des cavaliers, jeunes aristocrates athéniens, élite de l’armée. Les deux fidèles serviteurs portent le nom de deux généraux, Nicias et Démosthène, vrais démocrates

dicaste, Aristophane, les Guêpes (27, 2-4). Plan I. La comédie antique, révélatrice d’une conscience civique athénienne A. Le théâtre antique : une partie intégrante de la vie civique et politique d’Athènes B. Les Guêpes : tribunal comique d’Athènes ? C. Aristophane et les tribunaux populaires : la dénonciation du système judiciaire II. Aristophane, révélateur d’un malaise politique à Athènes A. La raison de l’engagement d’Aristophane : la mise en place du triobole B. Aristophane, pourfendeur

Aristophane : injure et comique. À propos de Cavaliers, 1274-1289 1 Rossella Saetta-Cottone Université de Palerme, UMR « Savoirs et textes » rosmart@free.fr « La louange ou l’injure peuvent prédominer : l’une est toujours prête à se transformer en l’autre. L’éloge contient implicite l’injure, il est gros de l’injure et, inversement, l’injure est grosse de la louange. » M. Bakhtine, L’Œuvre de François Rabelais et la culture populaire au Moyen Âge et sous la Renaissance, Paris, 1970, p. 412

Pendant des siècles, l'énergie éolienne a été utilisée pour fournir un travail mécanique. L'exemple le plus connu est le moulin à vent utilisé par le meunier pour la transformation du blé en farine. Par la suite, pendant plusieurs décennies, l'énergie éolienne a servi à produire de l'énergie électrique dans des endroits reculés et donc non-connectés à un réseau électrique. Ces éoliennes servent aujourd'hui à produire du courant alternatif pour les réseaux électriques, au même titre qu'un réacteur

librement la dérision ? Il apparaît, en étudiant la dérision telle que la pratiquait Aristophane, que la raillerie connaisse des limites de tolérance qui varient selon les sociétés et les époques ; quelles sont les limites que la cité athénienne pose à la dérision, c'est ce que nous verrons en étudiant l'œuvre autorisée d'Aristophane et d'autres pratiques de dérision plus difficiles à mettre en œuvre. Aristophane est un poète athénien qui a vécu entre le ve et ive siècle avant J.C., c'est un contemporain

Lecture analytique 1 : Les Cavaliers, d’Aristophane (424 av J-C) Introduction: Aristophane est né en 445 et mort en 385 avant J-C. Il est un des plus grands poètes et comique grec athénien et considérée comme le principal représentant de l’Ancienne Comédie. Ses principales œuvres traitent de l’actualité politique dans la démocratie athénienne (44 écrites, dont 11restée à cause d’un incendie). Pour cause, le théâtre antique était un art ayant un lien avec la société et la politique. Aller au théâtre

DM Histoire En quoi cet extrait de l’Assemblée des femmes est-il une critique de la démocratie athénienne ? 1. Présentation auteur : Aristophane est un poète comique grec du Ve siècle av. J.-C., né vers 450–445 à Athènes et mort vers 385 av. J.-C.  Il se fit connaître par deux pièces aujourd'hui perdues : les Détaliens ou les Banqueteurs (-427) et les Babyloniens (-426). Il écrivit également de nombreuses comédies, dont la plupart ne nous sont parvenues que par fragments parmi lesquelles :

LYSISTRATA, Aristophane Le contexte Comme toutes les pièces de théâtre de cette cité, Lysistrata du poète comique grec Aristophane (450 – 385 avant J-C) était représentée lors des Grandes Dyonisies, fêtes organisées à Athènes en l’honneur de Dionysos, dieu du vin et du théâtre. Ces fêtes étaient un moment essentiel dans la vie de la cité, évènements politiques, auxquels toute la communauté participait, mais aussi religieux puisque lors de ces fêtes avaient lieu des sacrifices et de grandes

de ce genre, chez Aristophane qui l’a initiée en dénonçant le pouvoir de l’argent. Elle démasque les imperfections des hommes et les incitent à se corriger en montrant leurs ridicules, la caricature des classes sociales. Le rire est provoqué par le simple fait de tourner en dérision les différentes classes sociales, ou certains individus. On peut constater par exemple qu’il existe de nombreuses comédies faisant une critique sociale, voire politique. Dans «Ploutos», Aristophane aborde le problème