Aristote Les Parties Des Animaux

Question : Le bonheur est-il affaire de politique ? Plan Introduction Bonheur : ce que tous recherchent (cf. cours sur l'Etat, Aristote Ethique à Nicomaque, I, 5). Etat de complétude, de satisfaction complète, dans lequel rien ne nous manque. Politique : a) le politique, ce qui concerne la vie collective ou le gouvernement de la cité. b) la politique, science ou technique de gouvernement Affaire de : relever de, dépendre de Si je réponds que oui, ça donne les

Dans la première phrase Aristote s’oppose à la thèse du philosophe pré-socratique Anaxagore qui défend l’idée que la main (le faire) précèderait la raison (le savoir). Pour Aristote la main est que le prolongement de la raison. Si aujourd’hui l’anthropologie contemporaine se rapproche davantage de la thèse d’Anaxagore, à l’époque seule la thèse d’Aristote – bien que fausse – possédait un fondement que l’on peut qualifier de purement scientifique. Aristote veut comprendre pourquoi l’espèce

Morale I – L’éthique eudémoniste : a) « Ethique à Eudème », Aristote -Réfléchir sur le fait qu’on a de vivre ou ne pas vivre. Opinion des uns et des autres. Celles le plus souvent avancées ne sont pas des opinions suffisantes. Au début, impasse : Pourquoi les raisons que nous avons de vivre nous échappent ? La première thèse positive est celle d’Anaxagore. -D’abord, Aristote nous parle de la vie des plantes et des animaux. Puis de la notre, une vie contemplative, de l’esprit  toutes les

LA POETIQUE – ARISTOTE 1. Exposition du pjt -> Il sera question de l’art poétique. Aristote traitera d’abord de ce qu’il appelle les « espèces » de l’art poétique. Généralisation à propos de tous les genres poétiques : des imitations. Il ajoute qu’ils peuvent différer par 3 moyens : • imitation par des « moyens différents » • imitation de « choses différentes » • imitation d’une « manière différente » L’imitation se fait pour tous les arts poétiques par le « rythme », le « langage »

naturel que la raison rencontre. D'ailleurs, il est une discipline scientifique dont la finalité est de rendre compte de la vie ; c'est la BIO-LOGIE, mot à mot du grec, l'étude (logos) du vivant (Bios). On définit précisément la biologie comme la partie des sciences naturelles concentrée sur les êtres vivants ; elle subdivise son objet de cette façon : molécules, cellules, organismes, populations. On peut légitimement se demander si la biologie ne constitue pas une approche restrictive des phénomènes

Aristote L'être le plus intelligent est celui qui est capable de bien utiliser le plus grand nombre d'outils : or, la main semble bien être non pas un outil, mais plusieurs. Car elle est pour ainsi dire un outil qui tient lieu des autres. C'est donc à l'être capable d'acquérir le plus grand nombre de techniques que la nature a donné l'outil de loin le plus utile : la main. Aussi, ceux qui disent que l'homme n'est pas bien constitué et qu'il est le moins bien pourvu des animaux (parce que, dit-on

humaine. Mais, du reste, ne faisons-nous pas la même chose lorsque nous disons de certains êtres qu'ils sont non pas des hommes, mais des bêtes en raison par exemple de leur violence ou de la monstruosité de leurs actes ? Dire d'eux qu'ils sont des animaux et non des humains, c'est bien leur refuser le statut d'homme encore qu'ils appartiennent bien à l'espèce humaine, sans quoi ce refus n'aurait aucun sens. Déclarer que des hommes sont inhumains, c'est reconnaître qu'ils sont encore ou aussi des hommes

décentrement, cette on vise de l’actuel, du présent mais pour rendre présente ces pensées il faut aller les chercher, il faut donc avoir une ouverture et comprendre les pensées qui sont en grande partie étrangère à notre fonctionnement. Il faut donc se sortir de notre époque, de nos questionnements actuels. I PARTIE - QUELQUES MOTS SUR LA PHILOSOPHIE ANCIENNE Elle court sur une période d’a peu près 1000 ans. Elle s’étend du 6eme siècle avant notre ere jusqu’au 6eme siècle de notre ere. Le christianisme

on se questionnera sur si le savoir n’aiderait pas l’homme à dépasser sa condition d’humain. Chaque être humain, à partir de sa naissance et lorsqu’il comprend qu’il est lui même, cherche à s’informer de ce qui l’entoure. Et pour savoir, il passe par la science car c’est ce qui permet de répondre à beaucoup de questions sur notre monde. Cet volonté de savoir selon Aristote est en prime abord; l’étonnement. L’étonnement de toute chose pousse à savoir ou du moins à penser pour savoir. Ainsi

comme Aristote le nomme est le sujet du travail suivant. Nous allons d’abord analyser la conception du bonheur qu’Aristote illustre dans le Livre I de son œuvre « l’Ethique à Nicomaque ». Ensuite nous allons en tirer de cette conception pourquoi les hommes qui ne suivent pas cette approche du bonheur ne peuvent pas être heureux. Finalement nous posons la question de l’égoïsme selon Aristote et si un homme égoïste est heureux ou peut l’être ou non. II) Le bonheur et l’égoïsme chez Aristote Dans