Aristote Métaphysique C Est En Effet L étonnement

À L’AUTRE 2 Tacite, Annales TEXTE 3 J. Racine, Iphigénie D’UN TEXTE À L’AUTRE 3 Eschyle, Agamemnon ANALYSE D’IMAGE TEXTE 1 HISTOIRE DES ARTS 37 37 38 39 40 41 42 43 44 44 44 45 45 45 46 Le classicisme Exercices d’approfondissement 1 Aristote, Poétique 2 P. Corneille, Cinna 3 P. Quinault, Thésée 4 J. Racine, préface d’Andromaque 5 W. Shakespeare, Le Roi Lear Prolongements Entretien avec la metteur en scène N. Garraud Séquence 4 La tragédie classique et sa postérité P. Corneille

est au fond de ta conscience comme l’amour véritable est au fond de ton cœur. Si tu es venu, poussé par les calomniateurs et les hypocrites, écouter cet homme pour utiliser ce que tu écoutes comme argument contre lui, tu t’es trompé de chemin ; en effet, cet homme n’est pas ici pour te demander quoi que ce soit, ni pour t’utiliser car il n’a pas besoin de toi. Tu écoutes un homme qui ne connaît ni les lois qui régissent l’Univers, ni celles de l’Histoire et qui ignore les relations régissant les

.................... 312 Chapitre III – La concentration des entreprises ........................................ 316 Chapitre IV – La concentration des fortunes ............................................ 318 Chapitre V – Les monopoles et leurs effets .............................................. 328 Quatrième partie : le socialisme comme exigence morale ........................... 336 Chapitre premier – Le socialisme et la morale .......................................... 337 Chapitre II – Le

ses patients, le médecin n’est pas plus qu’eux épargné par la charge satirique portée contre les Arrageois. Sans atteindre – loin de là – le ridicule infatué des médecins de Molière et en dépit d’un langage assez simple, celui-ci en annonce en effet quelques traits : le ton faussement doctrinal (« le verdict de l’urinal »), l’usage de formules hermétiques (« le mal de saint Léonard »), l’appel à l’aide de Dieu (« que Dieu nous aide ! ») pouvant passer pour un aveu d’incompétence, l’indigence

LE PERSONNAGE ET LE SPECTACLE DU MONDE ⁄ Paul Scarron, Le Roman comique, ⁄§∞⁄  p. ¤›-¤∞ Le monde est un théâtre LECTURE DU TEXTE 1. Cet extrait constitue l’incipit du roman. Roman des comédiens, le récit lui-même emprunte des effets de théâtralité. Après la situation de l’événement dans le temps (l. 1 à 9), le conteur décrit l’aspect général de la charrette (l. 9 à 14) pour développer le portrait du protagoniste (l. 14 à 29) et celui du comédien plus âgé (l. 29 à 35). Le

pourquoi nous2 rêvons constamment d’autres observatoires possibles et non construits. Supposez que nous placions notre poste d’observation, par exemple, dans la vie du peintre, dans la vie du fils du concierge, ou dans la vie de la petite rousse. En effet, que savonsnous d’eux ? Guère plus que ce sot de Jaromil3 qui, en réalité, n’a jamais rien su de personne ! Comment aurait été le roman, s’il avait suivi la carrière de cet opprimé, le fils du concierge, où son ancien camarade d’école, le poète, ne

LE PERSONNAGE ET LE SPECTACLE DU MONDE ⁄ Paul Scarron, Le Roman comique, ⁄§∞⁄  p. ¤›-¤∞ Le monde est un théâtre LECTURE DU TEXTE 1. Cet extrait constitue l’incipit du roman. Roman des comédiens, le récit lui-même emprunte des effets de théâtralité. Après la situation de l’événement dans le temps (l. 1 à 9), le conteur décrit l’aspect général de la charrette (l. 9 à 14) pour développer le portrait du protagoniste (l. 14 à 29) et celui du comédien plus âgé (l. 29 à 35). Le

n’a jamais pu égaler l’imagination, d’autant qu’il est aussi difficile d’avoir toutes les perfections qu’il est aisé d’en avoir l’idée. Comme l’imagination a le désir pour époux, elle conçoit toujours beaucoup au delà de ce que les choses sont en effet. Quelque grandes que soient les perfections, elles ne contentent jamais l’idée. Et, comme chacun se trouve frustré de son attente, l’on se désabuse au lieu d’admirer. L’espérance falsifie toujours la vérité. C’est pourquoi la prudence doit la corriger

n’a jamais pu égaler l’imagination, d’autant qu’il est aussi difficile d’avoir toutes les perfections qu’il est aisé d’en avoir l’idée. Comme l’imagination a le désir pour époux, elle conçoit toujours beaucoup au delà de ce que les choses sont en effet. Quelque grandes que soient les perfections, elles ne contentent jamais l’idée. Et, comme chacun se trouve frustré de son attente, l’on se désabuse au lieu d’admirer. L’espérance falsifie toujours la vérité. C’est pourquoi la prudence doit la corriger

à poser un pied devant l’autre, et il vous conduira infailliblement vers l’eau, pour autant qu’il y en ait dans la région. Viendriez- – 32 – vous à mourir de soif dans le grand désert américain, tentez l’expérience si un professeur de métaphysique fait partie de votre caravane. Certes, chacun le sait, l’eau et la méditation vont de pair à jamais. Mais voici un artiste ! Son désir est d’exprimer pour vous, sur sa toile, le coin de paysage le plus enchanteur et le plus romantique de toute